Le bal des faux-culs ? Nous y participons activement.
Introduction.
Chers lecteurs, nous vivons actuellement l’apocalypse, c’est-à-dire, le temps du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que les masques tombent et la Vérité se fait jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient pleinement.
Pour contribuer activement au futur de l’humanité, reprenons confiance en l’Être que nous sommes vraiment et agissons individuellement pour construire collectivement le merveilleux monde de demain. Ce blog, qui traite de « l’écume des choses », a pour ambition de vous y aider.
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Sujet du jour : La vente d’armes, « c’est pas bôôô »… alors on la cache.
C’est peu dire et écrire que le secteur de la fabrication et de la vente d’armes est d’une opacité digne des dispositifs équipant les chars pour produire un écran de fumée. Le saviez-vous ? La France est « sur le podium » dans le palmarès mondial des exportateurs d’armes. C’est une réalité, peut-être pas très glorieuse, mais, comme partout ailleurs, au pays de « la fraternité », les bons sentiments ne pèsent pas lourd, en face des millions de profits de l’industrie de l’armement.
L’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI) a constitué au fil des années une base de données sur l’industrie de l’armement. Les dernières données publiées montrent que ce secteur a bien résisté au choc économique provoqué par la pandémie « Coronavidesque ». Alors que l’économie mondiale a reculé de 3,1%, les ventes d’armes ont augmenté de 5,5% en volume, sur la période 2015-2019 par rapport à la période 2010-2014.
Ce secteur économique n’a pas souffert, comme les 62% des commerces, jugés « non essentiels ». Il faut dire que « chez ces gens-là, Monsieur »… on est protégé par des commandes publiques. De manière générale, le marché de l’armement est peu sensible aux chocs de la conjoncture. Cela étant, tous les fabricants n’ont pas bénéficié d’une protection « suffisante ». Parmi les vingt-quatre plus importantes entreprises du « secteur défense » de la France, six d’entre elles présentent dans le classement du SIPRI, ont perdu ensemble 7,7% de leurs ventes.
Nous savons tous que « l’argent n’a pas d’odeur »… les armes non plus !!! En effet, des investigations de journalistes de « Disclose » (si, si, il en existe encore de très professionnels) révèlent l’usage massif d’armes françaises dans la guerre au Yémen et démontrent que ces armes sont employées contre des civils.
Cocorico !!! Notre « Canon CAESAR » est considéré comme l’un des plus efficaces au monde. C’est sans doute la raison pour laquelle, « la France » … enfin ceux qui la dirigent actuellement, s’est permis, sans notre assentiment et donc illégalement, un acte de guerre contre la Russie. Nos chers représentants ont fait prélever six de ces armes sur les stocks de notre armée de terre, pour… les prêter ou bien les louer ou alors les vendre ??? … à l’armée ukrainienne !!! Était-ce le véritable sens du « nous sommes en guerre » du 16 mars 2020 ? Je n’ose le croire. Pourtant, en fidèle vassal de l’Oncle SAM, nous faisons la guerre à la Russie… sans la lui avoir déclarée !!! Espérons qu’elle aura la mémoire courte.
Puisque nous en sommes aux « choses incroyables », figurez-vous que « la France » (nos chers dirigeants, toujours en notre nom) a aussi fourni des obus à sous-munitions OGR F1… interdits par les traités internationaux que nous avons signés et que nous avons annoncés comme détruits. Vous avez dit « faux-cul » ??? Non, « voyous assassins » !!!
Je vous rappelle que ces obus de 155 millimètres à sous-munitions n’explosent pas au sol, mais en l’air, larguant leurs 63 sous-munitions qui vont ensuite exploser sur une grande surface, tuant tout ce qui s’y trouve ! Pire, l’armée ukrainienne utilise des détonateurs qui explosent à plus haute altitude, augmentant encore la zone de projection des sous-munitions, et donc le nombre de victimes potentielles.
Comme notre « Grand Timonier » est magnanime… entre 2015 et 2020, la France a livré des équipements militaires dernier cri à la Russie… malgré l’embargo sur les armes à destination de ce pays, imposé par l’Union européenne depuis le 1er août 2014 !!! Un armement qui a permis … Selon un certain… Zébulon ? Zinzin ?… Ça y est, je me souviens enfin de son nom : Zelensky !!! qui a affirmé, vidéo à l’appui, quedu matériel militaire français a été utilisé dans « le massacre de Boutcha ». Il fait référence à des caméras thermiques installées sur des chars russes et fabriquées par le groupe Thales, dont l’État français est le principal actionnaire !!!
Si le CAESAR est une arme médiatisée, elle n’est pas la seule qui est « livrée » en Ukraine. Beaucoup « d’armes légères et de petit calibre » (ALPC) le sont aussi. À ce sujet, l’organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), dans un document de 18 pages, constate que :
« L’abondance des armes en circulation et l’existence de stocks de grande ampleur et peu contrôlés facilitent l’accès des civils, des criminels et des combattants à ce type d’armes. Mais si ces armes constituent l’instrument dominant dans les conflits, elles ne sont pas utilisées qu’à des fins « militaires ». Elles soutiennent également l’activité de groupes criminels, aux niveaux national et régional, qui s’adonnent au banditisme et à la prise d’otages ».
Alors que nous livrons des armes (moyennant finance, n’en doutez pas) à l’Ukraine, prenant de fait une attitude guerrière à l’endroit de la Russie, une partie de celles-ci « s’évaporent dans la nature ». Rassurez-vous, elles ne sont pas perdues pour tout le monde !!! S’agissant des flux illicites des ALPC, la coordinatrice politique de la France auprès des Nations unies a prononcé un discours qui est un chef-d’œuvre en matière de « novlangue » et de « faux-cul ».
En effet, « la revente » des armes fournies à l’Ukraine a déjà commencé. Il faut s’attendre à ce qu’une partie de ces armes se retrouvent, entre autres endroits… dans certaines de « nos banlieues ». Aujourd’hui, n’oublions pas que ce sont essentiellement celles issues de la guerre des Balkans, ou de Tchétchénie, qui y circulent.
« Les mouches ont peut-être changé, mais les ordures restent les mêmes »
(proverbe angolais)
Chers lecteurs, amoureux des diptères ou pas, je vous aime et vous salue.
Source : Sérénité Patrimoniale
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