La technique répétitive de la peur basée sur du vent… sans épidémie réelle
Par Gérard Delépine
N’ayez plus peur : il n’y a plus d’épidémie en France ni dans les pays voisins
Nos gouvernants et les médias complices tentent par tous les moyens[1][2][3] de nous terroriser à nouveau pour prolonger le plus longtemps possible la sidération du peuple, prolonger l’état d’urgence et instaurer le contrôle de la population par le passe, le QR code, la reconnaissance faciale généralisée, et peut-être des élections tranquilles avec pass… Vive le crédit social chinois, pensent-ils, mais nous ne sommes pas des Chinois…
Mais l’épidémie est terminée en France, comme dans les autres pays d’Europe de l’Ouest, ainsi que le prouvent les chiffres officiels publiés par l’OMS qu’il faut communiquer largement à notre Président et à notre Premier ministre, comme nous avons interpellé les députés et sénateurs, avec une certaine écoute.
Voici les éléments factuels à leur communiquer.
Jean Castex veut nous effrayer en parlant de « cas » sans donner de chiffres bruts
Depuis que la mortalité a presque disparu, la propagande de la terreur n’égrène plus le nombre de morts quotidiens, ni celui des hospitalisés, mais seulement celui des tests PCR positifs, dont un grand nombre sont des faux positifs, ne démontrant pas qu’il s’agit de malades, ni de porteurs de virus, ni de possibles contaminateurs, ni de futurs malades. Rappelons que le caractère non fiable du test PCR a été dénoncé par des tribunaux dès octobre 2020 et également par l’OMS courant 2021.
Et quand un média cite les « décès du jour » comme le 5 novembre par exemple sur CNews, il omet de relativiser le chiffre par rapport à la mortalité quotidienne globale : 28 morts attribués au covid versus mortalité journalière habituelle en France de l’ordre de 1700 personnes par jour dont environ 500 cancéreux… Le cancer ne paie plus pour faire pleurer les foules ? Les morts imputés au pseudovaccin seraient importants à connaître également.
De plus, il parle « d’augmentation forte de cas », mais n’en donne pas les chiffres bruts et ne compare pas notre situation à celles des pays voisins. Nous réparerons ces « oublis » en citant les derniers chiffres de l’OMS et les courbes de OurWorldinData.
En France, le nombre de cas est globalement bas et stable
Au plus fort de la crise de novembre 2020, le nombre de cas quotidiens français atteignait les 55000.
Sur les dix derniers jours, ce chiffre est globalement stable autour de 6000 cas quotidiens, soit une incidence de 0,000 9. Aucune raison de s’inquiéter si on se compare à nos voisins allemands (20 000 cas) ou anglais (40 000) ou belges (7000 cas pour une population 6 fois moindre) et qui ne présentent pas d’augmentation significative de leur mortalité, comme nous le verrons ci-après.
La réalité d’une épidémie ne se mesure pas au nombre de tests positifs qui dépend trop du nombre de tests réalisés et du nombre de cycles[4] d’amplification utilisés, mais au nombre de malades qui consultent leur médecin, nécessitent des soins et qui parfois meurent de maladie.
Les chiffres du réseau Sentinelles montrent que l’épidémie est terminée
D’après le réseau Sentinelles,[5] l’incidence est inférieure à 25/100000 depuis plus de 6 mois et a baissé jusqu’à 5/100000 au dernier relevé, très loin du seuil d’alerte épidémique de la grippe (173 cas pour 100 000 habitants en 2016)
Le seuil d’alerte officiel, cité par Jean Castex, ne correspond pas aux infections liées au covid, mais bien à l’ensemble des infections respiratoires aiguës — taux fixé plus bas qu’avant 2020 —, pour mieux inquiéter la population.
En semaine 2021s43, (25/10/2021 au 31/10/2021 :
Publié le 03/11/2021
Le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID19) vus en consultation de médecine générale est estimé à 5 cas pour 100 000 habitants (IC 95 % [3 ; 8]), ce qui représente 3 414 [1 816 ; 5 012] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s42 : 6 [4 ; 8], soit 3 802 [2 429 ; 5 175] nouveaux cas d’IRA dus à la COVID-19 vus en médecine générale).
« L’augmentation observée de l’activité des IRA peut s’expliquer par la circulation d’autres virus respiratoires que le SARS-CoV-2 (COVID-19). Cette augmentation est principalement observée chez les enfants entre 0 et 4 ans.
D’après les prélèvements réalisés par les médecins Sentinelles en ce début de saison, on peut noter :
– une circulation des rhinovirus (hRV),
– virus respiratoire syncytial (VRS),
– métapneumovirus (hMPV)
– la detection de trois virus grippaux de type A (deux en semaine 38 en Île-de-France et Bourgogne-Franche-Comte, et un en semaine 42 en Nouvelle-Aquitaine). » selon le réseau Sentinelles.
Les chiffres de l’OMS confirment que l’épidémie est terminée en France
Les chiffres de mortalité de l’OMS sont également très rassurants montrant que la maladie n’est plus responsable que de moins de 2 % de la mortalité quotidienne globale et ne constitue plus un problème sanitaire grave.
En France, les seuls chiffres alarmants sont ceux issus des modélisations « catastrophes » de l’Institut Pasteur, toujours démenties par les faits qui ne constituent que des arguments de propagande terrorisante.
Les chiffres de l’OMS montrent qu’en Europe de l’Ouest, l’épidémie ne tue presque plus depuis juin 2021
Que ce soit en Belgique, Pays-Bas, Portugal, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Allemagne, Espagne, Italie, Suisse, Grande-Bretagne, Irlande, Finlande comme l’illustrent les courbes de OurWorldinData covid tracées d’après les données de l’OMS.
Le variant est beaucoup moins mortel que le virus initial
Chaque nouvelle souche du virus est généralement plus contagieuse et moins mortifère. C’est le cas du variant delta dont la forte propagation n’est pas suivie d’une augmentation de la mortalité.
Prévoir l’avenir est difficile
Les colossales erreurs des simulations de N. Ferguson et de l’Institut Pasteur nous l’ont démontré, et il n’y a donc aucune raison objective de craindre l’avenir.
Même si le covid se comportait comme la grippe avec des récidives et un nouveau variant chaque année, il n’y aurait aucune raison d’en avoir peur. Les vaccins font chaque jour preuve de leur insuffisante efficacité, mais les traitements précoces sont efficaces en préventif et en curatif ainsi que l’a prouvé l’Inde.
N’ayez plus peur.
N’écoutez plus les désinformations officielles qui ne visent qu’à prolonger une terreur irrationnelle qui empêche de réfléchir.
Regardez les faits, seulement les faits avérés et les chiffres officiels de l’OMS et des agences sanitaires des pays européens. Vous constaterez que l’épidémie est terminée.
Analysez les données de l’OMS sur l’Afrique qui souffre de paludisme en les comparant aux pays africains qui n’ont pas utilisé d’antipaludéens et vous verrez que les antipaludéens sont très efficaces.
Analysez les données de l’OMS sur l’Inde et vous serez convaincu de l’efficacité de l’Ivermectine.
N’ayez plus peur, mais prenez vos précautions en achetant dès maintenant Nivaquine et Ivermectine qui ne coûtent rien et se conservent plusieurs années pendant qu’ils sont autorisés, car il est à craindre qu’ils ne soient plus disponibles quand ils seraient nécessaires.
- [1] Une modélisation-prophétie catastrophe de plus de l’institut Pasteur : P Bosetti, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet, D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France, HAL Pasteur (Septembre 2021)
https://hal-pasteur.archives-ouvertes.fr/pasteur-03272638 v2[] - [2] O. Veran La cinquième vague du Covid-19 imminente ? La mise en garde. La dépêche
mar. 2 novembre 2021[] - [3] Dans son bilan épidémiologique hebdomadaire publié jeudi 4 novembre 2021, Santé publique France prévient, une nouvelle fois :
« la reprise épidémique (du Covid, ndlr) se confirme sur le territoire métropolitain, avec un taux d’incidence en augmentation pour la troisième semaine consécutive »[] - [4] L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est défectueux. Le confinement n’a aucune base scientifique (lemediaen442.fr) []
- [5] Le réseau Sentinelles officiellement chargé de la surveillance des épidémies saisonnières rapporte le nombre de malades vus par les médecins de ville et estime l’incidence de la maladie dans la population.
La surveillance des IRA est effectuée en collaboration avec Sante publique France, le Centre national de référence (CNR) des infections respiratoires (Institut Pasteur à Paris et Hospices Civils de Lyon), et le laboratoire de virologie de l’Université de Corse.[]
Source : Nouveau Monde
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