Les liens troubles de Macron avec Boutonnat, condamné pour agression sexuelle…
Avec Macron c’est la plongée dans la France d’avant 1789. Si tu es le prince ou le favori du prince, tu as tous les droits, y compris celui d’agresser sexuellement ton filleul.
Celui-ci, âgé en 2020 de 22 ans, porte plainte après un séjour auprès du producteur de cinéma Dominique Boutonnat en Grèce.
Boutonnat, grand donateur pour la campagne de Macron, avait été nommé Président du CNC en 2019 par Macron. Ben oui, en Macronie ce sont les services rendus au Saigneur et maître et non les qualités à mettre en application qui justifient les nominations aux postes clé. On s’étonnera ensuite du niveau lamentable du cinéma contemportain et du wokisme qui y progresse !
Boutonnat est mis en garde à vue en 2021, la plainte est instruite.
À l’issue de sa garde à vue en février 2021, Dominique Boutonnat avait été mis en examen pour tentative de viol et agression sexuelle. Pour le fait de tentative de viol, le parquet a demandé une requalification en agression sexuelle, selon le réquisitoire définitif signé le 31 mars. Il revient désormais à la juge d’instruction de trancher sur la tenue d’un procès ou non. Si elle décide d’un procès, elle devra notamment décider du chef d’accusation retenu, une tentative de viol menant aux assises. La Croix
Ce sera finalement une comparution devant un tribunal correctionnel et non devant une cour d’assises, où les peines encourues sont plus lourdes, car la qualification de « tentative de viol » n’a pas été retenue.
Une plainte contre l’un de mes amis/favoris/amants/compagnons de débauche ? Cela n’avait jamais empêché quelque seigneur moyennageux d’exercer le droit de cuissage et autres privautés. Eh bien quelques révolutions ont beau être passées par là, 1789 a beau avoir renversé le pouvoir, Robespierre a beau avoir fait couper quelques têtes, nous voici à nouveau au Moyen Age… En 2022, Macron, qui nous crache ouvertement à la gueule depuis 2017, nomme à nouveau Boutonnat Président du Centre National du Cinéma (CNC), piétinant ouvertement le droit au nom de la “présomption d’innocence”, sans doute. Rien que ça. Cela ressemble juste à la dictature et au sentiment de pouvoir absolu de Macron. Juste un sentiment ?
Enfin, le dénouement approche :
Le 15 juin dernier, trois ans de prison avec sursis ont été requis par le parquet de Nanterre ce vendredi 14 juin contre Dominique Boutonnat. Le président du CNC était jugé pour avoir agressé sexuellement son filleul, une affaire pour laquelle plusieurs associations ont demandé son retrait de ses fonctions. Le jugement du tribunal correctionnel de Nanterre a été mis en délibéré au 28 juin.BFM TV
Et, il y a 2 jours, le verdict :
Le président du Centre national du cinéma et de l’image animée a écopé ce vendredi 28 juin de trois ans de prison, dont un an ferme, pour avoir agressé sexuellement son filleul. Il a annoncé dans la foulée quitter la direction de l’institution. […]
Dominique Boutonnat, qui devra effectuer sa peine d’un an de prison à domicile avec un bracelet électronique, a également écopé d’une interdiction de contact pendant trois ans avec la victime. […]
Boutonnat va donc enfin quitter le CNC ! 4 ans après les révélations de son neveu…
On remarquera en passant que le quidam a été condamné à 3 ans de prison dont un ferme mais que la prison ferme se fera à domicile avec un bracelet électronique. Assez confortable pour un condamné pour agression sexuelle, non ?
On rappellera en passant que le lanceur d’alerte Alexandre Juving-Brunet et l’antisémite Hervé Ryssen ont été condamnés à de la prison ferme, eux, pour infiniment moins que cela.
https://resistancerepublicaine.com/2020/09/21/pierre-cassen
La justice n’est plus ce qu’elle était qui protège les racailles amies du pouvoir ou étrangères mais s’acharne sur les Résistants ou les pauvres types qui se contentent juste de penser à voix haute, sans aucune voie de fait.
Source : Résistance Républicaine
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