La vérité, toute la vérité, rien que la vérité !

Introduction.

Chers lecteurs, nous vivons une époque pleine de promesses, celle du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que « les masques tombent » et que la Vérité se fait jour. C’est une excellente nouvelle qui nous incite à prendre en main notre destin.

Je n’ai aucunement la prétention d’égaler le génie de Pierre DAC et de ses petites annonces, parues dans la revue « L’os à moelle » pendant la Seconde Guerre mondiale. Travaillant toujours aussi sérieusement, mais sans me prendre au sérieux, je vous propose d’aborder l’actualité économicopolitique et patrimoniale, de façon plus… légère.

La petite annonce du jour :

«  URGENT : école de journalisme recherche professeur de vérité. Arracheur de dents s’abstenir »

Nous avons-là, un véritable cas d’école. C’était le 9 mars 2022, à Marioupol en Ukraine : « Les Russes ont bombardé une maternité, faisant trois morts, dont un enfant ». Les Russes nient le bombardement et disent que la maternité était en partie désaffectée et que les militaires ukrainiens s’en servaient de base. Une photo fait le tour du monde, celle d’une femme enceinte : Marianna VYCHEMIRSKAYA , le visage légèrement blessé, qui fuit le bâtiment. Survient alors « le drame » : elle déclare qu’il n’y a pas eu de frappe aérienne sur la maternité.

Début septembre 2022, coup de tonnerre : Ségolène ROYAL fait des déclarations «dérangeantes »  à propos de ce fameux bombardement qui n’aurait pas eu lieu. Devant la tempête médiatique qui en résulte, elle est contrainte à un « rétropédalage », manœuvre très courante en politique. Du coup, « Le Monde » se sent obligé de « remettre le couvert » concernant la version officielle du bombardement de la maternité de Marioupol.

Aujourd’hui, la journaliste française : Christelle NÉANT, que les lecteurs assidus de ce blog connaissent déjà, nous propose un document intéressant. C’est une partie (traduite en français) d’un entretien réalisé il y a quelques jours, par le journaliste Johnny MILLER, avec « l’amie Mariana ». Celle-ci confirme que l’explosion qui a eu lieu dans la maternité, en partie désaffectée, n’était pas une attaque aérienne. Voici l’explication détaillée et multisourcée de cette affaire, réalisée par « l’amie Christelle ». L’entretien original complet (en anglais) de Johnny MILLER est accessible ici.

Retenez (pour la route ), que le narratif, de même que la nature des sources citées par « la bible d’InternetWikipédia », sur la fiche de cet évènement … sont nettement à charge contre la Russie. Pourtant, il existe des sources montrant le contraire, qui sont librement accessibles, et donc, devraient être mentionnées par la célèbre encyclopédie en ligne. Ne trouvez-vous pas ?

Que retenir de cela ? Qu’il faut toujours se méfier de ses réactions « à chaud ». En effet, dans cette occurrence, la vue des premières images et surtout des commentaires les accompagnant, suscite une émotion forte. Il est alors « logique », de porter un jugement abrupt.

Quel que soit celui-ci, le plus difficile est de prendre du recul en n’oubliant pas que cette guerre est aussi médiatique. Il est évident que chacune des parties prenantes de ce conflit cherche par la voie des médias… à gagner un élan de sympathie des opinions publiques du monde entier.

Autre aspect important, celui de la pluralité des sources et des informations. Une bonne règle consiste à ne jamais se contenter « d’un seul son de cloche ». Pour ce qui est de l’Ukraine, il y a des journalistes, Christelle NÉANT n’est pas la seule, qui font un travail remarquable et honnête… mais jamais rapporté par les « merdias de grand chemin » !!!

« On ne peut pas dire la vérité à la télé : il y a trop de monde qui regarde »

(Michel Colucci dit Coluche)

Chers lecteurs, téléphiles ou téléphobes, je vous aime et vous salue.

Source : Sérénité Patrimoniale

Note de la rédaction de Profession-Gendarme.com :

Nous vous invitons à suivre attentivement l’ensemble des liens de cette publication mis à notre disposition par notre ami Hubert et à ensuite faire votre propre jugement.