De quand date le compte Twitter de la gendarmerie @Gendarmerie, pourquoi a-t-il été créé, et qui se cache derrière pour l’alimenter?
Le premier tweet a été envoyé le 21 janvier 2014. Le compte a été ouvert après le lancement des pages Facebook de la gendarmerie dans les départements. C’était la deuxième étape de notre stratégie numérique. Quatre personnes se relaient sept jours sur sept, 24h sur 24 pour alimenter le compte sur des opérations antidélinquance, des appels à témoins, des conseils de prévention, des événements perturbateurs de la circulation, etc. Il y a 49 pages Facebook de la gendarmerie dans les départements et un compte Twitter national. Nous avons fait le choix de la centralisation car il s’agit d’un média, d’un réseau, d’un support plus sensible, davantage dans l’immédiateté. Mais nous constatons que les réseaux sociaux sont très mobilisés.
Ce compte est-il suivi?
Ça marche. Au 10 novembre nous avions 41600 abonnés. C’est plutôt une réussite. Avec la volonté délibérée de ne pas faire de la promotion institutionnelle mais de la communication utile. Nous fonctionnons un peu comme une agence de presse. Mais nous sommes limités à 140 signes. Nous sommes producteurs d’images, de contenus, d’infographies pour que les gens apprennent quelque chose en nous consultons.
Vous êtes aujourd’hui jeudi et demain en Gironde où la page Facebook de la Gendarmerie départementale est très « likée ». Quel est le but de cette visite?
Cela fait partie de notre stratégie pour mettre l’accent sur des problématiques et des départements. Nous étions dans la Meuse il y a un mois, nous voici en Gironde. Nous entendons parler de la lutte contre les cambriolages, des différents partenariats établis pour faire de la prévention comme le dispositif Vigieentreprise, de la zone de sécurité prioritaire de Libourne… Demain, avec le chef d’escadron Frédéric Allamand, chef de la section des médias sociaux du Sirpa, nous posterons entre 8 à 10 tweets.
Source : Sud Ouest
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