La reine Brichelle aurait-elle un jumeau ou un sosie ?

16 janvier 2024 Christian Navis

Le dictateur de poche a fait main basse sur toutes les chaînes télé pour les mettre au service de sa munificence. Mais aucune raclure déguisée en journaliste n’a posé la question que tout le monde attendait : par quel miracle Jean-Michel Trogneux et Brichelle se ressemblent tellement qu’on pourrait croire ces zigotos jumeaux monozygotes (issu du même œuf) ? Même les logiciels biométriques d’identification faciale s’y trompent. L’un est l’autre et réciproquement.

Ces supputations relèveraient du domaine privé si Brichelle ne se mêlait pas des nominations, avancements et rétrogradations des caciques, ne participait pas au débat public par médias interposés, et n’apparaissait pas lors des cérémonies officielles comme la déesse tutélaire du gamin malappris qui joue au président.

A-t-on lancé un avis de recherche dans l’intérêt des familles ?

À la fin des années 1980. Jean-Michel Trogneux a été aperçu plusieurs fois en compagnie du très controversé pasteur Joseph Doucé (dit « la doucette » comme la mâche sauvage). Puis il a brusquement disparu des écrans radars. Au moment même où Brigitte signait son apparition dans les carnets mondains du gay Paris.

Auparavant, elle faisait preuve d’une timidité et d’une discrétion touchant à l’effacement. Pas un micro, pas une caméra, pas un témoin ne se souvient d’elle. Elle a bien changé maintenant qu’on la couche sur la couverture quadrichromique de Vois-ça, Galetas et Pourri Match.

Jean-Michel, s’il n’est pas passé sous le bistouri des charcutiers coupe-zizi, aurait-il pu être effacé par des malfrats comme le pasteur Doucette ? Puisqu’il n’a plus donné de ses nouvelles, même quand sa petite sœur a dû affronter des soupçons lourds à porter malgré ses larges épaules et ses grands pieds.

Un bon pasteur et ses drôles de paroissiens

Le pasteur fut un promoteur enthousiaste des mariages homosexuels et de la chirurgie transgenre. Mais aussi, selon les RG, il aurait été le fournisseur-animateur d’un réseau pédophile réservé aux zélites. Politiciens, banquiers, diplomates, magistrats, avocats, stars des médias, du cinéma et de la chanson. Qui n’aiment pas qu’on les fasse chanter. Une sorte de Jeffrey Epstein avant l’heure.

Le 19 juillet 1990, vers 20 heures 30, deux hommes à la mine patibulaire sonnent au domicile du bon pasteur. Doucé a été exclu de l’église baptiste mais il se fait toujours appeler ainsi… Lorsqu’il ouvre la porte, les deux malabars lui demandent de les suivre. Persuadé qu’il s’agit de flics, il s’exécute. Le concubin de Doucé, un certain Guy Bondar et un ami de passage le séminariste Arnaud, jeune religieux pédéraste, confirment.

Le pasteur défroqué était dans le collimateur de la police des mœurs, moins pour ses liens avec la communauté gay et sa librairie spécialisée dans la littérature sodomite « Autres Cultures », que pour des soupçons de détournement de mineurs et des liens présumés avec un groupe pédophile très sélect, aux ramifications européennes.

Trois mois après son escamotage, le cadavre en décomposition de Doucé est retrouvé en forêt de Rambouillet. Il a été étranglé. La flicaille ne se décarcasse pas trop pour retrouver les assassins. Par contre, le tribunal médiatique (déjà !) désigne les coupables. Des inspecteurs de police qui seront acquittés en 1998 après huit ans de procédures.

Aujourd’hui, on suppose que de très hautes personnalités, habituées de ses parties folles, craignant son manque de discrétion, ou ne supportant pas ses tentatives de chantage l’ont fait liquider. Pas par des flics ordinaires. Mais par des sicaires gardes du corps mutiques attachés aux grands personnages. Généralement recrutés dans le milieu. La plupart rémunérés grâce aux caisses noires des ministères affectées aux barbouzes et sur lesquelles le Parlement n’a aucun droit de regard. « Sécurité Nationale » paraît-il. Une échappatoire bien commode.

Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es (ou qui tu hais)

Faute de pouvoir faire un test ADN de Brichelle dont les loufiats effacent consciencieusement toutes les traces de son passage, on en est réduit aux conjectures. Et à cet autre vieux proverbe. Les torchons et les serviettes ne se mélangent pas plus que les slips et les chaussettes.

Les indices abondent. D’abord la fête de la musique à l’Élysée en juin 2018. Quand les clés du royaume furent momentanément remises à des travestis et des personnes au sexe mal défini, pour la plus grande joie de Brichelle qui frappait dans ses mains telle une Alice déniaisée par le chaud lapin du pays des merveilles.

Ensuite, la visite aux Antilles, où l’on voit Foutriquet éprouver un orgasme public intense qu’il ne peut dissimuler, entre les bras d’un jeune Black au casier judiciaire bien fourni. Les voyous ont toujours attiré les petites bourgeoises transgressives.

« Dès qu’il voit des Noirs, il s’émoustille.» Le propos n’est pas de quelque odieux raciste blafard, mais du franco-camerounais Fabrice Éboué. Qui témoigne. « À la finale de la Coupe du monde, il était dans le vestiaire avec les joueurs noirs torses nus, et il a pété un plomb (…) J’ai été à l’école avec Macron, à la Providence, à Amiens, et je m’en rappelle, dès qu’on était dans les vestiaires, en cours d’EPS, dès que j’étais torse nu, tout de suite il s’émoustillait. Je lui disais, laisse-moi tranquille , va plutôt voir ta prof de français »

Enfin, une constante depuis 2017, le grand remplacement des hétéros par des gays aux sommets de la ripouxblique. Ni calomnies, ni diffamation, encore moins homophobie, puisque les intéressés affichent leur tendance comme une Légion d’honneur. Le nombre de postes de pouvoir, pas seulement des ministres, mais aussi des chefs de cabinet, préfets, ambassadeurs, directeurs de services publics, confiés à des invertis et des lesbiennes notoires est en croissance constante. Le nouveau gouvernement Attal ne viendra pas contredire cette évolution.

Le contraste est frappant entre les jeunes gens bien élevés, longilignes et vaporeux, que le tyran affectionne pour ses relations privées. Et les brutes épaisses qui le protègent de la vindicte des Français qu’il ne manque jamais une occasion d’insulter ou d’humilier. Macronescu le despote à l’air chafouin et au caractère lâche et froussard (on l’a vu lors de l’épisode des Gilets Jaunes) fait le kéké, planqué derrière un escadron de gardes mobiles ou de CRS. Grands, forts et bêtes.

Ce sont toujours des rumeurs d’extrême droite !

En 1979-80, « Minute » qui n’était certes pas de gauche, avait publié des articles très documentés sur la francisque de Tonton, le faux attentat de l’Observatoire, et sa deuxième famille cachée. Tout y était. Les noms, les lieux, les dates. Les témoins encore vivants. Il suffisait de vérifier. Au lieu de cela, la presse subventionnée s’écria, horrifiée : « Ce sont des rumeurs nauséabondes d’extrême drouâte ! »

Pour en revenir à la reine Brichelle, le prince consort qu’on sort du placard pour la galerie et les gâteries, devrait tordre le cou à ces rumeurs malveillantes en expliquant pourquoi on ne trouve pas plus trace de l’extrait de naissance de Brichel à la mairie d’Amiens, que de son agrégation à l’Éducation nationale. Pourquoi elle a allégué un mari banquier, André Louis Auzière né dans une ville qui n’existait pas, et qui n’a laissé aucun souvenir dans sa profession… En utilisant avant son veuvage la photo d’un collègue, un certain Claude Hugot, reconnu par d’autres profs.

Pourquoi n’a-t-elle conservé aucune photo de ses trois enfants dans leurs premières années ? Comme dans toutes les familles. À cela s’ajoute l’interrogation forensique : comment se fait-il que, sur un enregistrement de 1977, escamoté récemment par l’INA, mais pas assez vite pour que des copies soient faites, une transsexuelle répondant au pseudo de Véronique présente un profil, une gestuelle et un empreinte sonore qui semblent appartenir à Brichelle ?

Quelque part, on nous cache tout, on ne nous dit rien. Mais il pourrait y avoir une explication scientifique. Histoire de se faire l’avocat du diable.

Des vrais jumeaux ou une seule et même personne ?

On a longtemps cru que les vrais jumeaux ne pouvaient être de sexes différents. Puisqu’ils sont issus du même œuf. Or une étude sur des chats bottés Louboutin, applicable à d’autres mammifères comme les humains, conclut que cela peut arriver, de façon exceptionnelle si l’œuf n’est pas cuit à point.

Pour les généticiens, des mutations peuvent se produire lors la toute première division. Si un ovule porte des chromosomes X doubles (alors qu’un ovule normal n’en porte qu’un seul) et est fécondé par un spermatozoïde Y, vous pouvez obtenir un embryon XXY. C’est ce qu’on appelle le syndrome de Klinefelter.

Si cet embryon XXY se divise à son tour en jumeaux monozygotes, vous pouvez vous retrouver avec un jumeau XY (mâle) et un autre XX (femelle). Tout est possible mais on doit savoir ! Car on ne peut errer plus longtemps dans le flou artistique quand l’honneur et la réputation de la reine du Franconistan sont lâchement attaqués par de vils complotistes.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

Source : Riposte Laïque

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