Le « Cri du coeur d’un étudiant »
Un jeune étudiant, fidèle lecteur de Profession-Gendarme nous adresse un cri du coeur que nous partageons avec vous.
Merci à Adrien Burges pour son « cri du coeur » :
Aujourd’hui, en ce début janvier 2021, mois symbolique qui marque la fin de 2020. C’est comme chaque année le moment des résolutions, des projets, du renouveau…
Aujourd’hui, cela va bientôt faire un an que nous avons délaissé une partie de nos libertés pour plus de »sécurité », cela va bientôt faire un an que nous nous sommes fait voler des parties de nos vies, tous, qui que nous soyons, jeunes ou personnes âgées, étudiants, chômeurs, salariés ou patrons.
Nous avons accepté, un confinement, des mesures restrictives et répressives par crainte au départ d’un nouveau virus dont nous ne connaissions rien, puis par peur de la mort à laquelle nous confrontaient les médias dans des news toujours plus effrayantes les unes que les autres.
Enfin, nous nous sommes en quelque sorte soumis à des restrictions qui même à nous, que l’on soit médecin ou non, nous paraissaient insensées, inutiles voire ridicules par peur de punitions, de sanctions de la part de l’Etat, État qui est au service du peuple. Ces mêmes mesures ont également, pour notre »sécurité », conduit énormément de personnes au suicide (jeunes, entrepreneurs et patrons de PME, personnes perdant leur emploi…), provoqué le traumatisme de nombre d’enfants et isolé des personnes âgées en fin de vie de leur entourage créant ainsi chez celles-ci un manque affectif grave et entrainant la mort dans la plus grande solitude pour d’autres…
Ainsi, nous avons accepté : les confinements, les couvre-feux, le port du masque obligatoire dans nombre de lieux publics, les test PCR à tout-va…
Nous avons accepté tout cela pour une infime partie de la population qui peut, sans traitement adéquat, mourir de cette maladie.
Aujourd’hui, nous savons que cette maladie tue 0.05 % des personnes qui l’attrapent et que ces personnes sont très souvent en situation de comorbidité ou ont des pathologies qui peuvent entraîner des complications.
Nombre de professeurs, et des plus réputés, ont travaillé et mis au point des traitements utilisés dans de nombreux pays, traitements qui ont des taux de réussite excellents ( l’ivermectine, l’azythromicyne combiné à de l’hydroxycloroquine, arthemisia, zinc, vitamine D…).
Pourquoi en France traite-t-on ces professeurs qui sont eux-mêmes français, de charlatans ? Alors qu’ils devraient selon toute logique faire la fierté de notre nation !
Pourquoi nous propose-t-on des vaccins à l’efficacité limitée (puisque le virus mute régulièrement et que cela n’entraînera pas la fin des restrictions sanitaires telles que le port du masque ou les confinements), élaborés en moins d’un an et avec nombre d’effets secondaires graves (qui se remarquent déjà sur le court terme ; sur le long terme, la fertilité des personnes vaccinées pourrait être menacée…), alors que l’ivermectine est un traitement très peu cher avec le meilleur taux de guérison et sans effet secondaire majeur ?
Cette maladie ne touche pratiquement pas les jeunes et pourtant nous tous, étudiants semblons être comme descolarisés depuis bientôt un an !
Nous sommes empêchés d’une multitude des joies et activités des personnes de notre âge parce que l’on nous rend responsables de la propagation de la maladie, de la mort des malades, et cela, alors que nos aînés n’ont pas peur.
Il est vrai que pour une personne qui a survécu à la guerre, cette épidémie semble sans doute être une farce.
Étudiants, on nous a cloîtrés chez nous, empêchés de se voir, d’aller au café, restaurant, de pratiquer nos passions, de voyager et j’en passe…
On nous prive de nos années de jeunesse, mais cela en vaut-il vraiment la peine ? Si nous avons des traitements et que nous connaissons les personnes à »risque » pourquoi ne traitons-nous pas ce virus normalement, c’est-à-dire en soignant les malades et en laissant les autres vivre ?
Aujourd’hui, il est temps de se réunir afin de se questionner, de débattre, de réfléchir à l’avenir que nous souhaitons vivre et de reprendre nos vies en mains, car c’est à nous étudiants et même lycéens de choisir quelles vies nous souhaitons mener et dans quel monde nous souhaitons les mener, mais ce n’est pas pour autant que les chômeurs, salariés, patrons, retraités, collégiens n’ont pas droit au chapitre.
Non seulement ils le possèdent, mais ils sont conviés à se prononcer sur leurs volontés. C’est pourquoi, je vous invite vous tous, qui que vous soyez, à vous rassembler, en petit comité d’abord, dans des domiciles privés, puis petit à petit en plus grand nombre, dans les cafés, les restaurants, les bars…
Que les gérants oseront réouvrir, afin de discuter des actions que nous pouvons et devrons entreprendre afin de créer l’environnement propice pour mener nos vies comme nous le souhaitons.
Enfin nous, étudiants, pourrons reprendre possession des amphi théâtres, non pas dirigés par un professeur mais bien par nous-mêmes, car souvenez-vous que nous sommes des millions et que nous avons le pouvoir, tous ensemble, de faire basculer les choses si nous le souhaitons : en mai 1968, c’est bien les étudiants qui ont fait démissionner le Président Charles de Gaulle (vainqueur de la Seconde Guerre mondiale au passage…).
Je vous encourage à vous informer par vous-mêmes en délaissant les grands médias qui n’amènent pas de réflexion ni de débats contradictoires et qui coupent court à toute idée opposée à leur point de vue (peu importe la personne l’émettant).
Je vous invite aussi à relayer cette »lettre » afin de créer un véritable effet boule de neige et de changer la donne en cette nouvelle année 2021.
Je n’écris pas cette lettre pour faire le buzz ou quoi que ce soit, je suis simplement inquiété par la situation actuelle et ne peux m’imaginer de continuer une vie dans un futur comme celui que l’on nous promet.
C’est pour cela que, le suicide n’étant pas une option, bien qu’il y ait une recrudescence de ceux-ci en 2020…, je réalise cette lettre modestement en écoutant simplement mon cœur.
Cordialement, Adrien Burgues (étudiant en L2 économie Gestion|18 ans)
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