Le blasphème

Par WD

Pour certains sudistes comme moi encore attachés à leurs valeurs traditionnelles, le blasphème fait parti de notre registre existentiel. Il est pratiqué au quotidien. Il est là uniquement pour réveiller les consciences endormies ou titiller les garde-fous de la morale. Ces derniers restent de ce fait sur le qui-vive. Ils réagissent instantanément. Le but est atteint. On remballe notre propos sacrilège en se promettant d’en sortir un autre le lendemain. Ce comportement provocateur est valable dans un monde normal, un monde où la spiritualité reste la lame de fond sociétale, un monde non laxiste, un monde tatillon sur le juste respect commun des valeurs sacrées.

De nos jours, le blasphème ne sert que la vague « déconstructive ». Il n’est plus là pour secouer les somnolences éthiques, il est là pour détruire. Il devient un vecteur dégénérant l’intrinsèque. Il inverse toutes les valeurs. Pour faire les malins, certains élus font l’apologie de la fange wokiste. Ce débordement d’égout américain inonde le monde. Le wokisme est la matérialisation du blasphème suprême. Il est hideux et systémique.

Ce blasphème incarné devient actuellement la norme. Il devient le phare de l’humanité. Le critiquer devient acte hérétique. Le combattre, c’est partir en croisade.

Comment ne pas prendre le gonfanon des valeurs traditionnelles lorsqu’on voit des simulacres d’auto-avortement bien sanguinolents par des travestis* ou des gens déguisés en cabot s’exhiber dans les rues à 4 pattes ? Le blasphème a créé la dégénérescence absolue. L’étape suivante sera l’ouverture d’une portion de l’enfer que même Dante n’a pas intégrée.

Le monde ne peut pas perdurer longtemps s’il ne réagit pas rapidement. Nous atteignons le sommet de la déchéance. Toutes les civilisations antérieures n’ont jamais atteint une telle décadence dans leur dernier soupir. Nous avons atteint un tel niveau d’abjection que tous nos mots pour qualifier l’ignominie ambiante ne sont que des euphémismes. Si on ne redresse pas la barre, ce suicide civilisationnel ne sera pas une tentative, il sera effectif. La mort est l’issue.

* https://twitter.com/ValOccidentales/status/1641198429656236033?s=20

Source : WD

Par Dominique

L’impardon

« Pardonnons à ceux qui nous ont offensé».

J’ai été à la messe.

J’l’ai appris par cœur.

Mais faudra-t-il pardonner ?

En aurai-je la force ?

Je pardonnerai

Sauf à Macron. Sauf à Véran.

Sauf aux censeurs, sauf aux menteurs

Sauf aux journalistes, sauf aux médecins de plateau

Sauf aux policiers violents, sauf aux commissaires sanglants

Sauf à ceux qui ont refusé que je m’assoie dans leurs cinémas, dans leurs restos

Sauf aux faux opposants qui nous ont traité de sous-merde, de connards, d’assassins, de sous-citoyens, d’irresponsables, de criminels

Sauf à ces artistes bien-pensants qui nous ont insulté et que j’ignorerai désormais

Sauf aux désinformateurs, sauf à tous ces complices de l’ordre, aux macronistes menteurs (pléonasme)

Sauf aux profiteurs de crise, sauf aux profiteurs des pauvres

Sauf à ceux qui font peur, sauf à ceux qui méprisent

Sauf à ceux qui transforment l’histoire, sauf à ceux qui transforment nos valeurs, sauf à ceux qui veulent transformer mon corps, celui de mes enfants

Sauf à ceux qui ont justifié de priver de revenu ceux qui avaient voué leur vie à la protection des leurs, à soigner les leurs, à nous protéger

Sauf à ceux qui se gavent de mentir, sauf à ceux qui se moquent des gueux

Sauf aux violeurs d’enfants, sauf aux voleurs d’avenir

Et quand j’aurai pardonné,

Justice pourra être donnée

Source : Dominique

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