Le chef des finances du Royaume-Uni le confesse : « Notre objectif est de réduire la population de la Terre »
« Les droits de fertilité pourraient être commercialisés » ! Ça correspond bien à l’état d’esprit professé par Attali et aux conséquences des toxins sur la fertilité des injectées.
Lord Adair Turner, l’ancien président de la Commission britannique sur les transitions énergétiques, a reconnu que l’élite souhaite que la population de la Terre diminue dans les années à venir.
Dans un rapport de Population Matters intitulé Smaller Families and Ageing Populations, Lord Turner a fait valoir que le déclin des populations autochtones renforcera la prospérité.
« La plus grande raison de saluer ce changement démographique est qu’il résulte du libre choix de personnes habilitées, et en particulier des femmes », écrit Lord Adair.
« Mais l’arrêt d’une croissance démographique sans fin permettra également de réduire la pression future de l’humanité sur l’environnement naturel, d’atténuer le défi que représente la fourniture de logements adéquats et de faciliter la réalisation d’émissions nettes de gaz à effet de serre nulles tout en soutenant la croissance de la prospérité dans les pays en développement. »
Breitbart.com rapporte : Le rapport indique que la Grande-Bretagne pourrait réduire ses émissions de carbone d’environ 38 millions de tonnes d’ici 2035 si elle connaît une baisse de population similaire à celle du Japon, qui devrait connaître une baisse de 9,6 % de sa population, passant de 125 millions à 113,1 millions d’habitants d’ici 2035.
En revanche, le Royaume-Uni devrait connaître une augmentation de sa population de 5,2 % au cours de la même période, pour atteindre 71,1 millions de personnes, en grande partie grâce à une migration massive.
Outre les avantages supposés de la réduction des émissions de carbone, une baisse de la population réduirait également la nécessité de construire 4 millions de nouveaux logements en Grande-Bretagne, ce qui permettrait d’épargner quelque 435 000 acres de terres aux promoteurs.
Le mouvement écologiste salue depuis longtemps le contrôle de la population comme un moyen de sauver le monde de la soi-disant crise climatique. Dans un exemple notable, le fondateur de CNN, Ted Turner, a appelé à une politique de l’enfant unique à la chinoise afin de sauver la planète du changement climatique en 2010.
Turner – lui-même père de cinq enfants – a également suggéré que les « droits de fertilité » pourraient être commercialisés afin d’inciter les personnes pauvres à ne pas avoir d’enfants en tirant profit de la vente de leur crédit d’enfant à des personnes plus riches.
D’autres personnalités de gauche en vue en Occident, notamment la députée de New York Alexandria Ocasio-Cortez et le prince Harry et Meghan Markle. ont tous laissé entendre qu’ils pourraient avoir moins d’enfants qu’ils ne l’auraient fait sans le changement climatique.
Le rapport a reconnu qu’une population en déclin et vieillissante entraînerait des pénuries de main-d’œuvre, mais a souligné le recours à l’automatisation et à la migration comme solutions possibles au problème, ainsi que l’augmentation de l’âge de la retraite.
« Avec plus de 750 millions de personnes prêtes à quitter leur pays pour d’autres, la migration transfrontalière des travailleurs peut contribuer à remédier à la pénurie de main-d’œuvre dans certaines circonstances, ainsi qu’à stimuler les recettes fiscales et les fonds de pension. »
Le rapport ajoute toutefois une mise en garde : les migrations peuvent avoir des « effets négatifs » tant sur les pays d’origine que sur les pays de destination, notamment en faisant baisser les salaires en augmentant la réserve de main-d’œuvre et en acceptant, dans de nombreux cas, de travailler pour des salaires inférieurs.
Si le rapport souligne certaines des ramifications négatives de l’immigration, il omet de préciser que la grande majorité de la croissance démographique enregistrée en Grande-Bretagne ces dernières années est le résultat de politiques d’immigration massive.
Un rapport du groupe de réflexion Migration Watch UK a estimé qu’ »environ 90 % de la croissance démographique entre 2017 et 2019 était liée à l’impact des arrivées de l’étranger et de leurs enfants ultérieurs nés au Royaume-Uni ».
La migration massive de ces vingt dernières années a vu la population née à l’étranger atteindre neuf millions de personnes et la population des minorités ethniques passer à 13 millions, ce qui, selon Migration Watch, pourrait entraîner une rupture de la cohésion sociale.
Alors que la population étrangère est montée en flèche en Grande-Bretagne, la population autochtone a été confrontée à un déclin drastique, avec des taux de fécondité tombant l’année dernière à la moitié de ceux observés pendant le baby-boom d’après-guerre.
Source : Aube digitale
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