Le changement climatique ? Arnaque et pompe à fric !

INTRODUCTION

Regardons les choses en face, notre monde occidental se meurt.
Mon propos n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer.
Car quand on comprend les choses, on peut mieux les gérer.
Il est des raisons d’espérer le meilleur, mettons-y notre énergie.
C’est à chacun de nous, de bien diriger le bateau de sa vie.

« Si vous avez la tête dans le sable, vous avez le cul en l’air »
(Proverbe états-unien)

PLUS UN MENSONGE EST GROS ET PLUS IL EST FACILEMENT ADMIS

Vous avez aimé les mensonges, propagés ad nauseam, à l’occasion de l’épisode « Corona-entourloupus ». Vous avez adoré ceux entretenus pendant la campagne des « Z’injections Z’asardeuses »… vous êtes donc les candidats rêvés pour subir les dommages causés par les mensonges relatifs au « Climato-nimbus ».

Si le cumulonimbus (cunimb pour les intimes) est un nuage particulièrement redouté par les pilotes d’avion, ses dangers sont infimes, par rapport à ceux du Climato-nimbus !

Son principal effet, est de siphonner les maigres économies d’un nombre le plus élevé possible de personnes…aux profits de groupes divers, autant que variés, qui sont censés minimiser les effets, du changement climatique.

Pour donner la crédibilité nécessaire à une pareille supercherie, les moyens Adhoc (pas le capitaine😂) ont été engagés par les élites mondiales mondialistes. La matérialisation de ces efforts se résume en quatre lettres : G I E C.

Cet acronyme signifie : Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Ce machin :

  • « a été créé en 1988 en vue de fournir des évaluations détaillées de l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur les changements climatiques, leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies de parade ».

Ses parrains sont l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).

Ce beau bébé est particulièrement bien charpenté, puisqu’il compte aujourd’hui, 195 membres :

  • « De par sa nature scientifique et intergouvernementale, le GIEC est particulièrement à même d’offrir aux décideurs des informations scientifiques rigoureuses et objectives ».

Son budget est raisonnable, avec environ six millions d’euros, dont un million apporté par la France. Il faut vous dire, Monsieur, que chez ces gens-là… on compile, Monsieur, on compile.

Le rapport de synthèse qui est utilisé par les décideurs et les médias (SPM), fait 34 pages. Il résume la compilation de 2 400 pages (AR6 WG1) qui, elles-mêmes, ne compilent pas moins de 4 000 pages de rapports (WG1), rédigés par 751 spécialistes choisis, dans 66 pays !

Si les scientifiques, par définition : cherchent, doutent, comparent, cherchent à nouveau, les politiques, eux, demandent un consensus pour avoir une parole unique et simple, en direction des peuples. Bref, le politique, aux yeux de tous, SAIT. Il ne doute pas !

Il doute d’autant moins qu’il s’appuie sur le fameux rapport de synthèse (SPM), document élaboré à son intention. Mais… comme nous l’explique le professeur Éric VERRECCHIA, le diable se cache dans les détails.

Figurez-vous que « l’ami Éric » n’est pas n’importe qui. Biogéochimiste, géographe-physicien et géologue, spécialiste du carbone, il enseigne à l’institut des sciences de la terre de l’Université de Lausanne, dont il est le directeur.

Ses domaines sont les changements climatiques en relation avec le cycle du carbone en zones tempérées et tropicales, la désertification et géodynamique des zones arides et l’étude des relations entre la biogéochimie des solutions du sol, les altérations et les transferts élémentaires.

Autant dire que dans cette vidéo, certes de 2 heures 17 minutes et 36 secondes, nous apprenons des choses fort intéressantes, qui renversent quelque peu le fameux consensus scientifico-politico-médiatique !!!

Prenons, au hasard, le sujet des feux de forêt. Pardonnez-moi la partialité de ce choix, mais c’est l’ancien pompier de Paris qui, de temps en temps… revient au galop 😊.

Le document de synthèse (SPM) page 9, mentionne

  • « L’augmentation observée des zones brûlées par les incendies de forêt a est attribuée au changement climatique induit par l’homme ».

Cela contredit ce qui est écrit page 694 du résumé des rapports des spécialistes (AR6) :

  • « Les observations par satellite révèlent une tendance à la baisse de 20 % des surfaces brûlées dans le monde au cours des vingt dernières années ».

C’est typiquement l’utilisation de la technique de « l’inversion accusatoire ». Vous désirez en savoir plus sur les méfaits de cette véritable arme de destruction massive de nos cerveaux ? Dans le numéro des « Rendez-vous d’Hubert » paru hier, je vous décris son mécanisme et comment il est largement utilisé pour nous informer désinformer sur le conflit en Ukraine.

Vlatipas que de l’autre côté de l’atlantique, il se passe de drôles de choses. Quelle belle époque vivons-nous, celle de l’apocalypse, autrement dit du dévoilement, des révélations 😊😊😊.

Des journalistes d’un média grand public révèlent, par inadvertance, une vérité étonnante autant que détonante, sur le réchauffement climatique.

De façon habituelle, les études relatives au changement climatique sont d’autant plus « alarmantes », qu’elles sont faites sur des durées relativement courtes. Cette vision s’effondre, lorsque l’on examine une chronologie suffisamment longue.

En l’occurrence, les journalistes du Washington Post ont cartographié 485 millions d’années de températures mondiales, pour bien montrer le désastre du réchauffement climatique. Et alors, et alors, et alors ?…

En 2023, la température moyenne de la Terre a atteint 14,98 °C, bien en dessous de la moyenne de 36 °C que l’étude avait montré il y a environ 100 millions d’années.

En passant de 100 à 485 millions d’années, la tendance montre que les températures de la Terre sont en baisse depuis 50 millions d’années !!!

Une « petite dernière, pour la route », afin de montrer aux « spécialistes » du GIEC, qu’ils se mettent le thermomètre dans l’œil, jusqu’au coude.

De montrer aux dirigeants politiques, qu’ils feraient mieux de lire « Les variations climatiques pour les nuls » de Pierre THOMAS, du laboratoire de géologie de Lyon. Ce document confirme les dires de « l’ami Éric », à savoir que :

  • « Depuis 600 millions d’années, le climat moyen mondial est plus chaud que maintenant, d’une bonne dizaine de degrés pendant 85% de cette durée ».

« Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée.
Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée
comme ayant toujours été une évidence »
(Arthur Schopenhauer)

IMPORTANT : Ne manquez pas mon billet de jeudi, une agréable autant qu’utile surprise, vous y attend 😉.

Chers lecteurs, prenez soin de vous. Je vous aime et vous salue.

POUR ALLER PLUS LOIN ET AGIR

 Vous prenez conscience de la gravité de la situation actuelle et vous aimeriez bien éviter les évènements chaotiques qui se profilent.
Les rendez-vous d’Hubert vous permettent de bénéficier de mon expérience, pour anticiper et exploiter au mieux, l’évolution de la situation.
Véritables guides pratiques, les rendez-vous d’Hubert vous permettent de comprendre ce qui se passe réellement et de prendre les meilleures décisions.

Source : Sérénité Patrimoniale

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