Les Conquêtes de Captain América ou la concrétisation de « Vers l’infini et au delà
Par WD
Ce personnage du monde de Marvel, symbolisant à lui seul tout un peuple de faquins, s’est battu contre les Nazis. Depuis la victoire acquise sur ces derniers (plus par les Russes que par lui il faut se le rappeler), il fait son mariolle à travers le monde. Après avoir fourni du matériel militaire à l’URSS pour cette cause commune d’éradication du danger noir allemand, il se braque contre le modèle politique Bolchevique qu’il avait lui-même financé 30 ans plus tôt. Nous avons bien compris que Captain América (Caparica pour les intimes) n’est pas un inconséquent. Il poursuit un plan de conquête qui fait et défait au gré de ses intérêts stratégiques du moment les alliances, les combines et les actions fallacieuses menées antérieurement. Il se moque de l’opinion publique qui voit dans ses actes des retournements de veste (politique ou philosophique) de l’insouciance. Certains crédules lui accordent des erreurs de jugement. La versatilité de Caparica n’est que de surface. Il a adopté la méthode Houdini, celle de faire illusion. Tout n’est que façade et propagande. Pouvons-nous croire que Caparica s’est converti au Bandérisme pour apporter son soutien à la corrompue Ukraine ? Bien sûr que non, cette anecdote ne remet pas en cause le plan global. Il se sert de cette aversion anti Bolchevique transmutée en anti Russe de tous ces pays de l’Est de l’Europe pour qu’ils fassent le sale boulot à sa place. Le sacrifice des autres ne coûte rien. Les aides financières et militaires seront facturées en temps et en heure à qui de droit.
Il est à noter par ailleurs qu’Alfred Rosenberg, un des grands théoriciens Nazis, était Balte et qu’avec Stepan Andriïovytch Bandera ils faisaient la paire dans leur délire russophobe. Dans le monde du XXI ème siècle, les populations des pays Baltes sont bien inconscientes de réitérer le paradigme d’il y a un siècle. Les contextes sont différents et la Russie Poutinienne n’a rien à voir avec le délire Bolchevique d’autrefois. Il faut être débile à présent pour vouloir mourir au profit de la bande à Soros.
Caparica veut détenir le monde dans sa main. C’est maintenant un secret de Polichinelle. Mettre dans son escarcelle la Russie lui permet, outre d’entourer la Chine pour l’abattre , mais d’opérer sa deuxième conquête, celle de l’Est. Si elle doit être aussi brillante que sa naguère conquête de l’Ouest, ceci promet des grands moments d’infamie.
Détruire et morceler la Russie puis la Chine et dans le même mouvement réduire à néant leurs partenaires et autres amis adeptes de la multipolarité, tel est le plan actuel. La phase suivante conditionnée par la suprématie entière et définitive des gauleiters mondiaux est de coloniser l’espace. Dans le cadre de la conquête spatiale, le fait d’avoir supprimé la concurrence des nations sur Terre, chaque planète sera la propriété exclusive du Nouvel Ordre Mondial. Certes, la colonisation spatiale portera un jolie titre et une belle idée type « au nom de la prospérité humaine », mais dans l’acte, ce sera bien la ploutocratie mondiale qui fera main basse sur le pactole cosmique. Nos futurs seigneurs endiguent ainsi les futurs problèmes telles que furent les rivalités souverainistes d’autrefois. Ils éliminent les difficultés juridiques et politiques sur le droit de propriété et d’exploitation des ressources des planètes conquises. Ce qui n’exclut pas la volonté sécessionniste des futurs colons esclaves si on se conforme à l’histoire humaine terrestre. Certes, quand le club des milliardaires suprémacistes atteindra ce stade les dents ne nous feront plus mal. Mais gouverner c’est prévoir, et les maîtres du monde prévoient plein de choses depuis des siècles. Ils en ont des cartons pleins. Beaucoup de leurs projections se réalisent.
Pour l’heure, Caparica met la pression sur tous les pays qui n’ont pas sanctionné la Russie. Il y met les grands moyens. Menaces économiques, menaces militaires, agitations dites colorées, assassinats discrets, élections frauduleuses, harangues guerrières sur ses vassaux, tel est son menu actuel à travers le monde. Vous couinez pour vos retraites, focalisez plutôt sur votre imminent avenir. Il fleure bon le petit matin frais où la rosée atomique scintille sur le monde désolé.
Caparica ne lâchera rien. Il sait qu’il n’a plus le choix. A force de chercher les embrouilles, il les a obtenues. Dans le cas présent, il est tombé sur plus fort que lui. Il n’y a plus d’alternative pour lui. C’est la victoire ou la mort. Il sent qu’il perd son leadership et la haine qu’il a suscitée envers lui de par son exécrable comportement depuis des lustres ne lui vaudra aucune empathie. Beaucoup de gens anéantis, de cultures abaissées, de religieux bafoués, de pays spoliés veulent la mort violente du satanique Yankee dans son étole wokiste. Il lui faudra émettre un grand mea culpa et un énorme repentir pour sauver ses fesses. Il est mal barré.
Source : WD
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