L’appel de Pierrich
Comment des policiers avec des familles, des parents, des enfants peuvent ils participer à cette oppression ? Ce qu’ils oublient c’est que si aujourd’hui ils sont du côté du manche, ce ne sera certainement pas le cas de leurs enfants et /ou petits enfants (neveux, nièces) qui eux se retrouveront esclaves comme les nôtres si nous laissons ces tyrans agir.
En France, c’est la même chose, des policiers et des gendarmes (pas tous heureusement) participent avec zèle à la mise en place de cette dictature (versus sanitaire, pour votre bien ! Dites merci !)
Il faut nous battre pour rejeter ce que l’on cherche à nous imposer. Tous ne peuvent pas se payer un billet pour aller se battre contre ce gouvernement pourri à Paris (élu avec à peine 20% des voix, ce qui veut dire que 80% ne le soutiennent pas… Réfléchissez, nous sommes nombreux à ne pas être d’accord avec lui). Aussi il faut agir au niveau local, départemental voire régional. Manifester en rejetant les débiles gestes barrière et les masques. Aucune concession, la moindre concession est utilisée contre nous, elle sous entend un accord partiel.
Il est indispensable de prévoir en amont d’avoir des avocats près à aider ceux qui seront verbalisés ou arrêtés. Leur rétribution peut se faire sous forme de cagnotte commune, 5 ou 10 € par tête n’est pas ruineux et peut être suffisant.
Par ailleurs, il est nécessaire de communiquer autrement que par les réseaux sociaux qui servent de base de données aux tyrans qui nous gouvernent. Pour ce faire le bouche à oreille en local, un minimum de communication téléphonique (pour avancer vite) puis la mise en place de VPN (c’est facile à mettre en place et difficile à craquer) avec une transmission orale des codes pour y accéder.
Pour les éléments importants à moyen terme, n’oubliez pas qu’ils n’ouvrent pas encore les courriers papier (pas encore…), il est indispensable de retrouver cet usage simple d’échange qui en fin de compte est sécurisé.
Il est nécessaire d’éviter autant que possible la violence inutile car ils ont pour l’instant l’avantage sur ce terrain, voyez ce qu’ils ont fait aux Gilets jaunes. Après, si rien ne change et que la répression est injustement violente, il sera toujours temps de sortir les armes.
N’oubliez jamais que nous avons le nombre pour nous, les gouvernants sont une pincée, ceux qui les protègent une poignée et nous une multitude. Ils ne nous gouvernent que parce que nous l’acceptons, il est indispensable de le leur rappeler.
Il faut se battre pour nos aînés que ces bourreaux nous imposent de laisser mourir seuls, pour l’avenir de nos enfants surtout ! mais aussi pour nous, pour que notre vie ne soit pas sans sens ni intérêt, ne pas être juste du bétail qu’ils feront piquer une fois jugé hors d’usage (voir les propos répétés par ce cher psychopathe d’Attali).
Posez-vous la question, vu le chemin sur lequel nous sommes emmenés en ce moment, c’est quoi notre avenir à tous ? Ça va être quoi la société de demain ? Et quand je dis demain, c’est pas dans dix ans, c’est demain matin.
Au pire, préférer mourir debout en se battant plutôt qu’à genoux ou piqué comme une bête.
Vu qu’il faut commencer quelque part, vous pouvez déjà compter sur moi. J’ai aussi quelques amis (ies) et proches prêts à s’investir pour se défendre et tenter de changer le cours des choses.
Qui ne tente rien n’a rien. La liberté de vivre n’est pas un dû, voyez ce que tous nos gouvernants successifs en font et en ont fait… La liberté ça se gagne, ça se mérite. Nous avons la chance de vivre dans la lumière (pour l’instant) mais voyez tous ceux qui vivent dans l’ombre et le noir dans le monde (et à côté de nous aussi) voyez tous ces pauvres exploités jusqu’à leur mort, c’est ce qui nous attend si nous n’agissons pas. Beaucoup dans ceux que nous croisons tous les jours ne sont déjà plus dans la lumière, leur vie est devenue grisaille. À qui le tour ?
Si vous craignez de perdre votre boulot, dites vous qu’avec le futur confinement qui se profile dans un horizon proche (la saison de la grippe et des rhumes arrive) vous allez le perdre quoi qu’il en soit. Après vous vivrez des miettes que voudront bien vous donner les parasites aux commandes.
Je suis certain que bon nombre de chefs d’entreprises soutiendraient un tel mouvement, c’est leur bien, leurs investissements, leur travail que cherche à détruire ceux qui n’ont même jamais travaillé une seule journée dans leur vie. Politiques, c’est parasites un jour parasites toujours. Comme disait un célèbre humoriste « bon à rien mais prêt à tout ».
Pour que notre rébellion, révolte, mouvement de colère (appelez ça comme vous le sentez) fonctionne et ait un sens, il faut qu’elle ait un but, un objectif affiché. J’en propose un tout simple : fin immédiate des contraintes dîtes sanitaires (en vérité politiques) fin du masque obligatoire où que ce soit (ceux qui veulent le porter le porte, mais chacun choisit pour lui) et fin du matraquage médiatique. Vu que les médias sont payés par le gouvernement (avec nos impôts) celui-ci devrait pouvoir les « inviter » à aborder d’autres sujets que le covid… Le plus simple restant de ne pas regarder la télé. Mais absolument arrêter de vouloir maintenir les gens dans l’angoisse, le stress, le doute, que la vie retrouve un peu de sens et un peu de goût.
Agissons ! À l’image des autres pays comme la Serbie, l’Allemagne, l’Angleterre… N’attendons pas d’en arriver au niveau de Melbourne, il sera alors trop tard. Après, individuellement, une fois enfermé seul, nous serons foutus.
Pierrich
Source : Réseau International
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