Le terrorisme Kievien
Par WD
L’acte infâme terroriste a encore frappé. Après l’assassinat de Daria Douguina, c’est au tour du reporter de guerre Vladlen Tatarski de subir les affres de la lâcheté. Il n’est pas mort sur le théâtre des opérations, mais dans un attentat à Saint-Pétersbourg. De ce qu’on sait, il organisait une soirée patriotique dans un café. D’après certaines sources, ce fut le même mode opératoire utilisé pour Daria qui a eu raison de son intégrité physique. Les cafards sont dans la place.
Kiev ouvre la chasse contre les reporters de guerre Russes et étrangers non épris du camp Ukrainien. Très certainement les russophiles qui s’expriment dans le champ de leurs compétences vont passer au statut de gibier pour la billebaude terroriste. Attention danger. En tant que français, nous pensons immédiatement à Christelle Néant et Xavier Moreau. Nous citons ici les deux plus prestigieux, les deux qui sont déjà présents dans la fameuse liste Kievienne des bestioles à abattre.
A cette heure, nous n’avons pas encore entendu en France une seule condamnation officielle de cet acte terroriste. Le droit et la morale sont dans le camp Occidental à géométrie variable. Rien de neuf sous le soleil.
Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que tous ceux qui de près ou de loin soutiennent les positions Russes sont en danger. Mine de rien, la liste est longue.
Cet assassinat délivre un signal. La quiétude en Russie n’est plus garantie. La petite guerre infecte s’invite sur le sol Russe. Le terrorisme à fortiori d’état est un sacrilège. Il bafoue les droits de l’homme, le droit international et toutes les conventions universelles. La mesquinerie Kievienne dépasse les bornes.
Par ailleurs, nous avions invité l’exécutif Russe à accélérer le mouvement. Nous l’avions prié de ne plus jouer la montre. Temporiser offre la possibilité à l’Occident de se ressaisir, de combler son retard technologique en matière militaire et d’enflammer d’autres pays frontaliers pour concrétiser ses desseins. D’ailleurs l’OTAN vient d’élargir son club de vassaux en intronisant la Finlande.
Certains commentateurs nous objectèrent que « ce serait contraire à la stratégie russe qui consiste à laisser aller à son terme, le processus de dégénérescence qui affecte le corps de l’Occident collectif ». C’est méconnaître la capacité de nuisance de l’Occident qui n’est autre que la doctrine hégémonique américaine. Avant l’effondrement total de l’Occident, il se passera 10 ans de conflit, 10 ans de malheurs. Tous les pays Otaniens ouvrent le champ de la surproduction d’armement. Les laisser se remettre au niveau est une faute grave. Une guerre se gagne avec la supériorité de moyens et par la puissance de feu. Gagner du temps pour des raisons civilisationnelles et économiques bien comprises sont une erreur fondamentale.
A gagner du temps, les Russes ne font que renforcer le réseau de sabotage des Bandéristes. Les actes d’attentats sur leur territoire vont se multiplier. Ils risques de perdre le soutient de leur population, surtout celle la plus mollassonne. Cette temporisation exaspère d’ailleurs les communistes et les patriotes de la Douma. Quand on a un ennemi déclaré et actif, qui n’a que des méthodes fallacieuses pour gagner, qui vous promet votre destruction, il n’y a aucune raison intelligible de réfréner son autodéfense. Il faut que les Russes endiguent cette vérole Occidentale.
Compte tenu du climat factieux ouvert à toute abjection, nous nous demandons qui sera la prochaine victime ? Tant que tous les Khokhols ne seront pas neutralisés, l’espérance de vie s’amenuise pour tous. Par ricochet, la quiétude est bien compromise.
Source : WD
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