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Je ne sais pas vous, mais moi, à chaque fois qu’un Français, ou même qu’un occidental est tué quelque part dans le monde par une de ces pourritures de djihadiste, ça me fait mal au ventre, me donne des nausées, me retourne le cœur, me fait rêver de les voir tous passés au napalm une bonne fois pour toutes. Mais il est vrai que je suis un de ces méchants homme de droite, un anthropophage à la limite de la civilisation. Dans le cas précis de ces six jeunes humanitaires, ma haine est décuplée : Antonin, Charline, Léo, Nafissa, Stella et Myriam étaient jeunes, brillants, courageux, et avaient la charité chevillée au cœur. Au point d’avoir laissé leur vie, dans la fleur de l’âge, pour cette Afrique que je sais par tradition si hospitalière, mais qui est désormais souillée par l’ignoble racaille islamiste. Les sales ordures nous ont enlevé six de nos compatriotes, et qui plus est des compatriotes jeunes, valeureux, portés vers les autres, intrépides et charitables, qui portaient une part de l ‘avenir de la France.
Mais curieusement, depuis cinq jours que ces filles et garçons ont été lâchement assassinés, avec leurs deux accompagnateurs nigériens, je ne sens pas dans les journaux, sur les plateaux télé ou radio, la même émotion, la même indignation que la pantalonnade à laquelle on a assisté avec Floyd George, puis Adama Traore… Une pantalonnade qui a justifié manifestations et émeutes pourtant interdites, mais qu’il a fallu endurer, au nom de l’émotion qui a étranglé jusqu’au Ministre de l’Intérieur, c’est dire. Une émotion qui a donné une tribune nationale à des délinquants multirécidivistes, comme la famille Traore, ou alors cet abruti de président de la ligue de défense noire (sic) qui a osé nous traiter d’esclavagistes colonialistes racistes et totalitaires…
Visiblement, pour émouvoir les belles personnes qui dirigent notre pauvre France contemporaine, mieux vaut être une racaille comme Floyd ou Traore, qu’un diplômé et bénévole humanitaire comme ces six jeunes gens. Mieux vaut être tué lors d’une bavure policière, même douteuse, que par des ordures djihadistes. Mieux vaux d’ailleurs être djihadiste emprisonné en Syrie, et que l’on nous implore de rapatrier, la larme à l’œil, au nom de la charité, des droits de l’homme, de l’honneur de la France, qu’une otage au Mali comme Sophie Petronin dont tout le monde se fiche pas mal depuis quatre ans, et qui doit endurer le martyre entre les mains de ses geôliers, et dans l’indifférence générale.
La gauche est décidément une maladie mentale : avec elle, les victimes deviennent les bourreaux, ou alors n’intéressent personne, les bons peuvent mourir dans l’indifférence générale, quand il faudrait tous se mobiliser pour la racaille dès lors qu’elle subit les retombées de ses actes. C’est cette tournure d’esprit folle, qui relève presque d’un esprit suicidaire, qui tue la France à petit feu, pervertit ses valeurs, la morale publique, l’esprit de sa jeunesse, la motivation et la confiance du peuple. C’est ce sale esprit de gauche dont il faudra un jour se débarrasser une bonne fois pour toutes, si l’on veut vraiment voir renaitre notre pays de ses cendres.
Olivier PIACENTINI
Volontaire d’honneur
Membre du Gouvernement de Relève Nationale
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