Le New England Journal of Medicine admet qu’une femme enceinte vaccinée sur 8 subit un avortement spontané
Des statistiques ont été publiées sur sur les dangers associés à la prise du vaccin par les femmes enceintes, et les médias ont dénoncé leurs propres statistiques.
Aujourd’hui, le New England Journal of Medicine a apporté une correction à ses conseils sur la vaccination des femmes, en affirmant qu’en réalité, elles ne devraient pas se faire vacciner et que le vaccin n’est pas sûr.
L’étude publiée a été mise à jour après que les chercheurs ont découvert que 104 des 827 femmes enceintes ayant participé à l’étude ont subi un avortement spontané après avoir été vaccinées.
C’est environ 1 femme sur 8.
Et l’étude est suffisamment importante pour que l’on puisse supposer que ces chiffres seront valables pour tous.
Vaccins ARNm Covid-19 chez les femmes enceintes (Editorial, N Engl J Med 2021;384:2342-2343). Au moment de la publication des résultats préliminaires dans l’article original lié à cet éditorial, le nombre d’avortements spontanés était de 104 et il y a eu 1 mort-né. Cependant, aucune proportion n’a pu être déterminée pour le risque d’avortement spontané chez les participants vaccinés avant 20 semaines de gestation car les informations de suivi n’étaient pas encore disponibles pour la majorité de ces personnes. L’article a maintenant été mis à jour. Dans le cinquième paragraphe de cet éditorial (page 2342), la première phrase aurait dû se lire comme suit : « Parmi les 827 participants au registre qui ont déclaré une grossesse menée à terme, 104 ont subi un avortement spontané et 1 est mort-né », plutôt que « …une grossesse menée à terme, la grossesse a donné lieu à un avortement spontané dans 104 cas (12,6 %) et à une mort-né dans 1 cas (0,1 %) ; ces pourcentages se situent bien dans la fourchette attendue comme résultat pour ce groupe d’âge de personnes dont les autres conditions médicales sous-jacentes sont inconnues ». Dans le même paragraphe, dans la phrase commençant par « Parmi les enfants nés vivants » (page 2343), l’expression « étaient également cohérents » aurait dû se lire « étaient cohérents ». Dans le septième paragraphe, commençant par « Étant donné que », la première phrase aurait dû se terminer par « …des limitations dans leur capacité à tirer des conclusions sur les avortements spontanés, les anomalies congénitales et d’autres résultats néonatals rares potentiels », plutôt que « …à tirer des conclusions sur les anomalies congénitales et d’autres résultats néonatals rares potentiels ». L’éditorial est correct sur NEJM.org.
Source : Aube digitale.com
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