LE RAPPORT EXPLOSIF SUR LE TERRORISME D’ÉTAT EN FRANCE PAR SYLVIE CHARLES | GPTV

Sylvie Charles a produit un rapport complet et accablant sur le terrorisme d’État en France et le rôle clef de la justice au sein de l’état français.

Terrorisme d’État en France, le rôle clef de la justice : un rapport accablant

Sylvie Charles est une citoyenne engagée dans un combat contre les institutions.

C’est l’assassinat de son père, en 2010, qui l’a poussée à enquêter et lui a permis de découvrir un véritable réseau mafieux au sein des institutions françaises.

Mafia politique, blanchiment d’argent, trafic de drogue et d’organes, infiltration russo-chinoise, la France se trouve aujourd’hui profondément affectée par la corruption, dans toutes les instances politiques.

  • Jusqu’où s’étend cette corruption mafieuse ?
  • Macron travaille-t-il pour des services étrangers ?
  • Comment lutter contre cette corruption étatique ?

Sylvie Charles est venue évoquer avec nous cette enquête tentaculaire, le 25 Avril 2024, sur le plateau de GPTV.

Dans le cadre de ses recherches et de ses découvertes, elle a produit un rapport complet et explosif sur le rôle réel de la justice au sein de l’état français, dont voici le sommaire et le résumé.

Consultez et/ou téléchargez le rapport complet ici ou en fin d’article (avec ses annexes).

Table des Matières

Avant-propos
Introduction

1ère PARTIE

CHAPITRE I – LE TERRORISME D’ETAT – LE TERRORISME INTERNATIONAL (P.2)


1 – Définition du terrorisme d’Etat
2 – Application du terrorisme d’Etat
3 – Le terrorisme international
4 – Le terrorisme : une menace pour les démocraties selon le Conseil de l’Europe
5 – Le terrorisme selon la commissaire aux droits de l’homme


CHAPITRE II – LE STATUT JURIDIQUE DE LA FRANCE (P.3)


1 – Les principaux principes fondamentaux du droit français
2 – Les magistrats – les avocats
3 – L’Ordre National des Barreaux
4 – La commission d’enquête sénatoriale sur les mutations de la Haute fonction Publique du 4 octobre 2018

a – Audition de Maître Florent MEREAU
b – Audition de Maître VAN BENEDEN
c -Analyse
d – Quel est le rôle d’une commission d’enquête parlementaire ?
e – Qu’est-ce que le blanchiment d’argent ?
f – Le conflit d’intérêt est-il légal ?


CHAPITRE III – LES 7 AFFAIRES JUDICIAIRES (P.7)


1 – Dossier 1 : Décès de Sylvie BOUTROY, policière à PARIS
2 – Dossier 2 : L’affaire du Brigadier-chef DEMONCHY, policière

a – Code de la sécurité intérieure au nom de la Souveraineté de l’Etat : illégal
b – Intensification du harcèlement
c – Liste des dossiers sensibles
3 – Dossier 3 : Gilles DELPIERRE voisin et victime collatérale
4- Dossier 4 : Affaire d’Etat – Assassinat du père de Sylvie CHARLES
5 – Dossier 5 : Mesures disciplinaires à l’encontre du Dr LORIDAN
a – Le devoir de réserve – le secret professionnel
6 – Dossier 6 : Litige devant le Tribunal de proximité de ROUBAIX
7 – Dossier 7 : Litige avec la Mairie de WASQUEHAL et GRDF
8 – Notre Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789
9 – Le droit à la résistance


CHAPITRE IV : La politique de l’hybridation vide juridique (P.17)


I – La structure organisationnelle politique
2 – Leur définition de la « mondialisation »
3 – Leur définition de « hybride »
4 – Le changement
5 -Atteintes progressives au bloc de constitutionnalité

a – L’abrogation de l’article 4 de la loi n°2000-321 du 12 avril 2000
b – La propagande
6- Structures hybride : EUROGENDFOR, l’association la FIEP et le CNAPS
a – EUROGENDFOR
b – L’Association FIEP
c – Le CNAPS : Le Conseil National des Activités Privés de Sécurité

  • Organisation du CNAPS
  • CNAPS intitulé : « Entreprises étrangères : comment exercer en France ? »
  • Historique du CNAPS
  • Le CNAPS : police politique

7- Les serments
8- Les autorités publiques indépendantes non soumises au décret
9 – Rôle du Conseil d’Etat et Rôle de la Cour de cassation
10 – Exemples : Agence France Presse – APCR
11- Le Ministère des Finances Publiques et ses structures hybrides : ESI MEYZIEU

a – Fonctionnement d’ESI MEYSIEU
b – La complicité de La Cour des Comptes et du Haut Conseil des Finances Publiques
12 – Influence d’associations illégales sur nos institutions : politique hybride
a – Résultat
b– Synthèse de la 1ére partie

2éme PARTIE

CHAPITRE I : Le nouvel ordre mondial et le monde multipolaire (P.41)


1 – Extrait de l’annexe au procès-verbal du 17 octobre 2001 du Sénat n°32
2- Point historique
3- La chaire Paris Dauphine – le club des régulateurs – la fondation DAUPHINE – la Chaire FINTECH

a – La chaire Paris Dauphine
b – Le club des régulateurs
c – La fondation Dauphine – la Chaire FINTECH
4 -Le Club JEFFERSON
5- Le cercle du 21ème siècle

a – Voici la fiche du fondateur du cercle du 21ème siècle : Hakim El Karoui
b – Les co-présidentes aujourd’hui sont : Batoul HASSOUM et Elsa Mainville
c – Les partenaires du club 21ème siècle

  • Le cercles des économistes
  • Le Groupe de recherches ACHAC
  • La Fondation pour la mémoire de l’esclavage
  • Le CESE- (le Conseil Economique Social Environnemental)
    d – Quelques intervenants au club du 21éme siècle

6- Le Young Méditerranean Leaders
7- Lien entre Emmanuel MACRON – Hakim EL KAROUI – Lionel KINSOU – Henri de CASTRIES
8- Le cercle K2

a – Ces membres fondateurs
b -Liste des sujets abordés de façon « informel »
c – Présentation de 3 membres
9 – Le Cercle Richelieu Senghor


CHAPITRE II : Les organisations infiltrées au cœur même de nos institutions en lien l’ONU (P.53)


1 – L’Assemblée Parlementaire de la Francophonie
a – Les partenaires de l’APF sont de 3 catégories
b – L’APF a suspendu des pays
2 – UIP – Union Interparlementaire : Organisation mondiale des parlements en lien avec l’ONU
a -Extrait des statuts de l’UIP
3 – Organisation Internationale de la Francophonie, OIF
a – Missions de l’OIF – gouvernance
b – Le Conseil Permanent de la Francophonie
c – Les différents régimes politiques de quelques pays
4– La gouvernance parallèle au nom de la francophonie : l’APF, l’OIF, CPF, L’UIP
5– L’AOMF (Association des Omsbusdants et Médiateurs de la Francophonie et le Défenseur des Droits)
6 – L’ONU – L’OTAN : l’hybridation
a – Quel est le bilan de l’ONU ?


CHAPITRE III : Le terrorisme d’Etat (P.61)


1 – L’incompétence de l’Etat : Terrorisme d’Etat
3 – ANTICOR
2 – Objectif de ce terrorisme d’Etat


BILAN –SYNTHESE (P.66)
1 – Bilan au 7 novembre 2023 des 7 dossiers judiciaires
2 – Réquisitoire définitif aux fins de non-lieu du Tribunal de Paris
3 – Synthèse


CONCLUSIONS (P.68)

Liste des Annexes

Le rapport inclut plusieurs annexes qui fournissent des preuves supplémentaires et des documents de référence pour soutenir les accusations faites, dont voici la liste :

Annexe 1 : la note du commissaire GALLO et la réponse du Brigadier-chef DEMONCHY
Annexe 2 : Fiche conséquences de la vaccination
Annexe 3 : Réponse du bâtonnier de BETHUNE
Annexe 4 : courrier du Tribunal de Paris du 12 avril 2023
Annexe 5 : courrier du Tribunal de PARIS du 3 février 2021
Annexe 6 : Extrait du compte rendu du Sénat de novembre 2011
Annexe 7: La FIEP une association des forces euro-méditerranéennes de
Gendarmerie et de police
Annexe 8 : Le Koweït et le Sénégal intègrent la FIEP lors du sommet en Turquie
Annexe 9 : ordonnance n°2022-448 du 30 mars 2022
Annexe 10 : Décret n°2022-449 du 30 mars 2022
Annexe 11 : Fiche CNAPS : Entreprises étrangères : comment exercer en France ?
Annexe 12 : Légifrance sur les autorités administratives et les autorités
Annexe 13 : Fiche du SNEAS – Le Service National des Enquêtes Administratives de Sécurité
Annexe 14 : Rappel à l’ordre par la CNIL le Ministère des Finances publiques
Annexe 15 : Liminaire du CAS FS du 20 juin 2023
Annexe 16 : DISI : le grand chambardement
Annexe 17 : Accueil des contribuables : de mal en pis !
Annexe 18 : Compte rendu de réunion DISI du 28 juin 2023
Annexe 19 : Graphique des salaires
Annexe 20 : Intégration du trafic de drogue dans le calcul du PIB
Annexe 21 : Rapport SENAT : Session 2001-2002 autorisant l’approbation
Annexe 22 : Texte originel en anglais de la conférence : l’Islam et les pères
Annexe 23 : Fiche Young MEDITERRANEAN LEADERS
Annexe 24 : la loi n°89-436 du 30 Juin 1989 … (AIPLF) et à ses privilèges et immunités
Annexe 25 : Charte de la Francophonie du 23 novembre 2005
Annexe 26 : organigramme de l’OIF
Annexe 27 : Extrait de jugement
Annexe 28 : Budget de l’OIF
Annexe 29 : La gouvernance et les principaux membres de l’AOMF
Annexe 30 : Liste institutionnelle des réseaux de la Francophonie
Annexe 31 : Déclaration du gouvernement de la République française…Diplomatie
Annexe 32 : Caisse des Dépôts article L’art de la Guerre CHINOIS
Annexe 33 : Légifrance : les articles 5 et 6 en vigueur
Annexe 34 : Légifrance : l’article 6 en vigueur du 1er janvier 2006 au 24 mars 2012
Annexe 35 : Réquisitoire définitif Tribunal de PARIS
Annexe 36 : Audition auprès du Tribunal de PARIS
Annexe 37 : courrier d’EUROPOL – Réponse du Ministère de l’Intérieur

Ces annexes sont essentielles pour comprendre l’ampleur des accusations et les preuves à l’appui des allégations de corruption, d’incompétence, et de déviance au sein de la justice française.

Elles offrent une vue détaillée des mécanismes par lesquels le terrorisme d’État est mis en œuvre et protégé par les institutions judiciaires et politiques.

Résumé du rapport : Terrorisme d’Etat en France – Rôle de la justice

Le rapport « Terrorisme d’État en France : Rôle de la justice » accuse l’État français d’utiliser des méthodes terroristes pour manipuler la population et compromettre la souveraineté nationale au profit de puissances étrangères et privées.

Ce document de 74 pages examine en détail comment la justice joue un rôle central dans ces allégations de terrorisme d’État.

Le rapport, rédigé par un collectif animé par la volonté de protéger la nation et de préserver la démocratie, se concentre sur sept affaires judiciaires représentatives de la déviance de la justice française et de la violation des droits fondamentaux des citoyens.

Vous trouverez ci-dessous les avant-propos, le mot de Sylvie Charles, puis le résumé du rapport.

Avant-propos

La Constitution promulguée le 4 octobre 1958 a donné au Peuple la souveraineté de la Nation. Ce qui nous confère des droits, des droits imprescriptibles mais aussi des obligations.

Tout citoyen a l’obligations de dénoncer tout crime, tout délit portant a8eintes aux intérêts fondamentaux de la Nation. Comme tout citoyen a l’obligation d’entrer en résistance face à l’oppression. La Constitution de 1958 est une trilogie, puisque le préambule de 1946 et la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1789 y sont inscrits en annexe.

Ce rapport a pour objectif de démontrer de façon factuelle que l’Etat français exerce le terrorisme d’Etat afin de conduire la population à désavouer sa Constitution au profit de puissances étrangères et privées.

C’est une accusation grave, aussi, il est nécessaire de définir ce qu’est le terrorisme d’Etat, et de rappeler les intérêts fondamentaux de notre Nation.

L’un des acteurs majeurs intervenant dans l’exercice du terrorisme d’Etat, la justice, et plus précisément le monde de la justice sera au centre de ce rapport.

Pour cela, 7 dossiers judiciaires vont être présentés, on peut les qualifier « d’affaires d’Etat ». Ils sont représentatifs de la déviance de la justice et de la violation de nos droits fondamentaux.

Le monde de la justice va nous conduire à un concept structurel qui a des ramifications à l’international, et les conséquences de ces manquements vont être abordés, en mettant en évidence les « incompétences » de nos gouvernants.

Ce rapport est le résultat d’un travail collectif. Ce collectif est hétérogène, animé par la volonté de protéger notre Nation et de conserver notre Démocratie, notre souveraineté de la Nation.

Mot de la rédactrice, Sylvie Charles

Je suis directement concernée par le dossier n°4, qui est l’affaire centrale qui a permis de découvrir « l’imbroglio » mis en place par nos gouvernants.

Les faits dévoilés dans ce rapport constituent à peine une fraction des informations obtenues au cours de nos investigations. La rédaction de ce rapport se veut objective, les faits étant suffisamment évocateurs du terrorisme d’Etat et de « l’incompétence » de nos gouvernants.

À la rédaction de ce rapport ont collaboré : le Brigadier-chef Sylvie DEMONCHY de la Police Nationale, victime du dossier n°2, Emilie TOMMASI réalisatrice, citoyenne, Jean-Claude CHARLES victime du dossier n°4.

La Constitution de 1958 : Un Pilier de la Souveraineté

La Constitution française du 4 octobre 1958 est au cœur de ce rapport. Elle accorde la souveraineté nationale au peuple français et garantit des droits et obligations fondamentaux.

Le rapport rappelle que tout citoyen a le devoir de dénoncer les crimes et délits qui portent atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation, et de résister à l’oppression.

La Constitution inclut également le préambule de 1946 et la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, soulignant ainsi son importance historique et légale.

Ces textes fondateurs définissent les principes de la République française : indivisibilité, laïcité, démocratie et égalité devant la loi.

Le rapport insiste sur le fait que la justice doit respecter et protéger ces principes pour garantir la souveraineté et les droits des citoyens.

Chapitre I : Le Terrorisme d’État et International

Définition du Terrorisme d’État

Le rapport définit le terrorisme d’État comme l’utilisation de pratiques illégales par le gouvernement pour semer la terreur et atteindre des objectifs qui seraient difficilement réalisables légalement.

Contrairement au terrorisme privé, ces actes sont orchestrés par les institutions de l’État, visant à manipuler et contrôler la population pour maintenir un certain ordre ou favoriser des intérêts spécifiques.

Le terrorisme d’État utilise la peur comme outil de gouvernance, sapant les fondements de la démocratie en substituant la loi et l’ordre par la terreur et l’intimidation.

Application et Collaboration

Pour instaurer un régime de terrorisme d’État, il est nécessaire d’avoir la coopération de la justice, l’asservissement des forces de l’ordre et des armées, ainsi que l’appui des réseaux de grand banditisme.

Ces derniers, souvent impliqués dans des activités criminelles telles que le trafic de drogues et le blanchiment d’argent, fournissent les ressources financières et opérationnelles nécessaires pour exécuter des actions terroristes.

Le rapport accuse la justice française d’être un acteur majeur dans cette dynamique, favorisant la culture de l’incompétence et de la corruption pour masquer les activités illégales et les violations des droits humains.

Les institutions judiciaires ont été détournées de leur mission de protection des citoyens pour servir les intérêts de ceux qui cherchent à instaurer un régime autoritaire.

Le Terrorisme International

Le rapport évoque le rôle du terrorisme international, soutenant que les réseaux terroristes visent à déstabiliser les États démocratiques.

En 2004, le Conseil de l’Europe a précisé que le terrorisme international s’attaque aux États démocratiques, cherchant à ruiner les valeurs démocratiques et à déstabiliser les régimes.

L’ONU est critiquée pour son inefficacité à remplir sa mission de paix mondiale et pour son manque d’engagement face au terrorisme.

Le rapport souligne également les divergences entre les partenaires de l’Alliance atlantique sur la perception de la menace terroriste et les méthodes de lutte contre celle-ci.

Malgré les efforts internationaux, le cadre législatif reste morcelé et incomplet, ce qui permet au terrorisme de prospérer en exploitant les failles des systèmes juridiques et politiques.

Chapitre II : Le Statut Juridique de la France

Principes Fondamentaux du Droit Français

La France est une démocratie à la souveraineté nationale, un État de droit où tous les citoyens sont égaux devant la loi.

Le rapport insiste sur l’importance de respecter les principes fondamentaux du droit, tels que la légalité, la sécurité juridique, la protection des droits fondamentaux, l’égalité devant la loi, et la responsabilité.

Ces principes sont essentiels pour assurer que les actions de l’État soient fondées sur des lois écrites et conformes à la loi, protégeant ainsi les citoyens contre des actions arbitraires et abusives des autorités.

La hiérarchie des normes, la séparation des pouvoirs et l’indépendance de la justice sont des éléments cruciaux pour le fonctionnement d’une démocratie saine. Le rapport critique les atteintes à ces principes et appelle à une réaffirmation de l’État de droit.

La Déviance de la Justice

Le rapport critique la justice française pour sa déviance et sa violation des droits fondamentaux.

Il mentionne des modifications illégales de la Constitution, notamment l’article 65, et accuse le Conseil supérieur de la magistrature de manquer à ses devoirs.

La déviance de la justice est illustrée par des cas de corruption, d’incompétence, et de manipulation des procédures judiciaires pour protéger des intérêts privés et étrangers au détriment des droits des citoyens.

Les magistrats et avocats sont accusés de ne pas respecter leurs obligations déontologiques, ce qui compromet l’intégrité du système judiciaire.

Exemples de Corruption et Incompétence

Plusieurs affaires judiciaires, citées comme exemples de cette déviance, révèlent des pratiques de corruption, d’incompétence et de manipulation au sein de la justice, ainsi que des liens avec des réseaux de grand banditisme et des activités de blanchiment d’argent.

Le rapport présente sept cas emblématiques qui démontrent comment la justice française a été détournée pour servir des intérêts particuliers, compromettant ainsi l’intégrité et l’indépendance de l’institution judiciaire.

Ces cas démontrent comment les décisions judiciaires peuvent être influencées par des pressions externes, menaçant la justice et l’équité pour tous les citoyens.

Chapitre III : Le Terrorisme d’État en Action

Incompétence et Manipulation

Le rapport accuse directement le Président Emmanuel Macron et la Première Ministre Elisabeth Borne d’incompétence.

Il critique les décisions économiques et politiques prises sous leur mandat, les accusant de signer des contrats publics au détriment des citoyens français.

Ces décisions sont des exemples de manipulation économique et politique visant à affaiblir la souveraineté nationale et à favoriser un régime de contrôle totalitaire.

Le rapport détaille comment certaines politiques publiques ont été mises en œuvre sans considération pour leurs impacts négatifs sur les droits et libertés des citoyens.

Objectif du Terrorisme d’État

L’objectif principal de ces pratiques est de retirer les droits fondamentaux des citoyens et de les soumettre à un régime totalitaire international.

Le rapport met en avant des exemples de manipulation économique et politique, ainsi que des atteintes aux droits de l’homme, pour démontrer comment ces pratiques servent les intérêts de puissances étrangères et privées, au détriment de la démocratie et de la souveraineté nationale.

Le rapport affirme que ces actions visent à créer un climat de peur et de soumission, facilitant ainsi l’instauration d’un régime autoritaire.

Cas Concrets

Sept affaires judiciaires sont présentées pour illustrer ces accusations. Ces affaires mettent en lumière des pratiques de harcèlement, d’injustice et de manipulation au sein de la justice française, et montrent comment ces pratiques servent les intérêts d’un régime de terrorisme d’État.

  1. Affaire 1 : Décès de Sylvie Boutroy
    • Sylvie Boutroy, fonctionnaire de police à Paris, est retrouvée morte dans des circonstances suspectes.
    • Le rapport accuse la justice d’avoir classé l’affaire sans suite, malgré des preuves de harcèlement et d’agression.
    • La famille de Sylvie, sans soutien juridique adéquat, se retrouve abandonnée par le système judiciaire. Les enquêteurs ont rapidement conclu à un suicide sans mener d’investigation approfondie.
    • Les incohérences dans les rapports d’autopsie et les témoignages de la famille, qui décrivent Sylvie comme une battante, ont été ignorées.
    • Le syndicaliste CGT qui assistait Sylvie a dénoncé le cynisme de l’administration, mais aucune action n’a été entreprise.
  2. Affaire 2 : Harcèlement de Sylvie Demonchy
    • Sylvie Demonchy, brigadier-chef de la Police Nationale, subit un harcèlement systématique après avoir dénoncé des maltraitances en garde à vue et des conditions insalubres.
    • Les tentatives de dissuasion vont jusqu’à orchestrer son « suicide ».
    • La justice et les syndicats sont accusés de complicité et de manquements graves à leur devoir de protection des droits.
    • Sylvie a été dépouillée de ses fonctions, et malgré des preuves de harcèlement, aucune action n’a été entreprise pour la protéger.
    • Elle a été condamnée injustement pour outrage à magistrat, et son dossier de harcèlement n’a pas été pris en compte. Son cas montre comment le système peut être utilisé pour écraser ceux qui osent défier l’autorité.
  3. Affaire 3 : Préjudice de Gilles Delpierre
    • Gilles Delpierre, voisin de Sylvie Demonchy, est une victime collatérale des abus de pouvoir de la justice.
    • Privé de ses droits de propriété, il est abandonné par les avocats locaux qui refusent de le représenter. L’Ordre des avocats de Béthune est critiqué pour son inertie.
    • Le rapport expose comment Gilles, incapable de trouver un avocat en raison de l’aide juridictionnelle et des conflits d’intérêts, est laissé sans recours, illustrant l’abandon des citoyens par le système judiciaire.
    • Son affaire de bornage a été classée sans suite malgré des preuves évidentes de préjudice.
  4. Affaire 4 : Assassinat de Claude Boccage
    • Claude Boccage, père de Sylvie Charles, est retrouvé assassiné après des années de séquestration.
    • L’affaire révèle un réseau de blanchiment d’argent et de financement du terrorisme impliquant des institutions financières internationales et des hauts fonctionnaires français.
    • La justice sabote les enquêtes pour protéger les coupables. Cette affaire met en lumière des connexions internationales et l’implication de la justice dans la dissimulation de crimes graves, y compris des transactions financières illégales.
    • Sylvie Charles a refusé une offre de 1,2 million d’euros pour la succession de son père, et a subi des manœuvres frauduleuses en réponse.
  5. Affaire 5 : Sanctions contre le Dr Loridan
    • Le Dr Loridan est sanctionné par l’Ordre des médecins pour avoir dénoncé l’inefficacité des masques et les dangers de la vaccination COVID-19.
    • Le rapport critique l’absence de preuves et les violations des procédures légales, soulignant le devoir d’information des médecins envers leurs patients.
    • Le rapport détaille comment le Dr Loridan a été injustement ciblé pour ses opinions médicales, en contradiction avec les données scientifiques et les pratiques éthiques reconnues.
    • Il a été condamné sur de simples allégations, sans preuves concrètes, et ses demandes d’informations contradictoires ont été ignorées.
  6. Affaire 6 : Litige au Tribunal de Roubaix
    • Un simple litige vétérinaire au Tribunal de Roubaix expose des dysfonctionnements systémiques.
    • Le tribunal, manquant de transparence et d’équité, déboute injustement le justiciable et favorise les parties adverses représentées par un avocat influent.
    • Le rapport décrit comment les jugements sont rendus sans respect des procédures, montrant un biais systématique en faveur des parties puissantes. Les voies de recours sont absentes, et les jugements ne sont pas rendus au nom du peuple.
  7. Affaire 7 : Litige avec la Mairie de Wasquehal et GRDF
    • Les riverains d’une voie privée à Wasquehal sont harcelés par des interventions illégales de GRDF.
    • La mairie et les autorités locales refusent d’intervenir, créant un climat d’insécurité. Le rapport dénonce l’impunité des grandes entreprises et l’inaction des autorités locales.
    • Cette affaire illustre la collusion entre les entreprises et les autorités locales pour échapper à la responsabilité, au détriment des citoyens.
    • GRDF a mené des interventions sans prévenir les riverains, créant des dangers et des responsabilités indues pour ces derniers.

Conclusion

Le rapport conclut que la justice française est profondément corrompue et complice du terrorisme d’État. Il appelle à une réforme radicale pour restaurer la souveraineté nationale et protéger les droits des citoyens.

La Constitution de 1958 doit être rétablie dans sa version originelle, et les responsables de ces abus doivent être tenus pour compte.

Les cas présentés dans le rapport montrent clairement comment la manipulation et la corruption au sein de la justice ont des conséquences dévastatrices pour la démocratie et les droits humains en France.

Pour retrouver la confiance du peuple, des mesures drastiques sont nécessaires pour réformer la justice et garantir son indépendance et son intégrité.

Le rapport insiste sur l’urgence de ces réformes pour éviter l’effondrement total de l’État de droit en France.

Source : Geopolitique Profonde

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