L’épidémie sans fin : la stratégie de Macron afin d’éviter la destitution et un procès pour haute trahison
par Alexandre Gerbi.
« L’épidémie qui ne finit jamais » : tel est le scénario délirant, le « storytelling » surréaliste que Macron, son gouvernement et leurs relais médiatiques nous servent inlassablement depuis des mois. Et tels des lapins dans les phares d’une voiture qui va les écraser, une bonne partie des Français gobent encore et encore tous ces mensonges. Quelques esprits, se croyant sagaces, murmurent que le président de la République est un incompétent, qu’il subit le joug de son administration, qu’il a perdu les pédales, voire qu’il est devenu fou. Naïves explications. Car derrière le très grand n’importe quoi apparent, derrière cette vraie-fausse politique de Gribouille, se trame un gigantesque enfumage à destination du peuple français. Retour sur les tenants et les aboutissants de l’escroquerie géante dont le Pays est victime. Mais aussi sur l’épée de Damoclès, non moins colossale, qui plane en contrepartie au-dessus de la tête de Emmanuel Macron. Lequel compte bien sauver sa peau. Par tous les moyens.
Un nombre croissant de Français s’interrogent : pourquoi le gouvernement et ses serviteurs médiatiques continuent-il à sonner l’alarme sur le Covid-19, alors qu’il est clairement établi que son taux de létalité oscille, selon les études, entre 0,1 % et 0,6 % ? Emmanuel Macron lui-même, lors de son entretien du 14 octobre 2020, a reconnu que le taux de létalité de la maladie était de l’ordre de 0,6 %. Bien sûr, ni Anne-Sophie Lapix ni Gilles Bouleau, journalistes disciplinés, n’ont eu l’idée d’interroger le chef de l’État sur la pertinence du confinement général et du couvre-feu au regard d’une mortalité si faible…
Pourtant, cette question aurait dû être posée à Macron. Ainsi que de nombreuses autres.
Par exemple :
Pourquoi, alors que le gouvernement a décidé et justifié le confinement général de mars à mai 2020 par le manque de lits d’hôpitaux, et que le même gouvernement n’a cessé de nous annoncer la « deuxième vague » depuis lors, pourquoi le gouvernement n’en a-t-il créé aucun jusqu’à aujourd’hui ?
Pourquoi avoir fermé les écoles, les collèges, les universités, alors que les moins de trente ans sont presque tous insensibles à cette maladie, et que la circulation du virus parmi les jeunes est l’une des conditions de l’immunisation collective et, partant, de la disparition de l’épidémie ?
Pourquoi cette accumulation de mesures absurdes et incohérentes, jusqu’au port du masque, d’abord déclaré inutile par le gouvernement, puis imposé à toute la population, y compris en plein air alors que, comme l’affirment de nombreux épidémiologistes, cela ne sert à rien, si ce n’est à défigurer les rues de France pour y rendre omniprésent le spectre du virus ?
Pourquoi, comme beaucoup l’ont dénoncé, avoir décrété en septembre 2020 la fermeture, à Marseille puis dans d’autres villes, des bars, des restaurants, des salles de sport, tous établissements déjà gravement fragilisés par des mois de confinement, alors que les transports en commun restent actifs et bondés dans la plus parfaite légalité ?
Pire encore, dernière fantaisie en date du pouvoir macronien, pourquoi imposer dans neuf métropoles de France un couvre-feu à 21 heures, ce qui achève de dévaster, outre les secteurs précédemment cités, ceux du spectacle et du divertissement, et de piétiner de surcroît les libertés publiques fondamentales, pourtant naguère réputées sacrées ?
Cette liste de questions n’étant pas, bien sûr, exhaustive. Et de plus en plus de Français ont l’impression de vivre dans un scénario où l’ubuesque le dispute au kafkaïen, sur fond de triomphe de l’absurde…
Des limites de l’absurdité
Il est presque amusant que l’absurde étonne tellement aujourd’hui, alors que l’absurde a semblé parfaitement normal et fut même applaudi par le plus grand nombre pendant si longtemps. « Je reste chez moi, je sauve des vies », répétaient les gogos, en s’autodécernant au passage un brevet d’héroïsme, comme si les vies en question n’eussent pu se sauver elles-mêmes en appliquant les mesures de prudence ad hoc…
De fait, tout ou presque est absurde depuis le début de l’épidémie de Covid-19. A commencer par le confinement général lui-même. On connaît la blague : « Quel est l’organe que le coronavirus détruit le plus ? Le cerveau… »
Comme quelques autres à l’époque, je l’ai écrit dès le mois de mars dans les colonnes d’AgoraVox, au début dudit confinement général : puisque le Covid-19 ne tue que les personnes âgées voire très âgées ou souffrant de pathologies lourdes, et puisqu’il épargne presque totalement le reste de la population, en particulier les plus jeunes, il fallait se borner à confiner les personnes à risque. C’était pourtant simple à comprendre : un confinement ciblé aurait en effet permis, tout autant que le confinement général, de limiter la propagation du virus parmi les personnes vulnérables, de limiter l’engorgement des services de réanimation (puisque c’en était le principal argument…), sans pour autant nuire à l’économie.
Mieux encore, cette stratégie aurait entraîné l’immunisation collective, et par conséquent la disparition rapide de la maladie. Ce point étant évidemment essentiel.
Or bizarrement, Macron, Philippe et leur gouvernement ont choisi d’imposer le confinement général,… pendant la bagatelle de deux mois (du 17 mars au 11 mai) ! Et pour faciliter le consentement des foules, nos aimables dirigeants ont fait croire, avec l’aide des médias répétant à longueur de journée la même propagande alarmiste, éminemment anxiogène et surtout éminemment mensongère, selon laquelle toute la population du pays était menacée, et qu’une hécatombe ravageuse guettait toutes les classes d’âge.
Nul ne le nie aujourd’hui : ceci était complètement faux… Rappel : taux de létalité du Covid-19, de l’aveu même de Macron lors de son interview du 14 octobre 2020 : 0,6 %. Ce chiffre étant un maximum, certaines études, tenant compte y compris des cas non détectés, parlant d’un niveau plutôt de l’ordre de 0,1 à 0,3 %. C’est-à-dire guère plus élevés qu’une grosse grippe. A cette différence près que la grippe peut tuer à tout âge, y compris les enfants.
Précisons que les informations permettant de savoir que ce coronavirus ne tuait essentiellement que les personnes âgées, très âgées et/ou très fragiles, ces informations étaient parfaitement disponibles dès ce fameux mois de mars 2020, au moment même où Macron et Philippe déclenchaient le confinement général. Nous l’avions dit, avec d’autres, dès le 23 mars, dans les colonnes d’AgoraVox…
Rappelons également cette autre évidence : la conséquence du confinement de dizaines de millions de Français, confinement total pendant près de deux mois puis prolongé selon des modalités variées et plus ou moins strictes jusqu’à aujourd’hui, sa conséquence est la mise en péril, voire la destruction de pans entiers de l’économie. Sans parler d’innombrables dégâts collatéraux, suicides, vieillards morts de chagrin de ne plus voir leurs proches, cancers et autres pathologies graves non détectés ou non soignés, commerçants ruinés ou salariés licenciés dont certains, là encore, se suicideront… Le tout entraînant, c’est un comble, un défaut d’immunisation collective (on ne le dira jamais assez), rendant lui-même possible un rebond de l’épidémie ! Cette liste des calamités, bien évidemment et encore une fois, n’est pas exhaustive…
A ce stade de la réflexion, à moins de prendre Macron pour un parfait imbécile, ce qu’il n’est évidemment pas, une question s’impose : puisque le confinement général était une mesure manifestement inappropriée, absurde et même, à bien des égards, à la fois nocive et contreproductive, quel est donc son véritable but ?
Des « vertus » du confinement général
Bien sûr, démolisseur de l’hôpital public dans le sillage de ses prédécesseurs, Macron a pu espérer, avec le confinement général, mesure draconienne, donner l’illusion qu’il prenait le taureau par les cornes et qu’il cherchait à réparer ses propres dégâts. Habile contre-feu du pompier pyromane…
Mais l’ampleur du coût de l’opération, pour les finances de l’État comme pour l’économie du Pays, permet de douter de cette explication.
En réalité, l’examen des faits indique que le confinement général poursuivait un autre objectif, beaucoup plus vaste et profond : permettre à Macron de faire tout ce qui lui était impossible en temps normal.
De fait, le blocage du Pays et sa ruine programmée ont rendu soudain réalisable, et le rendront plus encore dans l’avenir, ce qui était impensable jusque-là : museler le peuple et instaurer une forme de dictature.
Ainsi, du jour au lendemain, d’un coup de baguette magique, les Gilets Jaunes furent neutralisés.
Parallèlement, dès le 25 mars, soit à peine une dizaine de jours après le déclenchement du confinement général, des aspects essentiels du Code du Travail furent suspendus jusqu’à nouvel ordre (les 25 ordonnances).
Par la suite, la Sécu fut saignée à blanc, notamment par la multiplication des tests au cours de l’été et en septembre, des milliards d’euros dilapidés pour rien, si ce n’est pour donner l’illusion d’une reprise de l’épidémie, les tests étant rendus hypersensibles jusqu’à l’absurde… avec pour effet de créer des milliers de faux positifs, comme l’ont expliqué le Pr Christian Perronne et le Pr Jean-François Toussaint.
Cerise géante sur le gâteau : la dette de l’État explosa comme jamais : au moins 500 milliards d’euros, et ce n’est qu’un début…
Détruire la France pour la refaçonner sur le modèle ultra-libéral
Ainsi, par le truchement de l’inepte confinement général et de ses suites toujours en cours, dont le couvre-feu, Macron a dévasté, et dévaste encore, la France comme jamais.
Tel l’empereur Néron incendiant Rome pour la rebâtir à sa fantaisie, Jupiter pourra de la sorte refaçonner la France à son goût, ou plutôt au goût de ses maîtres, les Ploutocrates ultra-libéraux.
Seuls quelques indécrottables naïfs l’ignorent encore : dans le sillage de ses prédécesseurs, telle fut dès l’origine la mission de Macron, la raison pour laquelle, au prix d’une propagande médiatique inouïe et d’une série de complots médiatico-judiciaires, il a été placé en 2017 à l’Élysée par les ploutocrates : à savoir l’extension du domaine du capitalisme ultralibéral, grâce à la liquidation des acquis sociaux et à la privatisation tous azimuts. Notamment celle de la Sécu au profit des mutuelles privées, c’est-à-dire au profit des fonds de pension, comme le géant Black Rock dont Macron est l’ami, et qui ne savent quoi faire de leurs milliers de milliards de dollars…
La privatisation de la Sécu, d’ailleurs dans les tuyaux bien avant la crise engendrée par le confinement général, n’est qu’un exemple de ce que rendra possible cette crise fabriquée de toutes pièces par Macron, ses valets et ses dupes.
Soulignons ceci : cette stratégie, Macron la partage avec nombre de ses homologues internationaux, notamment européens, car il tombe sous le sens que Macron n’est pas, à travers le vaste monde, la seule marionnette des ploutocrates qui tirent les ficelles de nombre de chefs de gouvernements. Tout comme Big Pharma ne se borne pas à corrompre les seuls dirigeants français et autres sociétés savantes, comme l’a expliqué le Pr Didier Raoult, pointant en particulier le labo états-unien Gilead, devant la commission parlementaire.
Soulignons également ceci : contrairement à ce qui est répété régulièrement, le Covid-19 n’est pas la cause du désastre économique et social. La véritable cause de ce désastre, c’est le confinement général et ses suites, que rien n’imposait, puisque, répétons-le, un confinement ciblé des personnes à risque aurait tout aussi bien fait l’affaire. Autrement dit, et il faut là encore le marteler : le coronavirus n’est la cause de ce confinement général, mais son prétexte. Ce qui est évidemment très différent.
En attendant, le résultat est là et le sera davantage encore dans les mois et les années à venir : l’économie étant dévastée, l’État verra les recettes fiscales et autres taxes fondre comme neige au soleil. Une ruine bien pratique, comme on va le voir…
Privatiser à tout-va et anéantir le modèle social français : extension du domaine du lucre
En 2021, en 2022 et au cours des années suivantes, ses finances effondrées, le Pays écrasé par une dette publique vertigineuse, le gouvernement, cornaqué par Macron ou son successeur, pourra ainsi justifier, l’air navré, la privatisation des services publics. « Mes chers compatriotes, l’État est ruiné, nous n’avons plus les moyens, nous n’avons plus le choix, et croyez bien que mon coeur saigne, etc. » Une fois privatisés, les anciens services publics deviendront autant de vaches à lait pour les intérêts privés, y compris étrangers, qui se seront fait un plaisir de s’en emparer.
Nous avons tous en tête, parmi d’innombrables exemples, le précédent des autoroutes. Qu’on se le dise, le processus est d’ailleurs déjà en cours, tout sera à l’avenant : hôpitaux, aéroports, routes, barrages hydro-électriques, chemins de fer, mais aussi éducation nationale et universités, voire police (la gestion des radars, qui bastonnent les automobilistes français, ont déjà été confiés pour partie au privé) et enfin, un jour, pourquoi pas, soyons fous, l’armée. Sans oublier les bijoux de famille, mobilier national, participations diverses dans de grands groupes industriels, etc. Certains suggèrent même de vendre pour quelques milliards d’euros la Joconde par petits bouts, sous forme de blockchain… comme un vulgaire Bitcoin ! En attendant le Louvre et autres musées aux précieux trésors, source presque inépuisable de juteuses hypothèques…
Ainsi le confinement général et ses suites plus ou moins rampantes apparaissent pour ce qu’ils sont vraiment : un outil, un moyen, un brise-glace rendant possible la liquidation générale. Et surtout l’extension du domaine du lucre. Aux dépens du peuple, faut-il encore le préciser ?
Au-delà de la démolition, maintenir la torpeur des esprits
Reste à éclaircir pourquoi, maintenant que le mal est largement fait, entre finances publiques vertigineusement plombées et économie torpillée, pourquoi Macron et ses porte-flingues, Véran, Castex et consorts, font durer l’illusion d’une épidémie dévastatrice.
Là encore, l’affaire est cousue de fil blanc.
D’abord, bien sûr, car tant que le confinement durera sous forme plus ou moins drastique, l’économie sera davantage laminée, et l’on a vu que cette opération sert les projets ultralibéraux de Macron pour complaire à ses maîtres ploutocrates.
Ensuite, et surtout, parce que continuer de faire croire que le virus tue en masse, que la « deuxième vague » menace de provoquer une hécatombe, permet de justifier encore et encore, rétrospectivement, l’absurde confinement général qui fut imposé, contre toute raison, de mars à mai 2020. Autrement dit : en maintenant le pays sous pression, en l’entretenant dans la peur, on l’empêche de penser et d’ouvrir les yeux sur le scandale initial.
Car a contrario, si la terreur tout à coup s’arrêtait, si la psychose prenait fin, tout citoyen serait soudain susceptible de s’interroger rétrospectivement sur la pertinence des choix gouvernementaux, à commencer par le blocage de tout le pays qui a conduit à appauvrir des millions de Français, à dévaster l’économie et à ruiner les finances publiques… sous prétexte de contrer un virus dont la létalité, insistons-y, plafonne à 0,6 % et dont les deux tiers des victimes ont plus de 80 ans !
Telle est la hantise de Macron : si d’aventure les esprits retrouvaient leur faculté de réfléchir et d’examiner les données du problème à tête reposée, si l’illusion du Covid-19 présenté comme une maladie mettant en danger toute la population s’évanouissait enfin, l’ineptie de l’assignation à résidence pendant des mois de dizaines de millions de gens qui ne risquaient pour ainsi dire rien, apparaîtrait pour ce qu’elle est : au mieux une aberrante erreur, au pire un crime délibéré contre la Nation.
Et puisque Macron ne saurait être pris pour un complet imbécile, il deviendrait peu à peu évident aux yeux de beaucoup que l’erreur était volontaire, c’est-à-dire qu’elle n’en était pas une.
Rapidement, il deviendrait flagrant que le Covid-19 a servi de prétexte pour subjuguer la population et démolir l’économie, dans un but délétère et même monstrueux : trahir les intérêts supérieurs du Pays et du peuple, au profit d’une petite oligarchie à laquelle le chef de l’Etat doit son pouvoir et dont il est le serviteur zélé.
Bref, le confinement général et ses à-côtés, notamment l’interdiction de l’hydroxychloroquine et par conséquent du « protocole Raoult » (hydroxychloroquine+azithromycine), apparaîtraient pour ce qu’ils sont : l’une des plus gigantesques trahisons d’État doublée de l’un des plus vertigineux scandales de corruption de toute l’histoire de France. Voire, pour reprendre les conclusions du Pr Christian Perronne, un crime contre le peuple, puisque le bilan de cette interdiction que rien ne justifiait s’élève à des milliers de morts.
Une machination machiavélique ayant pour premier responsable le président de la République en personne. Lequel, au lieu d’être le protecteur de la Nation comme en dispose la Constitution, s’est fait le complice et l’artisan de sa trahison. Ce qui est évidemment gravissime et, relevant de la haute trahison, le rend passible des plus graves sanctions.
Aveugler le peuple pour conjurer la destitution et le procès de Macron
On voit l’ampleur du danger qui pèse sur l’Élysée.
Si cette salutaire prise de conscience, rendue possible par la fin de l’épidémie, avait lieu, dès lors Macron s’exposerait à être non seulement destitué, mais aussi et surtout traduit en justice pour haute trahison. Car, il est bon de le rappeler, en cas de haute trahison, l’immunité du président de la République peut se trouver constitutionnellement levée. Dans la foulée, les nombreux complices de Macron entreraient à leur tour dans le collimateur de la justice. Un séisme politique cyclopéen, dont une bonne partie des collaborateurs du Système qui règne sur la France pourraient bien sortir broyés.
Or cette prise de conscience, tellement périlleuse pour lui, Macron le sait, ne peut venir que du peuple. Et seulement du peuple.
En effet, tous les dirigeants politiques, de Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par tous les autres, ont approuvé le confinement général. La plupart d’entre eux ont même souvent joué la surenchère. Les uns et les autres ne peuvent donc aujourd’hui dénoncer rétrospectivement le confinement général, puisqu’ils en ont été les complices plus ou moins empressés.
De même, la quasi-totalité des médias, en particulier les médias subventionnés, et les journalistes domestiqués, se sont comportés tout au long du confinement général en auxiliaires de la terreur.
Sans parler de nos brillants intellectuels français, qui sont tous tombés, pour ainsi dire sans exception, dans le panneau. Même les rares voix discordantes, de Michel Onfray à André Comte-Sponville, n’ont jamais sérieusement contesté la pertinence du confinement général qui paralysa le Pays de mars à mai 2020. Au contraire, tous y ont peu ou prou souscrit. Comme nous l’avons souligné à l’époque, ceux qui, dans les médias et le monde intellectuel, dénoncèrent le confinement général, se comptent sur les doigts d’une main [1].
Faillite de la classe politique et de la corporation journalistique, le scandale du confinement fut aussi la faillite des intellectuels français, qui se sont ainsi inscrits, il est vrai, dans une longue et lamentable tradition.
Résumons-nous
Au-delà du confinement général, du couvre-feu et toutes les mesures désastreuses attenantes, c’est l’imposture d’Emmanuel Macron qui doit enfin être comprise et dénoncée. Une imposture qui consista et consiste toujours à prendre prétexte d’une maladie dont le taux de létalité oscille selon les études entre 0,1 % et 0,6 %, pour justifier des mesures qui ruinent le Pays tout entier, dans le but inavoué mais évident de mettre la France à genoux et d’appliquer enfin une politique qu’une majorité de Français rejettent absolument.
En d’autres termes, ce qu’il convient d’appeler « l’affaire du Covid-19 » est un vaste complot, une machination machiavélique à visées antidémocratiques et antirépublicaines fomenté par les plus hautes autorités de l’État, en particulier par le président de la République.
Or, répétons-le, la dénonciation de ce crime contre la France que furent le criminel confinement général en ses sidérantes métamorphoses, cette dénonciation, si elle doit venir, ne pourra venir que du peuple. Un peuple toujours tétanisé et rendu incapable de penser, à cette heure, par la peur de la maladie.
On comprend, à partir de là, que l’épidémie de Covid-19 ne soit pas près, du moins officiellement, de prendre fin…
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[1] Parmi les journalistes, nous n’avons relevé que Marc Menant et, dans une moindre mesure, Éric Zemmour, sur CNews, puis nettement plus tardivement Jean Quatremer, sur son blog de Libération, ainsi qu’André Bercoff qui donna la parole notamment aux époux Delépine sur les ondes de Sud Radio. Parmi les intellectuels, seuls l’Italien Giorgio Agamben et le Français Alain Damasio condamnèrent sans réserve le scandale du confinement général.
Les opinions exprimées dans cet article n’engagent que la responsabilité de son auteur.
Source : Reseau International
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