Le masque, arme de soumission massive, préalable indispensable aux injections expérimentales.
Le Dr Sylvain B…, fidèle lecteur et contributeur de Profession-Gendarme nous apporte un éclairage avisé sur l’utilisation des masques :
A ce stade de cette monstrueuse arnaque mondiale, j’ai jugé intéressant après une année de faire un rappel à ceux qui ont rejoint profession gendarme récemment et contribuent à son succès grandissant.
Il y a quelques longues années, j’étais responsable de la sécurité sanitaire dans une grande entreprise agroalimentaire particulièrement exposée aux risques sanitaires médiatiques. Un Directeur Industriel de l’époque me disait : « si tu veux faire avoir la paix avec les employés et leurs syndicats, impose leur de porter un masque en prétextant un risque sanitaire, tu verras, ça marche à tous les coups ».
Quelques semaines plus tard, l’un de mes employés et représentant syndical vient me trouver pour m’alerter : « le DI (directeur industriel) veut nous imposer le masque dans certains ateliers sous prétexte de la protection des produits, qu’en penses-tu ? peux-tu vérifier si les masques sont indispensables pour les produits ? Je crains une aggravation des conditions de travail à cause des problèmes respiratoires » .
Nous avons alors convenu de vérifier scientifiquement l’effet des masques sur l’ambiance de travail, le personnel, les produits, en comparant deux ateliers identiques, l’un avec et l’autre sans masques.
Deux mois plus tard, des centaines d’analyses ont été réalisées sur le personnel, l’ambiance de travail, les produits finis, l’air expiré. Le résultat est sans appel : les problèmes respiratoires sont multipliés sur les employés portant le masque (et l’absentéisme avec), les produits finis, l’air ambiant et les surfaces sont plus contaminés dans l’atelier avec masques. Enfin, les résultats microbiologiques sur la contamination des masques après 3 heures d’utilisation sont catastrophiques : bactéries potentiellement pathogènes dans la majorité des masques mais aucune trace de virus (pourtant présents en permanence dans l’air expiré par un être humain). Sans parler des taux d’oxygène réduits incompatibles avec les normes en vigueur sur les lieux de travail.
Résultats non surprenants, mes nombreuses expertises sur les systèmes de filtration m’ont appris que les masques ne retiennent qu’à peine 10% des bactéries, ne retiennent quasiment pas les virus, et permettent le développement des bactéries dans l’ambiance chaude et humide du masque. Les asiatiques vous le diront, le port du masque dans les villes n’a qu’un seul objectif : limiter l’inspiration des grosses particules irritantes issues de la pollution. Bien entendu, les masques furent supprimés des ateliers, l’absentéisme ayant certainement plus contribué à la décision du DI que les résultats sur les produits ou le personnel !!!!.
Ce qui relève du bon sens a nécessité des centaines d’analyses pour éviter la catastrophe. Si les fabricants de masques prennent le soin d’avertir les usagers que les masques ne protègent pas contre les infections virales (ni la plupart des infections bactériennes) , c’est tout simplement qu’ils l’ont mesuré.
L’ironie de l’histoire, c’est que les syndicats qui venaient pleurer pour faire supprimer le port du masque dans les ateliers furent les premiers à supplier le gouvernement d’imposer le port du masque aux entreprises. Comment leur faire confiance désormais ? Comment faire confiance à ceux qui s’attribuent le qualificatif « d’insoumis » et qui sont les premiers à pleurer pour se faire infliger les mesures de soumission que sont les masques et les vaccins ?
Plus tard, l’un de mes patrons qui avait fait ses classes à Science Po, me confirmait que le masque faisait partie de l’arsenal des outils de soumission à l’école de la dictature.
Il est évident que le port du masque constitue l’étape test indispensable pour tester la soumission d’un peuple avant le déploiement de l’injection expérimentale forcée que certains osent encore appeler « vaccin » et vous l’avez accepté.
Si tu acceptes le masque sans broncher et que tu acceptes même de sacrifier la santé de tes enfants en leur faisant porter un masque inutile, tu acceptes le sacrifice de ton intégrité physique et de ton humanité.
Si tu refuses le port du masque, tu refuses d’adhérer au narratif de la fausse pandémie et l’état ne peut t’imposer une quelconque injection expérimentale de surcroit. Aux états unis, des parents d’élèves ont fait réaliser des analyses microbiologiques sur les masques. Sur la base des résultats, ils ont porté plainte à l’encontre du directeur d’établissement scolaire pour mise en danger de la vie d’autrui.
Il est encore temps de réagir. Parents, vous avez le devoir de protéger vos enfants mineurs et de vous regrouper si ce n’est déjà fait pour porter plainte contre les chefs d’établissement pour leur complicité. Les preuves analytiques et les nombreux articles scientifiques sur le sujet sont faciles à collecter. Rappelez-vous que vos enfants s’en souviendront.
Gendarmes et autres représentant des « forces de l’ordre », faites mesurer ce à quoi vous êtes exposés tous les jours avec vos masques, c’est votre santé à long terme qui est en jeu. Le nombre d’infections respiratoires et de problèmes psychologiques liés au port du masque prolongé explose dans la majorité des pays. Pourquoi l’inspection du travail, si prompte à dégainer habituellement, se fait complice de vos bourreaux ?
Un prédécesseur de Monsieur Jérôme Salomon m’a dit lors d’une réunion de crise sanitaire : « votre responsabilité, c’est de protéger la santé des consommateurs, ma priorité à moi est de protéger la réputation de mon ministre et de protéger l’industrie pharmaceutique » Sans commentaires..
A bon entendeur,
Dr Sylvain B…
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