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Le monde et nous. Avec Dr Jean-Marc Sabatier et Estelle Fougères

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Diffusée en direct le 12 déc. 2024 Le monde et nous. Une émission du Dr Jacky Cassou Invités : Dr Jean-Marc Sabatier, directeur de Recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, habilité à diriger des recherches (HDR) en biochimie et Estelle Fougères, journaliste scientifique Thème : Les clés de la guérison.

Source : Youtube

2 Réponse(s) à "Le monde et nous. Avec Dr Jean-Marc Sabatier et Estelle Fougères"

Miss Soleil Vert dit :

14 décembre 2024 à 13 h 11 min

LA FAMEUSE MALADIE X POINTE LE BOUT DE SON NEZ CROCHU….
Ou Comment ils vont nous rejouer l air du Pipeau de la Plandemie et de Tous ses Corollaires iniques … À quel point devrions-nous nous inquiéter de la maladie X ?https://www.vacsafety.org/how-worried-should-we-be-about-

6 décembre 2024

Ils l’appellent la maladie X. Il s’agit d’une maladie mystérieuse qui circule dans une région reculée de la République démocratique du Congo. Chiffres actuels : près de 400 cas et 79 décès. Les autorités sanitaires internationales assurent une veille.

Tout a commencé le 24 octobre lorsque le premier patient est tombé malade d’une maladie non identifiée. D’autres ont rapidement suivi, tous dans la province du Kwango, qui se trouve à plus de 400 miles de la capitale Kinshasa. Mais ce n’est que plus de cinq semaines plus tard que le gouvernement national en a été informé.

« Au Centre d’opérations d’urgence de santé publique et à l’INSP – qui est en mode d’alerte maximale – nous avons déjà positionné des équipes de niveau central qui partiront dans les 24 heures pour rejoindre la zone de santé », a déclaré le Dr Dieudonné Mwamba, directeur général de l’INSP, qui s’est exprimé en français lors d’un point de presse jeudi.

« Les symptômes les plus fréquents qui ont été notés : fièvre, maux de tête, toux et parfois difficultés à respirer », a-t-il déclaré. Plus de la moitié des cas concernent des enfants de moins de 5 ans.

Pronostic : Incertain
Personne ne sait encore à quel point il faut s’inquiéter de la maladie X – comme l’appellent les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies. En fait, « des situations comme celle-ci se produisent probablement plusieurs fois par an dans le monde », explique Michael Osterholm, directeur du Center for Infectious Disease Research and Policy de l’Université du Minnesota, qui suit l’épidémie en RDC.

La plupart du temps, une maladie non identifiée est en fait identifiée comme quelque chose de connu et de maîtrisé localement. Cependant, dans tous ces cas, on craint que la maladie ne prenne son envol et ne se propage dans le monde entier, comme l’a fait la COVID-19. En RDC, dit-il, le taux de mortalité est frappant mais « il n’a pas semblé croître de manière exponentielle ».

Alors que des responsables congolais ainsi que des équipes internationales du CDC africain et de l’Organisation mondiale de la santé descendent dans la zone rurale pour enquêter, des échantillons de patients ont déjà été envoyés à un laboratoire de la capitale provinciale, à plus de 300 miles de là. Ils sont soumis à une batterie de tests pour voir si la maladie peut être identifiée. Les résultats sont attendus dans les 24 à 48 heures.

Un agent pathogène respiratoire tel que la grippe ou la COVID-19 fait l’objet d’une enquête en tant que cause possible, ainsi que le paludisme, la rougeole et d’autres.

À titre préliminaire, il semble que la maladie puisse être transmise par voie aérienne, ont déclaré des experts lors de la conférence de presse de jeudi. Cependant, cela n’a pas encore été confirmé et il y a des tonnes de questions sans réponse.

« Est-ce une maladie infectieuse ? S’agit-il d’une maladie non infectieuse ? Si nous parlons de maladies infectieuses, s’agit-il d’une infection virale ? S’agit-il d’une infection bactérienne ? S’agit-il d’une infection fongique ? S’agit-il d’une infection parasitaire ? Il y a tellement de choses que nous ne savons pas », déclare le Dr Jean Kaseya, directeur général du CDC Afrique. « Nous voulons savoir très rapidement, quelle est cette maladie ? Le monde se pose la question.

M. Mwamba a déclaré que la partie du pays touchée par la maladie connaît beaucoup de malnutrition – environ 40 % – et que cela peut rendre les gens particulièrement « vulnérables » aux maladies. La région a également été touchée par une épidémie de fièvre typhoïde il y a deux ans. La RDC exhorte la population à rester calme et vigilante. Il demande également aux personnes se trouvant dans la région de ne pas assister à des rassemblements de masse ou de manipuler les restes d’une personne.

Pourquoi ce retard à alerter le gouvernement ?
Kaseya a exprimé sa frustration face au temps qu’il a fallu aux autorités nationales pour être alertées. « Comment pouvons-nous accepter d’avoir cinq ou six semaines de retard ? », demande-t-il, affirmant qu’il s’agit d’un argument en faveur d’un renforcement des systèmes de surveillance des maladies et d’une relance des systèmes de santé locaux.

Cependant, M. Osterholm n’est pas surpris du temps qu’il a fallu pour que cela prenne du temps, affirmant qu’il faut souvent du temps aux agents de santé locaux pour reconstituer ce qui se passe. « Il est très possible que ces cas aient été dispersés dans une région où il ne serait pas immédiatement évident [qu’ils étaient liés] », dit-il.

Pourtant, dit-il, le temps est compté. « Nous devons nous assurer que nous avons les ressources nécessaires pour intervenir rapidement », à la fois pour le bien-être de la population locale et pour s’assurer que la maladie ne traverse pas les frontières internationales.

Dans un communiqué, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont déclaré que « le personnel du gouvernement américain, y compris ceux du bureau national du CDC américain à Kinshasa, est en contact avec le ministère de la Santé de la RDC et se tient prêt à fournir un soutien supplémentaire si nécessaire ».

M. Osterholm affirme que les autorités internationales et les autorités sanitaires de la RDC sont « partout en ce moment – et c’est un très bon signe ».

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Sonmi-⑦⑦⑦ dit :

14 décembre 2024 à 11 h 06 min

Je n’ai pas encore vu la vidéo en publication mais je tenais à partager une autre vidéo, plus courte mais passionnante dans ses conclusions.

« Un chirurgien du cerveau de haut niveau instantanément banni après l’avoir révélé ! » (24′) :
https://crowdbunker.com/v/Juo8pvirY4

Bon, pour être honnête, à moins d’être neurochirurgien et/ou ophtalmologiste, c’est imbitable.
Pour résumer et si j’ai bien compris :
– la lumière bleue produite artificiellement est toxique aussi bien pour l’œil (cataracte, myopie, rétinopathies, DMLA, …) que pour la santé en général (diabète, prise de poids, obésité, …)
– il faut un équilibre entre la lumière bleue/ultra-violets et la lumière rouge/infra-rouges

Bref, d’un côté il est bon de limiter l’exposition aux écrans et d’un autre de s’exposer davantage à la lumière du soleil (au lever et au coucher) et – en absence de l’astre du jour – de profiter du sauna (chaleur = infra-rouges).

À vérifier/confirmer.

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