Les stratagèmes totalitaires des génocidaires mondialistes, partie 1
Kelleigh Nelson
Nouveau-Monde
sam., 04 fév. 2023 22:18 UTC
Les bolchevistes étaient une faction marxiste révolutionnaire d’extrême gauche, fondée par Vladimir Lénine, qui s’est séparée avec les mencheviks du Parti ouvrier social-démocrate russe marxiste, un parti politique socialiste révolutionnaire formé en 1898.
En 1917, deux révolutions ont eu lieu dans l’Empire russe. La première a renversé la monarchie impériale et la seconde a placé les bolcheviks au pouvoir après une guerre civile sanglante.
Le fascisme a dominé de nombreuses régions d’Europe entre 1919 et 1945. NAZI signifie Parti ouvrier allemand national-socialiste. Les nazis ne sont pas de droite, ils sont d’extrême gauche, mais les qualifier d’extrême droite persiste à cause des imbéciles et des amateurs qui souhaitent étiqueter toute personne à droite du centre comme un fasciste. C’est ce qu’ils ont fait à Donald Trump, et aussi frauduleux que cela puisse être, le mensonge répétitif s’est installé. (Des nuances de Joseph Goebbels) Trump est beaucoup de choses, mais fasciste n’en fait pas partie.
Lénine, Staline, Hitler et Mao n’ont pas eu leur pareil pour assassiner leur propre peuple et les peuples européens, même si d’autres ont été tout aussi cruels et délibérés dans l’extinction de millions de personnes. Cent millions de personnes serait-il un chiffre proche de celui des personnes assassinées ? Peut-être, mais je parierai que c’est beaucoup plus.
Aujourd’hui, des totalitaires du monde entier sont impatients de réduire en esclavage les survivants de leur dernier massacre de dépeuplement.
L’anéantissement de la création de Dieu a toujours été le but de ceux qui sont possédés par le mal. Leur excuse a toujours été que la population dépasserait la production de nourriture. Cependant, les progrès réalisés au fil du temps ont prouvé que c’était faux. Les objectifs d’aujourd’hui sont à la fois la dépopulation et la pénurie de nourriture, et ils veillent aux deux afin de réaliser leurs aspirations et leurs prédictions.
Forum économique mondial
Il n’y a pas de normalité chez ceux qui sont attirés par la conquête et la révolution mondiales. Les sympathisants sont attirés par les membres ordinaires et viennent grossir leurs rangs. Pensez à ceux du Parti républicain qui sont membres du Forum économique mondial. Vous voulez que j’en cite quelques-uns ? Elise Stefanik, Dan Crenshaw, Darrell Issa, Debra Fischer, Eric Holcomb, Michael McCaul, Pat Toomey, Roger Wicker et bien d’autres. Kevin McCarthy, qui n’aurait jamais dû être nommé président de la Chambre des représentants, assiste à toutes les réunions du FEM et a dîné avec Klaus Schwab. De nombreux politiciens du Parti démocrate stalinien sont également membres du FEM. Ce sont des traîtres à leur pays et des traîtres à leurs serments d’office.
Schwab et son principal conseiller, Yuval Noah Harari, sont les deux hommes qui conduisent actuellement les États-nations dans leur monde de domination dystopique complète sur les masses. Ils ont infiltré tous les gouvernements et ont réussi à amener les dirigeants gouvernementaux dans le giron du FEM. L’économie malthusienne de Schwab et Harari est tout droit sortie du manuel de la dépopulation de Maurice Strong. Strong, père du réchauffement climatique et de l’Agenda 21 des Nations unies, sans doute le plan le plus important et le plus secret pour la transformation du monde, était l’ami et le mentor de Klaus Schwab.
La durabilité et les villes à croissance intelligente sont maintenant partout aux États-Unis. Mais il existe des projets plus ambitieux. Le milliardaire américain Marc Lore a entrepris de construire une ville du futur qui incarne l’équité, la diversité et l’inclusion. Telosa City devrait être construite dans une région désertique des États-Unis, probablement l’Utah et son coût est estimé à 400 milliards de dollars. Oui, toujours le même plan : nous entasser tous dans une zone urbaine pour vivre ensemble dans ce qu’ils croient être une utopie. Voici le plan :
Dans cet article, Mastering the Future : The Megalomaniacal Ambitions of the WEF, Michael Rectenwald écrit :
« De peur que nous n’imaginions que le FEM et ses réunions ne représentent que les délires grandioses de quelques clowns inefficaces, il convient de noter que le « capitalisme des parties prenantes » du FEM — introduit en 1971 par Klaus Schwab, le fondateur et président du FEM, dans Modern Enterprise Management in Mechanical Engineering — a été adopté par l’ONU, par la plupart des banques centrales, ainsi que par les principales entreprises, banques commerciales et gestionnaires d’actifs du monde. Le capitalisme des parties prenantes est désormais considéré comme le modus operandi du système économique mondial. »
L’agriculture, le changement climatique, la durabilité, la crise alimentaire, l’approvisionnement en eau, les crises économiques, les catastrophes naturelles, les virus et tout ce que Strong a exposé dans son tome de l’Agenda 21 de l’ONU font partie du plan du FEM pour dominer le monde et ses habitants.
Klaus Schwab explique (en anglais) l’agenda de la Grande Réinitialisation en 15 minutes.
Rectenwald termine son article par cette déclaration :
« En bref, avec l’agenda de Davos, nous sommes confrontés à une campagne concertée et coordonnée visant à démanteler les capacités de production dans les domaines de l’énergie, de la fabrication et de l’agriculture. Ce projet, dirigé par les élites et qui leur profite, équivaut au plus grand bond en arrière de l’histoire. S’il n’est pas arrêté et inversé, il conduira à un désastre économique, notamment à une réduction spectaculaire de la consommation et du niveau de vie. Et il entraînera presque certainement une augmentation de la faim dans le monde développé et des famines dans le monde en développement. Le président du FEM, Schwab, pourrait surpasser le président Mao. Si nous le laissons faire. »
Ceux qui siègent au conseil d’administration de cette gigantesque abomination tyrannique et ce qu’ils ont prévu pour nous sont les mêmes acteurs qui s’y emploient depuis des décennies.
Le plan du Parti nazi
L’histoire du Parti nazi peut être racontée en termes de nouvelles formations au sein du mouvement, chacune devenant plus vicieuse et cruelle. Pensez au Nouvel Ordre Mondial, qui est devenu l’Agenda 21/2030 des Nations unies et qui est maintenant devenue la Grande Réinitialisation. Tous les objectifs sont les mêmes, mais le fait de changer les noms pour différentes générations empêche les gens de comprendre que, quel que soit le nom, nous sommes confrontés au même mal diabolique et qu’à chaque changement, les génocidaires deviennent plus maniaques. Ajoutez-y les principes du marxisme et du fascisme et vous aurez une image claire de ce à quoi l’humanité est confrontée.
Hannah Arendt explique dans son livre, Les Origines du totalitarisme (NDT : version anglaise), page 368 :
« Un autre avantage du schéma totalitaire est qu’il peut être répété indéfiniment et maintient l’organisation dans un état de fluidité qui lui permet d’inclure constamment de nouvelles couches et de définir de nouveaux degrés de militantisme.
« Les SA, les stormtroopers (fondés en 1922), ont été la première formation nazie censée être plus militante que le parti lui-même ; en 1926, les SS ont été fondés en tant que formation d’élite des SA ; après trois ans, les SS ont été séparés des SA et placés sous le commandement d’Himmler ; il n’a fallu que quelques années supplémentaires à Himmler pour répéter le même jeu au sein des SS. »
Tous plus militants les uns que les autres, les SS ont d’abord créé les troupes de choc, puis les formations à tête de mort (unités de garde pour les camps de concentration) qui ont ensuite fusionné pour former la Waffen-SS, et enfin le bras exécutif de la « politique de population négative » et leur bureau des questions de race et de réinstallation. Soldiers of Destruction — SS Death Head Division, écrit par Charles Sydnor, Jr, donne au lecteur une image claire des atrocités et du mal perpétrés par la SS-Division Totenkopf.
Le mal mondial nous confronte à un nouveau titre et à une nouvelle menace, et cette fois, la majorité des gouvernements sont dans le coup, y compris les États-Unis.
Tout comme l’Ukrainien Zelensky.
Volodymyr Zelensky
Avant de devenir président de l’Ukraine, Zelensky était un comédien. On le voit dans une vidéo portant des talons hauts et faisant une danse gay érotique avec trois autres hommes. Et au cas où vous l’auriez oublié, voici Volodymyr Zelensky avec un ami, faisant semblant de jouer du piano avec son pénis.
Matériel présidentiel ? Je ne pense pas.
Jim Hoft du Gateway Pundit a récemment rapporté que les officiels ukrainiens ont gaspillé 100 milliards de dollars de l’Unipartisme américain en voitures de sport, manoirs, vacances de luxe, etc. L’argent de nos impôts au travail. En fait, c’est du papier sans valeur et sans aucune garantie. Notre président illégitime estime donc qu’il peut continuer à imprimer des dollars sans valeur et que les Américains paieront avec une inflation exorbitante.
L’Amérique a envoyé plus de 100 milliards de dollars à l’Ukraine, ainsi que des tonnes d’équipements militaires grâce à la reprise par Biden du Lend Lease Act de la Seconde Guerre mondiale. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le marxiste Harry Hopkins, qualifié de co-président de FDR, vivait dans la chambre Lincoln de la Maison-Blanche. Il était en charge du programme de prêt-bail à la Russie.
Extrait du livre de Diana West, American Betrayal, chapitre 5 :
« Victor Kravchenko était un fonctionnaire soviétique qui a fait défection en Amérique. Il avait été au siège soviétique de Lend Lease à Washington. Après la guerre, il a témoigné devant le Congrès que l’opération soviétique Lend Lease dont il a fait défection et qui était située à seulement trois pâtés de maisons de la Maison-Blanche, était la commission soviétique d’espionnage, de vol et de saccage. Ils ont réussi à voler le plus grand nombre possible de secrets industriels et militaires. »
La ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, a déclaré sans ambages, dans de nouvelles remarques, que les alliés occidentaux mènent une guerre contre la Russie. Les États-Unis et l’Allemagne ont déclaré qu’ils enverraient des chars à l’Ukraine. L’Allemagne envoie également trois bombardiers B2.
En décembre, Volodymyr Zelensky est devenu le premier dirigeant étranger en temps de guerre depuis Winston Churchill en décembre 1942 à s’adresser à une session conjointe du Congrès américain. Au moins, Sir Winston s’est présenté en costume, Zelensky a porté son sweat-shirt. Peut-être ne possède-t-il pas de costume, puisqu’il s’est présenté à Davos en tee-shirt. Pelosi a déposé un baiser sur la joue du fasciste.
L’Ukraine a remplacé le COVID. C’est un pays de corruption fasciste et les Bidens et ses copains, y compris les Républicains, ramassent le butin.
Les retraités ukrainiens qui sont arrivés aux États-Unis après le déclenchement de la guerre totale pourront recevoir la pension du Supplemental Security Income (SSI) du gouvernement. C’est ce qu’a annoncé l’Office of Refugee Resettlement du ministère américain de la Santé et des Services sociaux. Le SSI est une pension gouvernementale versée aux personnes à faible revenu âgées de plus de 65 ans et aux personnes handicapées. Lien
Financer des fascistes pendant que les Américains souffrent. Où est l’indignation ? !
Le bataillon fasciste Azov a été immédiatement intégré à l’armée ukrainienne par Zelensky. En fait, il a déclaré la même chose dans son interview il y a quelque temps sur Fox, mais sa déclaration a été supprimée. Apparemment, les médias ne veulent pas que nous sachions que nous finançons les descendants directs des nazis d’Hitler pour qu’ils combattent contre la Russie.
Zelensky est membre du FEM, et l’Ukraine possède déjà une forme de système de crédit social. Il a été rapporté l’année dernière qu’il avait suivi la Chine et combiné la surveillance des citoyens par le gouvernement et les entreprises. Ce système donne aux citoyens un « score » qui peut restreindre la capacité des individus à entreprendre des actions — comme l’achat de billets d’avion, l’acquisition de biens ou l’obtention de prêts — en raison de leurs comportements. Ce système est en cours d’élaboration pour fonctionner en Amérique.
Le colonel Douglas MacGregor nous dit que l’Ukraine est en train de regarder l’anéantissement en face (en anglais) :
Notre vie privée fait partie du passé, le quatrième amendement est foutu, tout comme le premier, et le deuxième est une cible de choix. La Déclaration des droits est en lambeaux, mais bien sûr, le dernier candidat à la magistrature nommé par Biden, ne pouvait même pas nommer un seul de nos dix droits garantis par Dieu. Duh !
La Russie de Poutine
À la fin du mois d’août 2022, la Russie avait détecté plus de 50 biolabs gérés par les États-Unis près de ses frontières, et elle prévoyait de présenter les preuves à l’Office des Nations unies à Genève au début du mois de septembre.
Vous vous souvenez de Victoria Nuland ? Elle était sous-secrétaire d’État aux affaires politiques et a témoigné devant une audience de la commission des affaires étrangères du Sénat sur l’Ukraine le 8 mars 2022 à Washington, DC. Elle a déclaré : « L’Ukraine a des « installations de recherche biologique », elle craint que la Russie ne les saisisse. »
Le Pentagone a admis le jeudi 9 juin 2022 qu’il a exploité 46 biolabs en Ukraine manipulant des agents pathogènes dangereux, après avoir précédemment rejeté les accusations comme de la propagande russe.
Peut-être…
Le 22 septembre 2022, Konstantin Kosachev, vice-président du Conseil de la Fédération, a déclaré que les biolabs gérés par le Pentagone en Ukraine poursuivent des objectifs militaires, prouvés par des preuves irréfutables.
Poutine n’est pas satisfait de ces armes biologiques du DoD près de sa frontière ni du fait que Zelensky voulait rejoindre l’OTAN qui engage ses membres à se défendre mutuellement.
Vladimir Poutine n’est pas Zelensky.
Le 23 juin 2007, Der Spiegel a publié une interview d’Alexandre Soljenitsyne. Alexandre s’était vu offrir un prix par Gorbatchev dans le passé, puis un prix par Eltsine. Les deux ont été refusés. Mais lorsqu’un prix lui a été proposé par Vladimir Poutine, il a accepté. Voici ce qu’il a déclaré dans cette interview :
En acceptant le prix, j’ai exprimé l’espoir que l’amère expérience russe, que j’ai étudiée et décrite toute ma vie, soit pour nous une leçon qui nous préserve de nouvelles ruptures désastreuses.
Vladimir Poutine — oui, il était un officier des services de renseignement, mais il n’était pas un enquêteur du KGB, ni le chef d’un camp du goulag. Quant au service dans les services de renseignement étrangers, il n’est négatif dans aucun pays — il attire même parfois les louanges. George Bush père n’a pas été beaucoup critiqué pour avoir été l’ancien chef de la CIA, par exemple.
Avant la mort d’Alexandre Soljenitsyne, Poutine l’a rencontré et Soljenitsyne a dit à Poutine ce qui devait être changé, plus de contrôle local, moins de contrôle central.
Le dirigeant russe a écouté. Soljenitsyne est mort le 3 août 2008, quelques mois avant son 90e anniversaire. Deux semaines plus tard seulement, il a été annoncé que la Grande Rue communiste de Moscou (ulitsa Bolshaya Kommunisticheskaya) allait être rebaptisée « rue Alexandre Soljenitsyne », un honneur accordé par décret personnel du président Poutine.
Joseph Pearce écrit ce qui suit dans son article Soljenitsyne et Poutine :
En octobre 2010, il a été annoncé que L’Archipel du Goulag deviendrait une lecture obligatoire pour tous les lycéens russes. Lors d’une rencontre avec la veuve de Soljenitsyne, Poutine a décrit L’Archipel du Goulag comme une « lecture essentielle ». « Sans la connaissance de ce livre, il nous manquerait une compréhension complète de notre pays et il nous serait difficile de penser à l’avenir. »
Que faut-il dire de plus ? Dans la Russie de Vladimir Poutine, le plus grand classique de la littérature anticommuniste est désormais une lecture obligatoire dans tous les lycées de la nation. Si l’on pouvait en dire autant des lycées des États-Unis, nous n’aurions pas l’ignorance historique et politique endémique qui a conduit à la sympathie généralisée pour le communisme chez les jeunes Américains. À la lumière de ce qui précède, et à la lumière de l’admiration évidente de Poutine pour Soljenitsyne, n’essayons pas de prétendre que la Russie est une nation communiste. Nous n’avons pas besoin d’aimer Vladimir Poutine. Nous n’avons pas besoin de l’admirer. Mais nous devons reconnaître que la Russie a tourné la page sur les maux du socialisme, alors que nous risquons d’embrasser ces mêmes maux.
Et pourtant, nos politiciens américains communistes/fascistes veulent faire de lui l’ennemi alors que nous finançons massivement le véritable adversaire.
Conclusion
Dans la deuxième partie, nous examinerons les plans à venir des oligarques dystopiques pour l’ensemble de l’humanité.
Source : Sott.net
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