Le Pr Sucharit Bhakdi dit toute la vérité. Essayez de l’écouter et de l’entendre. Son témoignage est capital.
Pour arrêter cette folie et cette peur j’avais lancé une pétition, Reprenez vos libertés, ne vous faites pas tester, sur “Mesopinions.com”, expliquant à mes lecteurs qu’il ne fallait surtout pas se faire tester car c’était le meilleur moyen d’entretenir la peur par un comptage de cas positifs qui ne veut rien dire. Cette pétition est à 992 signatures. Comme aurait dit ma mère: Tu as pissé dans un violon.
Le nombre de vaccinés semble important. Les effets secondaires à court terme sont nombreux mais sous-évalués car la pharmacovigilance est submergée et a demandé aux médecins d’arrêter si possible les déclarations. Il y a des morts, plus que ceux qui ont été déclarés. Reste désormais les effets secondaires sur le long terme, plus difficiles à prouver, soumis à une procédure judiciaire que peu de personnes affronteront. Attendons et nous verrons.
Le Dr Sucharit Bhakdi, médecin spécialiste en infectiologie et microbiologiste, a travaillé en tant qu’enseignant-chercheur pendant de nombreuses années, notamment au « Max Plank Institute », avant de prendre sa retraite. Depuis le début de la crise sanitaire, il appelle à l’éthique de la part des médecins et dénonce les mensonges de l’EMA (Agence européenne du médicament) et de la FDA (Federal drug agency).
En mars 2020, il écrit le livre « Corona fausse alerte ? », où il s’interroge sur le bien-fondé des mesures sanitaires et notamment du confinement. Il y évoque la crise, les tests PCR, le dosage d’hydroxychloroquine et son surdosage dans certaines études. Il parle aussi de la vaccination de masse et des risques liés aux effets secondaires pris par les autorités. Pour lui, les faux tests PCR ont engendré des décisions de politiques sanitaires erronées.
Un des écrits du Dr Bhakdi« Nous sommes actuellement au milieu de la pandémie de COVID-19 (SARS-CoV-2), une catastrophe mondiale, apparemment causée par un nouveau virus mortel. Le monde entier tente d’y faire face depuis l’avertissement de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), selon laquelle la maladie provoquerait une mortalité de 3,4%. D’un autre côté, trois éminents spécialistes des maladies infectieuses, Wolfgang Wodarg, Sucharit Bhakdi et John PA Ioannidis, affirment que nous interprétons mal les statistiques et que, par ailleurs, nous sommes confrontés à une campagne de désinformation et non à un nouveau virus dangereux. L’OMS compte mal les décès, ignore la nature des personnes infectées et fait fi de tout ce que nous savons sur le coronavirus, de toutes les statistiques sur le rhume et la grippe, auxquelles nous avons accès, en plus des statistiques sur la mortalité de la population. Nous sommes aussi face à la création d’une “fausse image” d’une pandémie mortelle. Malheureusement, les politiciens du monde entier ont réagi à la campagne de l’OMS comme si elle était vraie, créant une peur massive de la population, qui en vient à croire que nous combattons une autre infection mortelle. La peur généralisée augmente considérablement les symptômes des patients de Corona chez l’individu sensible, pour des raisons psychosomatiques : si vous pensez que vous avez une infection mortelle et que tout le monde, y compris votre propre médecin et l’hôpital, réaffirme cette croyance, il est naturel que vous vous sentiez mal. Si vous vous sentez mal à l’hôpital, vous recevrez un traitement. L’hospitalisation et les médicaments peuvent provoquer des infections à l’hôpital, des effets secondaires et augmenter la mortalité en soi. De cette manière, le monde s’est affirmé dans l’illusion d’une pandémie mortelle, qui en premier lieu n’existe même pas. Le COVID-19 a un taux de mortalité d’environ 0,01%, selon les statistiques de décès de nombreux pays. » Le Dr Bakhdi a créé l’association « Doctor4CovidEthics », constituée de plusieurs centaines de scientifiques et médecins, qui se battent contre les expérimentations sur les vaccins faites par l’Agence européenne du médicament (EMA). Ils ont alerté sur le risque de thrombose et expliquent pourquoi l’EMA ne peut pas continuer à faire prendre de tels risques aux personnes avec cette vaccination. Il explique que pour des motifs qui dépassent la science, ces risques sont inacceptables.
Ci-dessous, Le Pr. Sucharit Bhakdi explique les faits. On est en mars 2020. Directeur de l’Institut de Microbiologie médicale et d’Hygiène à l’Université Johannes Gutenberg de Mayence pendant 22 ans, il est l’un des infectiologues les plus respectés au monde, et l’un des chercheurs les plus cités en Allemagne.
Cette interview est réalisée par Sibylle Haberstumpf, et soutenue par Julian Jeschonowski et Christian Kwoczek.
https://www.youtube.com/watch?v=Tf6zT3YL6B4
Source : Je suis malade.org
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