Le vert vous va si mal

Par WD

L’écologie est dans la pratique une plaie immonde. Elle tue l’activité rurale et tord les réalités terriennes. Ses délires sur les vaches sont significatifs. Globalement, sa gestion sur le vivant est absurde. Cependant, elle détruit le monde agricole. Elle démontre sa méconnaissance de la nature et le rapport entre cette dernière et l’Homme. L’écolo de base est un urbain donc ceci explique cela. L’incompétence ne semble pas être aussi une entrave au développement du dogme. Bref.

Mais en premier lieu, le concept vert détruit sous de faux prétextes l’activité humaine. Le but de tous ses ténors intrinsèquement mondialistes est de briser notre économie. Petit rappel de base, la création de richesse passe par le secteur primaire et secondaire. Cette richesse est garante de la prospérité d’un pays. C’est elle qui finance le social, le bien-être de la population et assure son avenir. Il faut à ces secteurs productifs de l’énergie pour mener à bien leurs missions. Sans énergie, c’est le retour direct à l’antiquité.

Si on écoute les discours des écologistes et que l’on met en application leur délire environnemental, nous allons nous retrouver à l’âge de pierre, la maîtrise du feu en moins pour ne plus « CO2diser » la planète. C’est ce qui arrive à l’Allemagne. Grâce à sa verte attitude, l’Allemagne a régressé. Elle a renoncé à l’énergie atomique, mais elle a été sauvée par le gaz Russe. A présent que les américains ont saboté le transport de cette précieuse ressource, elle se retrouve à poil. Du statut de pays industriel puissant et exportateur, elle est en pleine déconfiture. Sa machine a pognon est cassée. Elle est déficitaire et elle retourne direct aux années 20. Demain, elle retrouvera le temps d’Otton.

Le réchauffement climatique est un mythe à base Malthusienne. Le propos de Paul Watson, cofondateur de Greenpeace, annonce la couleur, verte comme le dollar : « Il n’est pas important que ce soit vrai ; la seule chose qui compte est que les gens croient que c’est vrai ». C’est un des principes de l’ingénierie sociale.

L’ensemble des institutions internationales et des ONG sont sous l’égide américaine. Beaucoup s’occupent d’environnement. Le dogme général est le réchauffement climatique. Il s’appuie sur un modèle mathématique pondu par Niel Ferguson qui est tout sauf sérieux. Mais comme il convient parfaitement aux intentions eugénistes de l’oligarchie mondiale, il devient le maître-étalon. Le réfuter est un acte hérétique. C’est pour cette raison que l’ONU vient d’adopter la résolution qui rend la Cour internationale de justice (CIJ) l’inquisiteur sur les obligations des États en matière de changement climatique. Obligations délivrées par le GIEC, autre émanation de l’ONU.

Sans rentrer dans d’obscures démonstrations scientifiques*, nous pouvons dire que le CO2, représente 0,0415% de l’atmosphère. L’activité humaine émet environ 4% des émissions totales de CO2. Ce fameux gaz qu’on accuse d’être le responsable du réchauffement climatique est la nourriture des plantes. Plus elles en ont, plus elles se développent, plus on a de l’oxygène. La dynamique agricole Néerlandaise repose sur ce fait. Les pécores Hollandais ont des serres hermétiques et ils introduisent massivement du CO2 pour booster la production tant légumière que florale, produit phare de ce pays. Diminuer le CO2, c’est restreindre la production agricole donc in fine, affamer les populations. Le second but eugéniste après le Covid est bien là.

Quand on parle agriculture, on ne peut faire abstraction de l’eau. Et comme par hasard, on retrouve l’accaparement de cette ressource par les mastodontes agroalimentaires type Nestlé. Là aussi, on retrouve les discours alarmistes retransmis par les médias de grand chemin. « L’eau se fait rare, il faut donc imposer la restriction ». L’affaire actuelle des bassines est le cœur du problème de rétention de la ressource. La privatisation de l’eau est en cours à grand coup de matraque. Macron vient d’annoncer la « tarification progressive » de l’eau. Tout un programme qui fleure bon la dystopie.

Au nom de l’écologie et de tous ses segments, toutes les dérives dictatoriales sont permises. Elles passent par la fiscalité, les normes, les obligations et les interdits. Toutes plongent la main dans notre portefeuille sans obtenir un effet probant sur l’environnement. Le mensonge ne peut être la vérité, mais il peut le faire croire. La preuve, la jeunesse est entièrement obnubilée par ce thème. L’éducation nationale a bien fait son boulot. La propagande mainstream aussi. Les mesures écologistes n’ont aucune victoire réelle à leur actif. Le but n’est pas de rendre la vie meilleure, d’ailleurs sur quel critère, mais d’asservir la population. Qui contrôle le boire et le manger domine tout.

Les hurluberlus verts vont-ils arriver au point de sanctionner l’Islande parce que ses volcans polluent l’Europe ? Les points chauds de ce pays ont déjà tué des milliers de gens notamment en Angleterre et sur la bordure de la mer du Nord au 18ème siècle. On n’est pas passé loin de réitérer ce drame dans les années 2010.

La peur et la culpabilisation sont utilisées pour obtenir le consentement par abdication. C’est un vrai piège Pavlovien. Il marche parfaitement.

* https://egaliteetreconciliation.fr/L-ecologie-en-bande-organisee-pour-une-famine-durable-et-une-misere-responsable-Conference-de-71720.html

Source : WD

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