La Revue de l’OMS : Les politiques de l’OMS concernant le Covid et la variole du singe ne respectent aucun des 10 principes de santé publique.
Dès le début de l’article la corruption de l’OMS et des dirigeants mondiaux est soulignée.
Abir Ballan a publié une thèse de 43 pages intitulée « The WHO Review and Why It Matters to You » sur le site Pandemics Data & Analytics (« PANDA »). Elle montre les échecs de l’OMS et toutes leurs recommandations ratées dans Covid. Il s’agit d’une lecture indispensable pour tous ceux qui s’intéressent à la santé publique, aux politiques mondiales de Covid-19 de l’OMS – que presque toutes les nations ont suivies – et à l’ampleur de la corruption de l’OMS/des dirigeants mondiaux et des gouvernements. La revue énumère également ce qui aurait dû être fait à la place.
Mme Ballan est titulaire d’une maîtrise en santé publique, d’un diplôme d’études supérieures en éducation spécialisée, d’une licence en psychologie et est l’auteur de livres pour enfants. Elle est un ancien membre du comité exécutif de PANDA. Mme Ballan est particulièrement engagée dans la promotion de la santé et du bien-être des enfants et des jeunes.
« Cet examen vous fournit des informations essentielles pour vous aider à évaluer la candidature de l’OMS en tant qu’organisation de santé publique mondiale faisant autorité. Il fournit des informations générales sur les principes de santé publique et de gestion des pandémies tels qu’ils ont été convenus précédemment par cette branche des Nations Unies. L’analyse PANDA vous permettra d’évaluer le bien-fondé de la réponse recommandée par l’OMS au Covid-19 et à la variole du singe, et de déterminer dans quelle mesure l’OMS a suivi fidèlement ses propres recommandations élaborées précédemment. Il résume ensuite les hypothèses qui sous-tendent leurs recommandations sur le Covid-19, puis les recommandations finales. » [empahsis notre propre]
L’examen de l’OMS et pourquoi il est important pour vous, PANDA, 18 juillet 2022.
La réalité est que l’OMS, et tous ceux qui ont suivi les politiques de l’OMS concernant Covid, ont échoué à chacun des 10 principes énumérés ci-dessous. Pour les besoins de l’argumentation, supposons que le Covid était l’urgence qu’ils prétendaient – il s’ensuit que les sociétés fonctionnent de manière optimale si elles respectent des principes et des valeurs éthiques de longue date qui ont été élaborés, testés et éprouvés au fil du temps. Testés et éprouvés. Ces 10 principes de santé publique n’ont pas été appliqués à la réponse à l’urgence Covid.
10 principes de santé publique
En période d’urgence, les sociétés fonctionnent mieux si elles respectent des principes et des valeurs éthiques élaborés de longue date, au fil des ans. Ces principes de santé publique auraient dû être appliqués à l’intervention de Covid-19.
- La dignité humaine et les libertés individuelles doivent être respectées en toutes circonstances. Toute restriction de la liberté individuelle, pour des raisons de santé publique, doit être temporaire et spécifique à chaque cas, et ne doit être mise en place qu’en dernier recours, avec une charge de preuve extrêmement élevée quant à sa nécessité, son caractère raisonnable et sa proportionnalité.
- Une définition holistique de la santé inclut le bien-être physique, mental, spirituel et social.
- Les individus ont le droit à l’intégrité corporelle, c’est-à-dire de faire des choix libres concernant leur corps et d’être libres de toute interférence avec leur corps à laquelle ils ne consentent pas.
- Les professionnels de la santé ne doivent recommander des interventions de santé qu’en fonction des besoins individuels et uniquement si les avantages l’emportent sur les risques pour cette personne.
- Les professionnels de la santé doivent obtenir le consentement éclairé et volontaire des personnes avant toute intervention médicale. Des informations inexactes, la manipulation psychologique et toute forme de coercition rendent le consentement invalide.
- Les interventions de santé publique doivent protéger les informations médicales privées. Les interventions qui conduisent à la discrimination et à la stigmatisation sur la base de choix personnels en matière de soins de santé sont contraires à l’éthique.
- Les interventions de santé publique doivent tenir compte des déterminants biologiques (agents pathogènes, facteurs génétiques, état de santé, interventions médicales…), ainsi que des déterminants sociaux de la santé, notamment la stabilité économique et l’emploi, le voisinage et l’environnement physique, le soutien communautaire et le bien-être mental, ainsi que l’accès à l’éducation, à l’alimentation et aux soins de santé et leur qualité.
- Une approche pluridisciplinaire devrait être entreprise pour évaluer les effets à court, moyen et long terme de toute intervention de santé publique avant sa mise en œuvre.
- Les personnes et les communautés directement concernées par les interventions de santé publique doivent participer au processus de décision afin de garantir leur équité, leur pertinence et leur succès.
- La confiance dans la santé publique repose sur la transparence et l’honnêteté. Les politiques et les recommandations doivent être fondées sur des données exactes – sans conflits d’intérêts. Elles doivent également faire l’objet d’une amélioration continue grâce à un débat scientifique ouvert.
Vous pouvez lire et télécharger le rapport complet de l’OMS ICI.
Source : ns2017
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