Les masques sont des baillons inutiles et dangereux pour la santé mentale et physique
Propagande Covid délirante pour des masques inefficaces
(Voir la vidéo en fin de publication)
Par Dr Gérard Delépine
Depuis quelques jours le gouvernement et les médias tentent de raviver la peur à l’aide d’une épidémie de tests et de réimposer le port de masques alors que l’expérience des 30 mois d’épidémie a prouvé :
- 1°) Que chez les asymptomatiques les tests ne servent à rien ;
- 2°) Que le port généralisé du masque n’empêche pas les contaminations.
Rappelons que l’évolution d’une épidémie se mesure seulement aux nombres de malades et de morts et que les masques sont incapables de limiter la progression des épidémies virales.
Il n’y a plus d’épidémie Covid menaçante en France
Pour surveiller objectivement l’évolution d’une épidémie, il faut se fier uniquement au nombre de malades (personnes qui souffrent de symptômes) et au nombre de décès quotidiens occasionnés par la maladie.
Dans le monde, l’épidémie covid est en voie d’extinction : le premier décembre 2022 d’après l’OMS moins de 800 décès lui ont été attribués (0,4 % de la mortalité toutes causes confondues) :
Le ministre tente d’effrayer la population en agitant l’augmentation des cas, personnes asymptomatiques qui ont eu le malheur de faire un test PCR revenu positif. Mais un test positif ne signifie pas que l’on est malade du covid, ni porteur de virus, ni contaminant12.
Chez les asymptomatiques, les tests PCR réalisés avec plus de 30 séquences d’amplification sont des faux positifs dans 97 % des cas34.
Le réseau sentinelle5 estime l’incidence des malades covid à 57 cas pour 100 000 très loin des seuils d’alerte6 alors qu’elle dépasse les 300/100000 pour la grippe actuellement en poussée épidémique saisonnière.
De même, la mortalité covid pourtant largement surestimée diminue depuis plus de 6 mois et atteint à peine le quinzième de ce qu’elle était en mars 2020 :
Le 2 12 2022 le directeur de l’OMS a déclaré7 « L’OMS estime qu’au moins 90 % de la population mondiale présente actuellement une certaine forme d’immunité face au virus SARS-CoV-2 ».
Ne craignez pas l’épidémie de tests PCR faux positifs que nos gouvernants et les médias agitent ! En France comme partout dans le monde la maladie ne tue presque plus.
Le masque est incapable d’empêcher les contaminations virales8 9
Le Dr Colin Axon, membre du conseil scientifique britannique (Scientific Advisory Group for Emergencies ou SAGE)10 a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pas grand-chose pour freiner la propagation du covid, rappelant que la taille du virus COVID-19 est 5 000 fois plus petite que les trous des masques et précisant :
« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers ».11
Le port généralisé du masque ne protège donc pas de la contamination virale. L’analyse des 3365 articles de la littérature internationale référencés sur PubMed le 1/12/2022 sous la dénomination « facial mask for Covid » confirme ce fait : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque en population générale protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup démontrent le contraire12.
L’exemple du Brigham and Women’s Hospital de Boston qui a souffert d’une forte poussée de covid-1913, malgré l’emploi systématique des équipements de protection dont les masques, est révélateur.
L’exemple du Meir Medical Center 14 est encore plus frappant, car, outre le port de masques, 92 % des contaminés avaient reçu deux doses de Pfizer. De même le port du masque chez 30 074 athlètes du Visconsin15 s’est révélé inefficace.
Dans le comté texan de Brexar16 :
« Il n’y a pas eu de réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs des patients positifs au COVID-19 attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de port de masques ».
L’étude de Zacharias Fögen, comparant au Kansas (États-Unis) les 17 districts qui imposaient le port du masque aux non masqués (88) entre le 1er août et le 15 octobre 2020, conclut :
« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure. »
et envisage le mécanisme par lequel le port du masque agit. 17
Initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, conclusion tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté18 19 20 21 22.
La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une revue de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». En recommandant le masque, l’OMS reconnaissait d’ailleurs :
« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité ».
Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour éviter de s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévenait :
« Le masque peut créer un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».
Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais, même dans ces conditions particulières à haut risque, il n’existe pas d’étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination23.
La seule étude prospective randomisée évaluant l’utilité du port du masque généralisé contre le covid, Danmasq1924 25, pourtant réalisée par des partisans du port du masque, ne retrouve aucune baisse significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas : le masque ne protège pas celui qui le porte.
Le Dr Fauci, interrogé sous serment le 23 novembre 2020, n’a pu présenter aucune étude qui plaiderait pour l’utilité des masques26. Le procureur général du Missouri, Éric Schmitt, présent lors de la déposition dans le Maryland, a confirmé sur les médias sociaux que le Dr Fauci « ne pouvait pas citer une seule étude » pour étayer son affirmation selon laquelle les masques étaient efficaces contre le Covid-19.
Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, et sur l’avis d’experts « qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique concrète.
Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques, habituées au masque, seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens.
Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations Omicron par million d’habitants en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque interdit seulement lors des manifestations27) montre que le masquage généralisé de la population asiatique n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !
Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :
Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire honnêtement en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune démonstration scientifique, et que de nombreux faits avérés, militent pour son inefficacité ?
En réalité le masque, parfaitement incapable de limiter les contaminations covid, ne constitue qu’une muselière symbolique des pouvoirs désireux de contrôler leur population28.
Si les obligations de port du masque ont été si largement imposées par les politiciens, c’est que le masque représente une forme visible du théâtre d’hygiène, qu’il véhicule un sentiment intuitif de sécurité et transfère la responsabilité du contrôle de la pandémie sur la population.
La surpopulation des unités de soins intensifs peut être ainsi imputée au mauvais comportement des « anti-masques », plutôt qu’à l’allocation insuffisante et mal ciblée des ressources par les gouvernements et les bureaucrates des hôpitaux. Lorsque les cas et les décès augmentent, c’est la faute des citoyens, pas des dirigeants.
Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et doit être respecté, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux et particulièrement nocifs chez les enfants innocents du covid.
Le port généralisé du masque est source de nombreuses complications29
Au 5 décembre 2022, la base de données PubMed recense 1118 articles décrivant des complications du port de masques faciaux. Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.
Une rapide revue des articles publiés30 31 32 33 34 35 met en évidence les cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente.
Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. La symptomatologie varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %).
Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques. Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.
En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène, la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.
Beder et coll.36 ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans. Kisielinski K et ses coauteurs37 montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.
L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).
Les complications physiologiques, psychologiques et sociales associées au port du masque sont nombreuses. La perception des émotions est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère. La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique.
Les enfants en sont particulièrement victimes3839.
Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage de la reconnaissance des émotions et de la parole est particulièrement menacé. Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.
Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui. En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ?
Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent. Les orthophonistes sont débordés40.
La brimade inutile du masque a suscité le mouvement « Saturnay burning » (« brûlez les masques ») qui a enflammé l’Idaho41.
Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge où ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.
Les troubles psychologiques et psychiatriques sont favorisés par le port du masque, facteur de stress et de morosité..
Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque.
Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux lits de psychiatrie générale à l’hôpital (atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS) et fuite des psychiatres de l’hôpital public (30 % des postes de titulaires sont vacants).
Les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes. Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province. D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.
Les masques usagés constituent aussi un fléau pour la planète et les animaux42 43
Les masques à usage unique sont jetés sur les trottoirs, dans les rivières et sur les plages de tous les pays où ils ont été rendus obligatoires dans les espaces publics. Fabriqués à base de polyester et polypropylène, ils peuvent mettre plusieurs centaines d’années avant de se décomposer et menacent l’environnement et les animaux.
Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants.
Vive nos libertés. À bas les masques !
1 Arevalo-Rodriguez I, Buitrago-Garcia D, Simancas-Racines D, Zambrano-Achig P, Del Campo R, Ciapponi A, Sued O, Martinez-García L, Rutjes AW, Low N, Bossuyt PM, Perez-Molina JA, Zamora J. False-negative results of initial RT-PCR assays for COVID-19: A systematic review. PLoS One. 2020 Dec 10;15(12):e0242958. doi : 10.1371/journal.pone.0242958. PMID : 33 301 459 ; PMCID : PMC77282932 Bullard J, Dust K, Funk D, Strong JE, Alexander D, Garnett L, Boodman C, Bello A, Hedley A, Schiffman Z, Doan K, Bastien N, Li Y, Van Caeseele PG, Poliquin G. Predicting Infectious Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 From Diagnostic Samples. Clin Infect Dis. 2020 Dec 17;71(10):2663-2666. doi: 10.1093/cid/ciaa638. PMID : 32 442 256 ; PMCID : PMC7314198.3 Jaafar R, Aherfi S, Wurtz N, Grimaldier C, Van Hoang T, Colson P, Raoult D, La Scola B. Correlation Between 3790 Quantitative Polymerase Chain Reaction-Positives Samples and Positive Cell Cultures, Including 1941 Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 Isolates. Clin Infect Dis. 2021 Jun 1;72(11):e921. doi : 10.1093/cid/ciaa1491. Erratum in : Clin Infect Dis. 2021 Nov 2;73(9):1745. PMID : 32 986 798 ; PMCID: PMC7543373. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32986798/
4 Cao S, Gan Y, Wang C, Bachmann M, Wei S, Gong J, Huang Y, Wang T, Li L, Lu K, Jiang H, Gong Y, Xu H, Shen X, Tian Q, Lv C, Song F, Yin X, Lu Z. Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China. Nat Commun. 2020 Nov 20;11(1):5917. doi: 10.1038/s41467-020-19802-w. PMID: 33219229; PMCID: PMC7679396. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33219229/
5 https://www.sentiweb.fr/document/5798
6 en 2016, le seuil épidémique des syndromes grippaux était de 173 cas pour 100 000 habitants et celui de la diarrhée aiguë (gastro-entérite) était de 194 cas pour 100 000 habitants
7 https://www.20minutes.fr/sante/4013116-20221202-covid-19-90-population-mondiale-presente-forme-immunite
8 F. Pesty https://edition.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg11-bas-les-masques-une-efficacite-trop-incertaine
9 François Pesty Chronique N° 90 : Les masques FFP2 ne profitent qu’aux virus et aux marchands du temple
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34399072/
10 L’organisme se compose de 20 membres, qui changent constamment, issus du milieu universitaire ou professionnel. Ces conseillers sont indépendants du gouvernement britannique et ne sont pas employés par l’État. https://lepetitjournal.com/londres/quest-ce-que-le-sage-le-conseil-scientifique-britannique-289039
11 https://www.telegraph.co.uk/news/2021/07/17/cloth-face-masks-comfort-blankets-do-little-curb-covid-spread/?utm_content=telegraph&utm_medium=Social&utm_campaign=Echobox&utm_source=Twitter#Echobox=1626638295
12 Greenhalgh T ,Schmid MB ,Czypionka T ,Bassler D ,Gruer L.. Masques faciaux pour le public pendant la crise du covid-19. BMJ 2020 ; 369 : m1435. doi : 10.1136/bmj.m1435
13 Klompas M, Baker MA, Rhee C, Tucker R, Fiumara K, Griesbach D, Bennett-Rizzo C, Salmasian H, Wang R, Wheeler N, Gallagher GR, Lang AS, Fink T, Baez S, Smole S, Madoff L, Goralnick E, Resnick A, Pearson M, Britton K, Sinclair J, Morris CA. A SARS-CoV-2 Cluster in an Acute Care Hospital. Ann Intern Med. 2021 Jun;174(6):794-802. doi: 10.7326/M20-7567. Epub 2021 Feb 9. PMID: 33556277; PMCID: PMC7924623.
14 https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2021.26.39.2100822#html_fulltext
15 Sasser P, McGuine TA, Haraldsdottir K, Biese KM, Goodavish L, Stevens B, Watson AM. Reported COVID-19 Incidence in Wisconsin High School Athletes in Fall 2020. J Athl Train. 2022 Jan 1;57(1):59-64. doi: 10.4085/1062-6050-0185.21. PMID: 34129671; PMCID: PMC8775282
16 Schauer SG, Naylor JF, April MD, Carius BM, Hudson IL. Analyse des effets des mandats de masque COVID-19 sur la consommation de ressources hospitalières et la mortalité au niveau du comté. South Med J. 2021 septembre;114 (9):597-602. doi : 10.14423/SMJ.0000000000001294. PMID : 34480194 ; PMCID : PMC8395971.
17 The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate (L’effet Foegen
18 Jacobs JL, Ohde S, Takahashi O, Tokuda Y, Omata F, Fukui T. Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan: a randomized controlled trial. Am J Infect Control. 2009 Jun;37(5):417-419. doi: 10.1016/j.ajic.2008.11.002. Epub 2009 Feb 12. PMID: 19216002.
19 Faisal bin-Reza The use of masks and respirators to prevent transmission of influenza: a systematic review of thescientific evidence,
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/j.1750-2659.2011.00307.x
20 https://www.cambridge.org/core/journals/epidemiology-and-infection/article/face-masks-to-prevent-transmission-of-influenza-virus-a-systematic-review/64D368496EBDE0AFCC6639CCC9D8BC05
21 https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214
22 https://journals.plos.org/plosbiology/article?id=10.1371/journal.pbio.1000316
23 Sugimura M, Chimed-Ochir O, Yumiya Y, Ohge H, Shime N, Sakaguchi T, Tanaka J, Takafuta T, Mimori M, Kuwabara M, Asahara T, Kishita E, Kubo T. The Association between Wearing a Mask and COVID-19. Int J Environ Res Public Health. 2021 Aug 30;18(17):9131.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8431493/
24 Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers A Randomized Controlled Trial Annals of internal Med 2021 march
https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M20-6817
25 réponse rapide à :Le cas curieux de l’étude des masques danois BMJ 26 novembre 2020 ; 371 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.m4586
26 https://www.europe-israel.org/2022/12/fauci-conseiller-medical-de-la-maison-blanche-incapable-de-citer-une-seule-etude-prouvant-que-les-masques-fonctionnent-contre-le-covid-lors-de-son-audition-devant-un-tribunal/
27 Pour permettre la reconnaissance faciale par la police…
28 Denis-Rancourt
https://www.rcreader.com/sites/default/files/Denis-Rancourt-Face-masks-lies-damn-lies-and-public-health%3Dofficials-a-growing-body-of-evidence-August-03-2020.pdf
29 F Pesty Chronique Covid N° 12 — « Bas les masques : trop d’incertitudes sur leurs inconvénients, leur tolérance et leurs effets indésirables » François Pesty
https://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg12-bas-les-masques-trop-dincertitudes-sur-leurs-inconvenients
30 Yu J, Chen JK, Mowad CM, Reeder M, Hylwa S, Chisolm S, Dunnick CA, Goldminz AM, Jacob SE, Wu PA, Zippin J, Atwater AR. Occupational dermatitis to facial personal protective equipment in health care workers: A systematic review. J Am Acad Dermatol. 2021 Feb;84(2):486-494. doi:
31 Di Altobrando A, La Placa M, Neri I, Piraccini BM, Vincenzi C. Contact dermatitis due to masks and respirators during COVID-19 pandemic: What we should know and what we should do. Dermatol Ther. 2020 Nov;33(6):e14528. doi : 10.1111/dth.14528. Epub 2020 Nov 18. PMID: 33174266.
32 Niesert AC, Oppel EM, Nellessen T, Frey S, Clanner-Engelshofen BM, Wollenberg A, French LE, Reinholz M. “Face mask dermatitis” due to compulsory facial masks during the SARS-CoV-2 pandemic: data from 550 health care and non-health care workers in Germany. Eur J Dermatol. 2021 Apr 1;31(2):199-204. doi: 10.1684/ejd.2021.4007. PMID: 33814358; PMCID: PMC8356539.
33 Damiani G, Gironi LC, Grada A, Kridin K, Finelli R, Buja A, Bragazzi NL, Pigatto PDM, Savoia P. COVID-19 related masks increase severity of both acne (maskne) and rosacea (mask rosacea): Multi-center, real-life, telemedical, and observational prospective study. Dermatol Ther. 2021 Mar;34(2):e14848. doi : 10.1111/dth.14848. Epub 2021 Feb 19. PMID: 33533563; PMCID: PMC7995182.
34 Donovan, Jeff; Kudla, Irena; Holness, Linn D.; Skotnicki-Grant, Sandy; Nethercott, James R.. Skin Reactions Following Use of N95 Facial Masks. Dermatitis: June 2007—Volume 18—Issue 2—p 104
35 Navarro-Triviño FJ, Merida-Fernández C, Ródenas-Herranz T, Ruiz-Villaverde R. Allergic contact dermatitis caused by elastic bands from FFP2 mask. Contact Dermatitis. 2020 Aug;83(2):168-169. doi: 10.1111/cod.13600. Epub 2020 Jun 1. PMID: 32406110; PMCID: PMC7273080.
36 Beder A, Büyükkoçak U, Sabuncuoğlu H, Keskil ZA, Keskil S. Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery. Neurocirugia (Astur). 2008 Apr;19(2):121-6. doi: 10.1016/s1130-1473(08)70235-5. PMID: 18500410.
37 Kisielinski K, Giboni P, Prescher A, Klosterhalfen B, Graessel D, Funken S, Kempski O, Hirsch O. Is a Mask That Covers the Mouth and Nose Free from Undesirable Side Effects in Everyday Use and Free of Potential Hazards? Int J Environ Res Public Health. 2021 Apr 20;18(8):4344. doi: 10.3390/ijerph18084344. PMID: 33923935; PMCID: PMC8072811.
38 https://www.unicef.fr/article/covid-19-la-sante-mentale-et-le-bien-etre-des-enfants-en-danger/
39 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-port-obligatoire-du-masque-pour-les-enfants-cest-de-la-maltraitance
40 Orthophoniste : Une augmentation de 364 % des demandes de consultation pour bébés et jeunes enfants en raison du port du masque
https://www.nouvelordremondial.cc/2022/01/29/orthophoniste-une-augmentation-de-364-des-demandes-de-consultation-pour-bebes-et-jeunes-enfants-en-raison-du-port-du-masque/
41 https://www.youtube.com/watch?v=WT-lDBUYBNI
42 https://www.lefigaro.fr/actualite-france/covid-19-le-masque-un-fleau-pour-l-environnement-20210530
43 https://lequotidien.lu/culture/les-masques-usages-jetes-dans-la-nature-un-fleau-pour-les-animaux/
Source : Nicole Delépine
Laisser un commentaire