Le docteur Mikael Nordfors a rejoint le Valhalla

Il y a quelques jours la nouvelle a circulé que le docteur Mikael Nordfors est décédé. Il était une figure de proue de l’opposition aux mesures pandémiques en Scandinavie et avait joué un rôle déterminant dans l’organisation d’une coopération internationale de la résistance à l’autoritarisme covidien. Originaire de Stockholm, il s’est éteint en Tanzanie, où il s’était réfugié suite à des ‘attaques’ contre sa personne et au retrait de sa licence médicale.

Explorateur de la médecine

Ce personnage impressionnant, qui a contribué à écrire quelques pages de la saga covidienne, était bâti comme une armoire à glace, et devait sans nul doute être un descendant d’Eric Le Rouge ou de Knut Le Grand. Il avait un côté grande gueule ‘je sais tout’ qui pouvait s’avérer déplaisant au premier abord, mais il était animé d’une véritable passion pour le soin des malades et d’un désir profond de servir l’humanité.

C’est ce qui l’avait mené à sillonner les quatre coins de la planète à la recherche de thérapies antiques ou innovantes, qu’il intégrait à son arsenal thérapeutique.

Outre ses nombreuses années d’expérience en tant que médecin en médecine générale et en psychiatrie, il avait également travaillé en oncologie utilisant des traitements conventionnels et alternatifs tels que : l’ozone à haute dose, l’hyperthermie, le LDN, le DCA, la thérapie bio-immunitaire selon Thomas Tallberg, ou la thérapie au deutérium.

Il collaborait aussi avec des cliniciens de premier plan en radiologie expérimentale en Allemagne et en Inde. À Odessa, en Ukraine, il travaillait avec le professeur Jevgenij Nazarov sur les traitements à l’ozone et à l’hydrogène, la stimulation magnétique transcrânienne profonde et les thérapies au xénon.

Il avait aussi étudié la thérapie de la douleur LNB, un système dérivé de la Grèce antique qui lui avait servi pour développer la Tendon Insertion therapy (thérapie d’insertion du tendon).

Et depuis son exil en Tanzanie, il se penchait sur les vertus des plantes indigènes telles que l’iboga pour soigner les dépendances aux drogues et les états dépressifs.

Pour finir, le docteur Nordfors était aussi pianiste, compositeur, poète et auteur d’ouvrages allant de la religion à la politique.

Contestataire et réformateur

Mikael Nordfors avait donc beaucoup de connaissances, des idées sur tout et l’idéal de changer le monde de la médecine, comme celui de la politique.

Il avait par exemple inventé un nouveau système politique, appelé ‘la démosocratie’ ou ‘démocratie liquide’ et conçu un des premiers logiciels permettant de voter par Internet, dans l’idée de mettre en place un système de référendum citoyen sur les questions politiques. (voir le livre « Spartacus 2.0, How Slavery Started, Still Continues and Can Be Ended« ).

Du côté de la médecine aussi, il dénonçait les pratiques de corruption et les fraudes et rêvait d’un système idéal.

Son souhait était que :

le système médical actuel devienne un jour une véritable science médicale, qui ne soit pas divisée en médecine conventionnelle, médecine alternative, médecine ayurvédique, médecine chinoise, etc. En principe, le médecin essaie d’utiliser tout ce qui fonctionne pour aider ses patients autant que possible, quelle que soit l’école de médecine dont il est issu.

« J’ai été frappé par une sorte de rayon »

Étant déjà vilipendé par la presse et les autorités sanitaires en Suède, en Norvège et au Danemark pour ses prises de position contraires à la doxa médicale, avant la pandémie, le docteur Nordfors était devenu la bête noire des autorités sanitaires, lorsqu’il s’était mis à critiquer les mesures Covid et à promouvoir les traitements existants (protocole Zelenko, anticoagulants, etc.). L’Ordre lui retira sa licence de pratiquer la médecine, sans véritable motivation, et sans lui laisser la possibilité de contester cette décision. Cela avait évidemment décuplé ses efforts de rébellion et il était devenu l’emblème de la résistance, au sein d’un pays pourtant présenté comme ‘résistant’. Dès lors on le vit participer à toutes sortes d’initiatives internationales, comme par exemple la World Freedom Alliance et la World Doctor’s Alliance, ainsi qu’à des manifestations ‘anti-mesures’ par exemple à Londres, à Berlin, à Stockholm et à Copenhague.

En novembre 2020, les danois avaient protesté 24h/24 devant le parlement en tapant sur des casseroles jour et nuit, si bien que la loi pandémie avait été reportée. Le docteur Nordfors s’exprime à plusieurs reprises dans cette vidéo qui ne manque pas de pêche… à la même époque on comptait à peine 200 manifestants à Paris ! VIDEO ICI

Le 21 novembre 2020, au soir de la manifestation à Copenhague, le docteur Nordfors s’était écroulé sur le pas de sa porte. Par chance, sa fille Maneka Helleberg était présente dans la maison et avait immédiatement appelé les secours et les équipes d’urgence étaient finalement parvenues à le ranimer et à le sortir ensuite d’un bref coma. Deux jours plus tard, au sortir de l’hôpital, le docteur Nordfors était revenu à la conférence pour raconter son expérience :

J’étais sur le pas de la porte quand j’ai été frappé par une sorte de rayon. J’ai entendu un son très fort dans ma tête, avec une vive douleur, et puis j’ai perdu connaissance.

Il est difficile de rapporter ou de prouver ce type d’agression, mais pour le docteur Nordfors il n’y avait aucun doute, une sorte de rayon avait été dirigé sur lui et l’avait gravement touché. Ce qui paraît peut-être incroyable en Suisse l’est moins dans les pays nordiques (berceau de Nokia etc.) qui ont une grande expertise en matière de technologies des rayons (EMF, 5G, micro-ondes etc.).

De fait, suite à cet épisode, sa santé commençant à se détériorer, le docteur Nordfors plia bagage pour s’installer en Tanzanie. Le choix n’était pas anodin. La Tanzanie était le seul pays au monde dont le président avait refusé de confiner. Il s’était publiquement moqué du ‘coronacircus’, refusant toutes les mesures absurdes et liberticides de l’OMS qui aurait mis l’économie du pays à plat. John Magufuli avait même ridiculisé la politique de tests, lorsque les résultats de PCR provenant d’une papaye, une caille et une chèvre étaient revenus ‘positifs au Covid’.

Résistance africaine

À peine installé, le docteur Nordfors était parvenu à gagner la confiance du ministre de la santé tanzanien. Il lui avait ainsi proposé une rencontre en ligne avec d’éminents professeurs et avocats qui avaient exposé les différents enjeux sous-jacents aux mesures de lutte contre la pandémie, à savoir une politique de vaccination obligatoire généralisée, un coup d’État financier global, et une prise de pouvoir de l’oligarchie mondiale sur les États-nations.

Parmi eux, les meilleurs experts du traitement du Covid se proposaient d’offrir leurs services pour mettre en place des soins efficaces contre le Covid, et à moindre coût. L’idée fut ensuite de réorganiser tout un système de santé efficace et bon marché, en faisant appel aux moyens du bord et en évitant les ruineuses molécules de Big Pharma, prônées par les ONG. Le président semblait très enthousiaste et parlait d’organiser un mouvement de résistance pan-africaine.

Malheureusement, il disparut deux semaines plus tard durant de nombreux jours, jusqu’à l’annonce de son décès, début mars. Un opposant exilé en Belgique affirma qu’il avait été ‘atteint d’une forme grave de Covid’ (rappelons-le rarissime en Tanzanie, 846 décès pour 58 millions d’habitants). Aucun des médecins étrangers avec qui il était en contact ne fut pourtant consulté…

Le président fut remplacé à la tête de l’État par Madame Samia Hassan qui renversa ses politiques pour adopter la ligne directrice de l’OMS. Mais le peuple tanzanien n’était visiblement pas intéressé par le port du masque et les mesures à l’intérieur du pays ne rencontrèrent que peu d’adhésion.

Malgré cela, le docteur Nordfors continua son œuvre et ouvrit un centre thérapeutique privé au pied du Kilimandjaro, tout en restant en contact permanent avec des figures internationales de la résistance à la nouvelle gouvernance mondiale. Sa santé déclina progressivement et il attribua sa fin aux attaques menées contre lui.

Quels que soient les sentiments qu’il inspirait dans les milieux officiels, Mikael Nordfors doit être considéré comme un homme à part. Tant la vivacité de son esprit que le courage et la détermination qui l’animaient ne peuvent être contestés.

Lumière éternelle, marche funéraire composée et interprétée par Mikael Nordfors

Source : Covidhub.ch

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