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Le ras-le-bol gendarmique.

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Cet adjudant témoigne, il démissionne après 13 années de service, pression trop grande, difficile de tenir la cadence, il lui est arrivé de faire 105 heures en une semaine, 1h30 de sommeil par nuit. Il a fini en burn out, il part dans la police municipale suite à cet épuisement professionnel. Plus de 5600 gendarmes ont démissionné en 2023, + 34 % en 4 ans.

A Profession Gendarme, nous connaissons et suivons la déliquescence de ce qui fût autrefois une Arme d’élite qui avait la confiance des autorités et surtout de la population. Les militaires de la gendarmerie sont entrés dans un engrenage infernal, une véritable boîte de Pandore, surtout depuis 2020. Leurs missions de contrôle et de répression pendant la fausse pandémie de Covid, la violence exercée contre les gilets jaunes et manifestants divers, les arrestations arbitraires les ont rendus corvéables à merci et impopulaires.

La gendarmerie paie l’obéissance aveugle envers des dirigeants qui ont choisi le Peuple pour ennemi.

Le ras-le-bol gendarmique.

Cet adjudant témoigne, il démissionne après 13 années de service, pression trop grande, difficile de tenir la cadence, il lui est arrivé de faire 105 heures en une semaine, 1h30 de sommeil par nuit. Il a fini en burn out, il part dans la police… pic.twitter.com/maBJ3y3ANS
— sergiodde🐭🐞 (@sergiodde) April 20, 2025

Lire également : Actu.fr – « Grande démission » dans la gendarmerie ? À son tour, France 2 donne la parole aux gendarmes qui raccrochent

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22 Réponse(s) à "Le ras-le-bol gendarmique."

Claude Roland dit :

12 mai 2025 à 14 h 48 min

Bonjour,
Sur ma commune, 3 escadrons de gendarmerie mobile. Eté 2024 : 30 démissions…

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Ray5 dit :

29 avril 2025 à 14 h 35 min

A la mort de mon père, j’ai travaillé dans le civil . Après mon service militaire, j’ai rejoint une entreprise qui m’offrait de belles perpectives d’avenir. Je suis parti juste avant de troquer mon vêtement de travail contre la blouse blanche de contremaître ( cadre). Pourquoi ? par que pour réussir il m’aurait fallu rejeter mes principes moraux hérités de mes parents.

J’ai réussi le concours dans une administration – pénitentiaire – où je me suis vite aperçu que la mesquinerie, les petites trahisons, les petits arrangements, étaient la règle et prévalaient sur la Loi ou simplement l’humanité.

Bis repetita – démission et recherche d’un emploi. Là, chargé de famille il me fallait en trouver un emploi rapidement. Un gendarme – mon frère- m’a dit que la police nationale recrutait. Il savait que son Arme ne me conviendrait pas.

Je me suis inscrit à ce concours tout précisant en remplissant la case » désidératas » que je n’accepterais pas un poste en police parisienne ou en CRS . Je ne faisais pas d’illusion !!!

J’ai été accepté !!! Tout au long de ma carrière j’ai toujours privilégié droiture et respect de ma fonction, de la Loi et de mes concitoyens . J’ai refusé d’obéir à des ordres illégaux – j’ai contesté des décisions injustes .

J’ai été ostracisé – oublié sur le tableau d’avancement malgré ma réussite à un concours. La hiérarchie a été obligée de reconnaître mon professionnalisme . Devenu délégué syndical d’un syndicat minoritaire il m’a été proposé , suite à un article paru dans un journal local dans lequel je posais une question géante – mon inscription, valant réussite, au concours de mon choix : Officier de Paix ou Inspecteur.

J’ai refusé !!! Accepter aurait été trahir mes convictions et mes principes de vie.

J’ai changé de région et ma carrière s’est accélérée uniquement par ma réussite à un concours et surtout le travail assuré.

J’ai quitté la Police plus tôt que prévu . elle changeait et, à mon humble avis, oubliait ses fondamentaux : être au service des citoyens – leur garantir la tranquillité – la sûreté et la salubrité que tout citoyen est en droit d’attendre ainsi qu’une aide immédiate en cas de problème.

Le recrutement posait problème – les missions changeaient . Nous étions devenus- c’était mon sentiment – des agents des finances percevant des impôts indus.

Aujourd’hui , nonobstant les velléités de certains de garder leur libre arbitre , une administration tyrannique attend des ses forces de l’ordre ( devenues force du désordre ) qu’elle ne réfléchissent plus et obéissent sans état d’âme à tous les ordres injustes ou potentiellement illégitimes.

Gendarmerie et police deviennent des miliciens, chargés de protéger, non le peuple, mais un pouvoir qui n’est plus démocratique.

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1. petitgibus dit :
  
  29 avril 2025 à 16 h 26 min
  
  Le seul titre de l’article m’avait suggéré un ras le bol motivé par des valeurs à défendre et non pas par une cadence de travail trop dure.
  Si chacun dans sa profession avait respecté les mêmes « convictions et principes de vie » que vous avez défendus nous n’en serions pas là où nous en sommes aujourd’hui.
  Mes respects, vous personnifiez la seule vraie opposition concrète au système et le modèle que tous devraient suivre.
  
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2. Phil2 dit :
  
  30 avril 2025 à 4 h 33 min
  
  Merci pour ce témoignage !
  Ce sont les forces de l’ordre qui sont le nœud de la guerre qui se ”joue” actuellement !
  Faudrait se réveiller une bonne fois pour toutes et ARRÊTER D’OBEIR AUX ORDRES DE CES POLITIQUES OU SUPERIEURS ….. POURRIS !
  
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david777 dit :

29 avril 2025 à 13 h 34 min

la police municipale ha elle est bien bonne celle-la . chez nous elle traque et volent les gens de chez nous les autres n’ont rien a craindre. elle n’est pas pour l’ordre et la tranquilité mais pour approvisionner en argent frais les municipalité. j’observe et je conclue et si ca avait été le contraire je l’aurais dit mais ce n’est pas le K. et celui qui dit le contraire est un menteur ,sous le soleil rien de neuf si ce n’est du vieux.

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Raso dit :

29 avril 2025 à 12 h 45 min

Il part dans la police municipale et quitte donc la gendarmerie. Je ne connais pas la situation par rapport aux municipalités, il y a sans doute moins de pression chez les policiers municipaux ? Une meilleure condition de travail ?
Moi je pense qu’il a bien fait sans doute de ne pas s’engager dans la police nationale, car la situation doit être similaire que celle des gendarmes : une hiérarchie qui pour l’instant obéit aveuglément aux Autorités. Tant que cette hiérarchie » se couche » devant l’Etat, je ne vois pas comment les choses vont s’améliorer à tous les niveaux (conditions de travail désastreuses entre autres).

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Bénédicte G dit :

29 avril 2025 à 11 h 19 min

Je ne suis pas sûre que la gouvernance municipale soit plus morale que la gouvernance nationale, le clientélisme et les petits arrangements entre amis étant le fond de commerce de bien des municipalités.
D’ailleurs, cette police moins bien formée et à compétence moins large n’existerait pas si la police nationale avait suffisamment d’effectifs pour assurer ses missions. En fait, la création de cette police est une entourloupe car elle contraint le citoyen à payer deux fois sa sécurité: une fois via ses impôts et taxes d’Etat, et une seconde fois via ses impôts locaux. Et malgré cette double police, est-on plus en sécurité aujourd’hui qu’il y a 20 ans? Même pas puisque se développe aussi une sécurité privée.
Et comment pourrait-il en être autrement lorsque les voyous s’amusent à tirer sur les prisons, mettent le feu aux commissariats ou obligent des enfants de classes maternelles à déménager parce qu’ils ont fait de leur école un lieu de trafic.

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dubourg dit :

29 avril 2025 à 10 h 03 min

Très bonne decision mais j aurais d abord plante un congé de longue maladie histoire de faire chier la hiérarchie un max et puis asta wego, plutôt la pm qu une balle dans la tête. Heureusement que j ai pris la retraite il y a longtemps sinon j aurais flingue toute ma hiérarchie faite de gens soumis marchant le pantalon baissé et le pot de vaseline à la main.

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robin dit :

29 avril 2025 à 8 h 44 min

bien dis ça : La gendarmerie paie l’obéissance aveugle envers des dirigeants qui ont choisi le Peuple pour ennemi.
alors que choisir ….la police ?? m’enfin, encore de la répression, envers le peuple, encore de la collaboration avec l’ennemie sus cité…

pourquoi ne pas changer de voie , faire enfin un métier de production, servir à quelque chose, être utile aux autres d’une façon honnête, le maçon construit des maisons, l’agriculteur nourris la population, ces gens là sont utile à la société….changer de métier !

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1. Bruno83 dit :
  
  29 avril 2025 à 10 h 15 min
  
  Pourquoi changer de voie ?
  Il faut des gendarmes. Avez-vous seulement imaginé un pays sans police ?
  
  J’ai servi 35 années en Gendarmerie. Retraité depuis 6 ans, je peux vous assurer que des centaines de personnes m’ont remercié d’avoir été là lorsqu’elles avaient besoin de nous.
  
  La Gendarmerie a tout simplement beaucoup changé. C’est ce changement qui pousse aujourd’hui Sergio à démissionner après 13 années de service.
  Lorsque je me suis engagé en 1983, la plupart de mes camarades partageaient la même foi dans notre métier. Nous étions militaires dans l’âme, animés par la rigueur, le respect, le sens du devoir : servir notre pays et protéger la population.
  
  À partir des années 2000, nous avons commencé à ressentir un léger glissement. Puis, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, tout s’est accéléré. Le passage de la Gendarmerie sous la tutelle du Ministère de l’Intérieur a marqué un tournant. Nos officiers supérieurs, autrefois garants de nos valeurs, sont devenus les exécutants des Préfets, et tout a basculé.
  
  L’avancement au mérite, les primes exceptionnelles, l’esprit de compétition ont été instaurés. Désormais, pour réussir, il fallait briller, plaire et obéir aveuglément. C’est ainsi que beaucoup de gradés sont devenus carriéristes, méprisant ceux qui faisaient vivre l’institution au quotidien.
  
  Aujourd’hui, il n’y a plus la moindre considération pour le personnel de base. Pourtant, ce sont eux qui font tourner la boutique ! Je n’aborderai pas le travail des gendarmes mobiles qui sont corvéables à merci, et qui sont formés pour protéger le gouvernement et faire peur aux Français qui n’osent même plus manifester. Cependant, je serais à la place de certains, je ne sais pas si j’oserais encore me regarder dans le miroir le matin en me rasant.
  
  On nous parlait de « grande famille » dans les discours officiels, lors des fêtes de la Sainte-Geneviève… Quelle farce ! Cette « famille » ressemble désormais davantage aux Thénardier qu’à une communauté soudée.
  
  Je comprends parfaitement Sergio. Je lui souhaite de tout cœur de réussir dans sa nouvelle voie !
  Je suis certain qu’il y trouvera enfin un équilibre, une vraie vie de famille — car il ne faut jamais oublier que la famille, elle aussi, paie le prix de ce métier.
  
  Bon vent, Sergio !
  
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  1. robin dit :
    
    29 avril 2025 à 11 h 25 min
    
    Bruno, c’est ce que je dis, la faute aux ordres, à la hiérarchie , les gendarmes du temps de mes grands parents c’étaient autre chose, au service du peuple….changer de voie, oui, car le service qui devrait être , n’est plus, à une époque j’allais vers les gendarmes ou la police, j’ai travaillé avec eux sur des interventions de sécurité civile en tant que pompier …maintenant quant je voie un gendarme ou un policier, je fuis, car je sais qu’ils vont me faire payer pour satisfaire leur statistique, pour engraisser encore et encore un état malfaisant ….
    
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    1. Bruno83 dit :
      
      29 avril 2025 à 12 h 43 min
      
      Sous cet angle, je suis bien d’accord avec vous ! Je n’avais pas saisi le sens de la phrase. Merci.
      
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2. thérébentine dit :
  
  29 avril 2025 à 10 h 16 min
  
  encore faut-il avoir les compétence pour & y trouver un travail
  le bâtiment bat de l’aile & en agriculture les terres sont déjà occupées
  
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  1. Bruno83 dit :
    
    29 avril 2025 à 10 h 31 min
    
    Tout à fait ! Car la majorité des candidats ont fait des études sans formation professionnelle. La plupart des jeunes qui entrent aujourd’hui en Gendarmerie ne trouve pas de boulot. Ce n’est plus par la foi ou pour la salaire et la sécurité de l’emploi. Le salaire n’a rien d’exceptionnel, vu les heures d’astreintes et les risques, et la sécurité de l’emploi elle vacille…
    
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3. Stéphane Autran dit :
  
  29 avril 2025 à 11 h 04 min
  
  Bravo robin ! J’aurais exprimer la même chose !
  
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4. jean-pierre s 82 dit :
  
  29 avril 2025 à 15 h 36 min
  
  +++
  
  Cdt, jp
  
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Alf dit :

29 avril 2025 à 6 h 42 min

Les gens d’armes ont l’autorité de l’état pour défendre le bien public, étant assermentés afin de défendre la vérité. Mais ne nous trompons pas, Boris Vian a illustré bien des dérives de ces professionnels.
Le risque actuel est de voir venir des milices privées ou des sections spéciales au service des mafias pour assurer une certaine sécurité. Et nous voyons aussi le dévoiment de la justice avec la banalisation des violences sexuelles à l’encontre des enfants, la non incarcération des politiques ou ces fameux 80000€ d’amende pour un boulanger travaillant le 1er mai.
Comme le dit cet article, les gendarmes paient leur obéissance. La police n’est pas mieux lotie, se montrant déjà très agressive contre les gilets jaunes.

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1. altitudeM dit :
  
  29 avril 2025 à 9 h 41 min
  
  Complètement d’accord avec vous et c’est un constat terrible!
  
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2. Superman dit :
  
  29 avril 2025 à 11 h 56 min
  
  Cher Alf,
  
  Ca n’est pas parce qu’un Boris Vian apporte une interprétation absolument subjective qu’elle doit en être citée en exergue d’une courte démonstration sur le fonctionnement de notre société que vous ne résoudrez pas en 4 lignes ici…. Le prisme de la vérité n’est jamais perçu que par quelques reflets très flous par les mortels que nous sommes, pour rappel…
  
  Je vais rebondir sur le « pauvre » boulanger – car j’en sais quelques chose, c’est le moins qu’on puisse dire – et la polémique qui fait rage grâce aux médias qui pervertissent encore et toujours les faits et endorment les citoyens dénués de culture…
  
  Je vais la faire brève pour ne pas être pesant :
  
  La loi, et plus précisément l’article L.3133-4 du Code du Travail, dispose que le 1er mai est un jour férié et chômé : mais cela concerne la situation des salariés dans une entreprise dont la nature de l’activité ne permet pas d’interrompre le travail (Art. L.3133-6 du même Code).
  
  Mais au-delà de la loi, c’est avant tout une victoire sociale qui détermine à l’origine, en 1947, que ce jour puise être accordé aux salariés en guise de repos… Et l’on se retrouve aujourd’hui à constater que, comme lorsqu’il s’agit de démonter le bon sens d’un fonctionnement, c’est grâce à l’inversion accusatoire que l’on remet en doute ce qui représentait une avancée sociale.
  
  Je rappelle que ce jour du 1er mai a été choisi qu’historiquement par les « esclaves » du travail du 19ème siècle pour manifester à la faveur de l’amélioration de leur conditions de travail et, par conséquent, de vie familiale.
  En l’occurrence, ce boulanger n’avait pas le droit d’employer ses salariés sur ce seul jour de l’année selon le texte en vigueur…
  …Mais aujourd’hui, les « esclaves » modernes du travail revendiquent de pouvoir travailler ce même jour pour soit-disant être payés au double ?… soit un peu plus de 60€ nets de plus pour le salarié mais combien de chiffre d’affaire en plus pour le « pauvre » employeur » vis-à-vis des ses employeurs homologues qui, eux, respectent leurs salariés, et qui rendent – qui plus est – hommage implicitement à la souffrance de nos aïeux qui se sont battus pour ne plus mourir au travail ???
  
  Parce que c’est essentiellement de cela qu’il s’agit…
  
  On ne voit que par le fric et partout où il prédomine, il y a perversion…. (c’est à dire un peu partout aujourd’hui et c’est aussi la raison pour laquelle on laisse, quoiqu’on nous fasse croire, proliférer le trafic de stupéfiants, bien plus rentable que toutes les plus grosses entreprises françaises réunies….)
  
  C’est quoi la suite? revendiquer pour l’annulation des congés payés? L’instauration du chaos et le retour de la loi du « plus fort »?…
  
  La vraie dérive actuelle est issue des manipulations qui ont permis… qui ont imposé, pardon… le muselage de chacun d’entre nous ; que nous le voulions ou non, nous vivons déjà ce grand asservissement dont nous avaient déjà prévenus les réels « dirigeants » du Monde jusqu’à ce que nous soyons complètement écrabouillés par l’IA, le transhumanisme, ou toute autre perversion au profit du seul pouvoir des certains psychopathes mégalos…
  
  Enfin, ça n’est qu’un avis…
  
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  1. Le Blaireau masqué dit :
    
    29 avril 2025 à 13 h 34 min
    
    Un restaurateur qui a le droit de travailler le 1er mai m’en a parlé samedi, il a eu comme réponse « le boulanger n’a pas un travail essentiel, le restaurateur a un travail essentiel ».
    
    Mais comme il n’y a pas de travailleurs le 1er mai, pas de menu du jour pour nourrir ceux-ci, mais juste des clients qui vont au restaurant « pour le loisir ».
    
    Si le but est de protéger les salariés des boulangers, ils ont oubliés les salariés des restaurants…
    
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    1. Superman dit :
      
      29 avril 2025 à 13 h 54 min
      
      « le boulanger n’a pas un travail essentiel, le restaurateur a un travail essentiel »…
      
      Réponse donnée par qui?….
      
      Il n’appartient qu’aux juges du fond d’apprécier souverainement si le prévenu apporte la preuve que la nature de son activité ne lui permettait pas d’interrompre le travail le 1er mai (Jurisprudence de la chambre criminelle du 8/02/2000 – pourvoi n°99-82.118)…
      
      Et je suis d’accord : trop de salariés oubliés…. Trop peu de contrôle sur ces points, restriction de fonctionnaire oblige et ça n’est pas demain que ça changera malheureusement. Mais, il y a un grand Mais : C’est avant tout aux Patrons, qui, s’ils le voulaient et parce qu’ils savent lire, doivent s’assurer des conditions de travail « légales » de leurs salariés… Il ne faudrait pas faire tomber la faute sur la mauvaise cible…
      
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3. Treillis vert dit :
  
  29 avril 2025 à 14 h 36 min
  
  Je pense avoir lu que la moyenne de durée d’un gendarme est de cinq ans et demi . J’ai travaillé dans le privé, ai fait mon service militaire chez les parachutistes, j’ai rejoint la gendarmerie mobile en 1983 .à l’époque c’était autre chose, la nouvelle Caledonie en 1984 et 1986 fut très formatrice.mais je fus obligé d’aller en départementale sans pouvoir passer mon brevet d’arme. Je décidais de rejoindre les CRS , même travail mais des conditions de travail supérieures et des droits respectés . Mais je n’ai jamais passé mon temps à racketter les honnetes citoyens .j’ai pris ma retraite juste avant les gilets jaunes, j’ai été bien inspiré . Je partage certains avis ici, quands à la police municipale, pour peu que j’en connaisse dans ma région, les policiers font leur travail et il y a beaucoups d’anciens gendarmes parmi eux . Neanmoins, l’avenir est bien sombre pour les différentes forces de l’ordre, l’escroquerie du COVID a été déterminante. Je crains que nous ne feront pas l’économie de graves bouleversements, voire une guerre civile . Nous verrons bien .
  
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