L’article du Lancet fait l’unanimité des scientifiques : c’est de la merde !

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Adversaires ou favorables au protocole Raoult les scientifiques sont unanimes : l’article du Lancet c’est de la merde…. Pire la France est isolée dans sa volonté morbide d’interdire le protocole…

Les malades de demain seront victimes d’un infame mensonge…

Depuis le début de la crise du coronavirus, le Professeur Philippe Froguel a décidé de prendre régulièrement la parole. Professeur au CHU de Lille et à l’Imperial College de Londres :
« J’ai d’abord beaucoup hésité à réagir parce que je ne veux pas qu’on dise que je suis pro-Raoult. On ne peut rien dire : on est forcément soit pro, soit anti. Mais l’article de The Lancet pose de gros problèmes. Les données sont trop bizarres, pas fiables. On ne sait même exactement d’où elles viennent comment ils se les sont procurées. Du coup, les conclusions ne peuvent pas être fiables. The Guardian a bien vu tous ces problèmes. Ce papier est une merde en grande partie fabriquée par une firme inconnue qui voulait se faire de la pub.

Lancet, c’est le tabloïd de la presse médicale. Ils font le buzz avec des données fake. La science, ce n’est pas ça ! Et la presse française a repris sans réfléchir cet article. Nous n’avons plus de journalistes scientifiques. 

C’est un peu du masochisme. Ils ont réglé leurs comptes avec Raoult mais ils l’ont fait sans se rendre compte qu’ils utilisaient pour cela The Lancet, qui a quelque part ridiculisé la science française avec cet article. C’est un réglement de comptes politique pour arrêter la prescription désorganisée de choloroquine. « 

Personne ne parvient à comprendre pourquoi la France est le seul pays au monde à interdire l’hydroxychloroquine. Ailleurs même ceux qui ne sont pas convaincus attendent de véritables preuves car l’étude du Lancet génère des doutes ou des sourires…

Les autorités australiennes contestent les données, de nombreux pays refusent de suivre les instructions de big Pharma …

https://pgibertie.com/2020/05/28/etude-bidon-du-lancet-les-autorites-australiennes-contestent-les-donnees-de-nombreux-pays-refusent-de-suivre-les-instructions-de-big-pharma/

Pour aller plus loin et comprendre le bidouillage :

https://pgibertie.com/2020/05/27/ces-sept-petits-details-qui-tuent-letude-du-lancet-contre-raoult/

La synthèse internationale du  professeur Harvey A Risch  (Yale) ; pour le moment le traitement de référence : Hydroxychloroquine + azithromycine et zinc

https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586?fbclid=IwAR3pCLddsx9qproLbYds1fnpfQS1RxN93xrrO-8C-sOicWnwep-W1iP70c4

Deux médicaments candidats ont été largement discutés: le remdesivir et l’hydroxychloroquine + azithromycine. Le remdesivir a montré une efficacité légère chez les patients hospitalisés, mais aucun essai n’a été enregistré chez les patients externes.

Le traitement Hydroxychloroquine + azithromycine a été largement déformé dans les rapports cliniques et les médias publics, et les résultats des essais ambulatoires ne sont pas attendus avant septembre.

La maladie ambulatoire précoce est très différente de la maladie hospitalisée plus tard et les traitements diffèrent. Les preuves concernant l’utilisation d’hydroxychloroquine seule ou d’hydroxychloroquine + azithromycine chez les patients hospitalisés ne sont pas pertinentes en ce qui concerne l’efficacité de la paire en début de maladie ambulatoire à haut risque.

Cinq études, dont deux essais cliniques contrôlés, ont démontré une efficacité importante du traitement ambulatoire majeur.

Le traitement Hydroxychloroquine + azithromycine a été utilisé comme norme de soins chez plus de 300 000 personnes âgées souffrant de multicomorbidités, avec une proportion d’arythmies cardiaques attribuable aux médicaments chez 47/100 000 utilisateurs, et de mortalité estimée inférieure à 20%, 9/100 000 utilisateurs, ce qui doit être comparé aux 10 000 Américains qui meurent chaque semaine.

Ces médicaments doivent être largement disponibles et promus immédiatement pour que les médecins puissent les prescrire.

Les autres pays

La Tunisie

le Pr Heikel a montré les limites de cette étude et par conséquent a remis en question sa valeur scientifique.

Pour étayer son analyse, le Pr Jaâfar Heikel a cité 5 limites, reconnues selon lui, même par les rédacteurs de l’étude publiée par The Lancet.

La première est le fait « qu’ils ne peuvent associer la mortalité au traitement car ils n’ont pas d’autres informations sur les morbidités cardiovasculaires ou certains facteurs de risques ». Et d’expliquer « qu’en effet, lorsque certaines caractéristiques cliniques n’étaient pas informatisées mais reportées sur les registres manuels, les auteurs ont considéré qu’elles étaient absentes chez le patient ». « Ceci est une hypothèse qui de facto biaise dans une certaine mesure l’analyse pronostic », a-t-il souligné.

Selon lui, les rédacteurs de l’étude n’ont également pas « mesuré le segment QT [segment

Les deux dernières limites avancées par le spécialiste sont « les posologies et les durées de traitement différentes » et le fait que « plusieurs auteurs dont le principal reconnaissent être payés, ou recevoir une rémunération ou des fonds par des laboratoires ou autres entreprises ».

Brésil

Des scientifiques et universitaires brésiliens ont écrit une lettre ouverte sur la «science» du coronavirus pandémique pour dénoncer les magouilles destinées à discréditer  Raoult

Le coordinateur de la déclaration est Marcos Nogueira Eberlin.

https://pgibertie.com/2020/05/26/des-scientifiques-du-monde-entier-se-mobilisent-pour-denoncer-les-magouilles-de-big-pharma-contre-raoult/

Espagne, Canada, Royaume Uni

Les Espagnols (Agence Espagnole du Médicament, AEMPS) et les Britanniques (comité de surveillance de l’essai Recovery) ne sont pas, eux non plus, convaincus par l’étude publiée dans le Lancet par Mehra.

L’AEMPS assure avoir discuté « avec les promoteurs des essais en cours en Espagne, auxquels on a demandé des informations sur la sécurité ». «Nous n’avions pas reçu d’alerte de sécurité, mais nous leur avons demandé de nouvelles informations. Nous avons également discuté avec des sociétés scientifiques et pour l’instant il n’y a pas de raison suffisante d’arrêter ces traitements ou investigations car il n’y a pas eu de problème et il ne semble pas qu’il y en aura « , conclut l’agence.

Idem pour les britanniques de Recovery:

Nous n’avons vu aucune raison convaincante de suspendre le recrutement pour des raisons de sécurité. En particulier, nous avons noté que le rapport de risque pour la mortalité à 28 jours (notre résultat principal) dans les données de RÉCUPÉRATION actuelles diffère significativement de l’évaluation non randomisée rapportée par Mehra

Les résultats de cette enquête n’en sont pas moins « basés sur une méthodologie très faible », car il s’agit d’une étude dite « observationnelle » et non d’une étude randomisée avec placebo, fait valoir la Dre Emily McDonald, directrice de l’Unité d’évaluation des pratiques cliniques du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) Canada . De plus, les patients étudiés étant hospitalisés, ils étaient en général déjà très malades, poursuit-elle.

Etats Unis

La grande étude  américaine  randomisée avec groupe témoin et placébos, en double aveugle, lancée le 1er mai (annoncée le 14 mai) aux États-Unis par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), membre des National Institutes of Health (NIH), est toujours active, dans sa phase de recrutement de 2000 patients.

Elle s’intitule, en anglais: Evaluating the Efficacy of Hydroxychloroquine and Azithromycin to Prevent Hospitalization or Death in Persons With COVID-19.

La Russie ne laissera pas non plus tomber l’hydroxycholoquine

«Selon les résultats de la surveillance de l’innocuité du HCQ pendant la pandémie de Covid-19 en Fédération de Russie, aucun résultat fatal n’a été associé à une perturbation du rythme cardiaque chez les patients»

https://www.rt.com/russia/490018-russia-not-ban-drug-covid19/?fbclid=IwAR1s6BPqPIoEDBTqam01yk4CZDINDxKoJkaRQuP_-80VeQFMQZ4NYRfRbvs

Maurice : « Aucun effet secondaire » de l’hydroxychloroquine sur les 322 personnes guéries de la Covid

Source :    pgibertie.com

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