Le billet d’humeur du secrétaire général de Place d’armes.
Liberté, Égalité, Fraternité…
La liberté, c’est :
– manifester sa solidarité aux parents de Thomas , un enfant assassiné par des racailles dont les graines ont germé sur notre sol (donc ils sont français nous dit-on),
– déposer une gerbe en hommage à ceux qui ont donné leurs vies pour que nous soyons français (interdit aux anciens militaires de Place d’armes),
– se rassembler sous une même bannière pour faire savoir aux ennemis de l’intérieur qu’ils sont démasqués (compliqué par les egos des chefs de partis),
L’égalité, c’est :
– condamner à des travaux d’intérêt général « ceux » qui ont détruit des commerces, brûlé des voitures et agressé les forces de l’ordre (gauchistes de tous poils, antifas et compagnie) et condamner à de la prison ferme « ceux » qui ont manifesté leur solidarité à la famille face à l’assassinat d’un jeune français, Thomas, sans brûler, casser ni agresser (Division Martel, AF et compagnie),
– faire une minute de silence à l’Assemblée Nationale pour Nahel 24 heures après son décès, conséquence malheureuse de la mise en danger délibérée de la vie d’un policier, et attendre 10 jours pour faire une minute de silence à l’Assemblée Nationale, après l’assassinat par des racailles dont les graines ont germé sur notre sol d’un jeune français, Thomas, qui faisait la fête avec ses copains,
– dissoudre G.I. sans coup férir et réhabiliter Les soulèvements de la Terre sans sourciller.
La fraternité, c’est :
– comprendre que Place d’Armes n’est pas un parti politique et ne le deviendra jamais mais que Place d’armes sera toujours aux côtés des partis qui défendent la France, ils sont nos frères face à l’adversité,
– admettre que les egos n’ont rien à faire dans nos rangs, nous sommes frères d’armes parce que notre combat est commun même si nos chemins divergent pour mieux se rejoindre,
– ne pas mettre ses frères d’armes en danger en tenant des propos pouvant affecter l’ensemble de la fratrie.
Notre acte de naissance, c’est « la tribune des généraux ».
Vous pouvez nous reprocher de n’être pas des activistes (entendez des casseurs, des putschistes), ou d’être trop légalistes mais « on » ne nous reprochera jamais d’être des terroristes !
Restons groupés, l’avenir nous donnera raison et vous pourrez dire avec fierté : j’en suis !
Eric VIENNE
Secrétaire général de Place d’armes
Source : Place d’Armes
Note de la rédaction de Profession-Gendarme :
Quelques extraits choisis des commentaires laissés sur Place d’Armes :
…/ Nous sommes les champions des « Marches Blanches » les premiers de classe de la contrition, les veaux, dont parlait De Gaulle, menés désormais à l’abattoir, en meuglant de soumission,/…
…/ ce dont les FRANÇAIS ont un brûlant besoin, c’est un CHEF, un vrai pour éjecter les ordures qui ont mené la FRANCE à l’abîme et mis les FRANÇAIS à genoux /…
…/ Nous ne pouvons pas rester spectateurs à vie, il faut bouger et défendre notre pays, notre France qui se meurt.Nous devons défendre notre patrie. /…
Ancien militaire je me tiens prêt a défendre ma liberté Je reste dans l’ombre place d’arme je suis ton soldat
…/ On ne peut pas rester spectateurs à vie. Je suis civil et si je dois défendre mon pays, je le ferai, peut-être pas bien, mais je le ferai. /…
Ce que je pense :
« La désobéissance civile est le refus assumé et public de se soumettre à une loi, un règlement, une organisation ou un pouvoir jugé inique par ceux qui le contestent, tout en faisant de ce refus une arme de combat pacifique. » Il existe non seulement un droit, mais aussi un devoir de désobéissance civile quand un État prescrit aux citoyens des obligations contraires aux Droits de l’homme.
(source : https://blogs.letemps.ch/jacques-neirynck/2020/10/24/le-devoir-de-desobeissance-civile/ )
La désobéissance civile, plus subtile, refuse d’être complice d’un pouvoir jugé illégitime et de nourrir ce pouvoir par sa propre coopération.
Un peuple peut donc résister sans violence par la désobéissance et provoquer l’effondrement d’un État illégitime, car le pouvoir le plus féroce tire toute sa puissance de son peuple. Encore faut-il une prise de conscience générale et le courage des premiers militants pour que ce principe puisse être efficace. C’est principalement Gandhi en Inde, Martin Luther King aux États-Unis, Mandela en Afrique du Sud, les Grands-Mères de la Place de Mai en Argentine et la contestation du pouvoir soviétique dans les années 1980 qui en ont montré l’efficacité.
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