La prochaine pandémie pourrait bien être une arme biologique bactérienne
par Covidhub
Un médecin et lanceur d’alerte allemand renommé attire l’attention sur un réseau d’usines pharmaceutiques constitué par la CIA. Révélations exclusives sur un scénario inquiétant.
«Pourquoi le gouvernement américain constitue-t-il un réseau d’usines pharmaceutiques avec la CIA ? Tout porte à croire qu’il s’agit de préparer la prochaine urgence sanitaire et que cela pourrait être une arme biologique bactérienne».
Parlant sans détour, le Dr Heiko Schöning, un médecin qui avait annoncé l’arrivée d’une fausse pandémie et désigné ses acteurs en septembre 2019, a balancé de nouveaux noms sur une chaîne allemande. Cet ancien officier de l’armée lance l’alerte :
«Il faut dénoncer les plans de la mafia médicale et se préparer à ces attaques !»
Entretien de Senta Depuydt avec le Dr Heiko Schöning pour COVIDHUB
Senta Depuydt : Dr. Heiko Schöning, sans nous connaître, nous avions tous deux anticipé la déclaration d’une grande urgence sanitaire et la mise en place d’un agenda de contrôle mondial. En mars 2019, j’avais publié un article sur le plan mondial de la vaccination et les mesures liberticides associées à la réponse à une pandémie. À l’époque, je m’étais basée sur l’avancée des plans du Global Health Security Agenda et son financement massif par les membres du G7. De votre côté, vous aviez affirmé le 11 septembre 2019, qu’une alerte sanitaire serait bientôt annoncée et vous aviez cité des noms qui en tireraient profit. Comment avez-vous pu anticiper la 1ère pandémie ?
Dr Heiko Schöning : À vrai dire, j’avais déjà enregistré cette fameuse interview en 2018, mais malheureusement, elle n’a été diffusée qu’un an plus tard. C’est dommage, on aurait dû en parler plus tôt !
Disons que je m’intéresse depuis longtemps aux recherches sur les armes biologiques et aux activités du complexe militaro-industriel. J’ai une formation de médecin et de militaire et j’ai aussi travaillé en oncologie à l’hôpital de la Charité à Berlin. En 2001, j’avais été très choqué par l’histoire des soi-disant attaques terroristes à l’anthrax qui avaient suivi le 11 septembre. Aujourd’hui, l’on sait qu’il s’agissait d’opérations sous faux drapeau, destinée à justifier l’invasion en Irak et en Afghanistan et à vendre des armes et des vaccins. En réalité, cela fait des décennies que l’industrie militaire et le cartel mafieux auquel elle est associée, s’emploient à entretenir diverses menaces pour faire tourner leur business. Le spectre de la guerre, du terrorisme ou de la pandémie leur permet de faire des milliards de dollars de profit. Mais au-delà de cela, il y a aussi la tentative, bien plus grave, d’une prise contrôle de la société à l’échelle mondiale. C’est ce que nous avons dénoncé vous et moi.
Senta Depuydt : Concrètement quelles informations se sont confirmées ?
Dr Heiko Schöning : J’ai publié tous les détails de cette histoire dans un livre intitulé «Game Over «Covid-19 – Anthrax 01»», où je montre la continuité de cet agenda militaire et de ses acteurs, depuis l’affaire de l’anthrax. Pour vous donner un exemple concret, j’avais annoncé que la société Emergent Biosolutions serait sollicitée pour fabriquer des vaccins dans le cadre de l’urgence sanitaire. Car, peu avant la pandémie, la compagnie avait reçu des milliards du gouvernement américain, pour préparer la réponse à une prochaine catastrophe sanitaire. Et – quelle surprise – c’est exactement ce qui s’est passé !
En juin 2020, dans le cadre de l’opération Warp Speed, où le développement et la production des vaccins Covid a été entièrement confié aux militaires, le gouvernement Trump a accordé 825 millions de dollars à cette firme pour produire les futurs vaccins. Mis à part un vaccin contre l’anthrax, cette entreprise ne produisait pas grand-chose, mais elle était pourtant la seule à qui l’on avait confié la fabrication des vaccins pour constituer la réserve stratégique nationale américaine. Emergent avait reçu le plus gros contrat du budget de la santé, le HHS. Ils devaient produire une quantité gigantesque des vaccins, avec des commandes de Moderna, Johnson & Johnson et d’Astra Zeneca. Mais cela a mal tourné, car il y a eu des problèmes liés à la qualité des lots. Ils ont été obligés de jeter des millions de doses contaminées et ont été incapables de livrer les quantités promises. La production des vaccins Covid a finalement été attribuée à d’autres compagnies, mais la firme reste toujours en place pour la production des vaccins de l’arsenal américain de défense contre le bioterrorisme. Elle a même reçu une autorisation de la FDA pour un nouveau vaccin contre l’anthrax nommé Cyfendus.
Senta Depuydt : En somme, vous avez suivi l’argent…
Dr Heiko Schöning : Oui ! J’ai suivi l’argent, et j’ai suivi les gens. Par exemple, Fouad El Hibri, le patron d’Emergent Biosolutions, un Libanais né en Allemagne, qui était un véritable escroc. Il avait déjà été impliqué dans des magouilles avec les militaires américains, depuis la fin des années 90. En 1998, il avait fondé la société Bioport avec son père, qui vendait des vaccins contre l’anthrax, achetés aux britanniques, cent fois plus chers aux américains. Il était donc de mèche avec Robert Kadlec et Antony Fauci qui géraient les budgets de la Défense contre les armes biologiques et les patrons d’In-Q-Tel à la CIA. Plus tard, après une série de fusions et d’acquisitions, Bioport a changé de nom et est devenu Emergent Biosolutions. Mais on était toujours en présence des mêmes bonshommes, «the usual suspects» comme disent les américains. Suite au cafouillage qui a eu lieu avec la production des vaccins pandémiques, El Hibri a été mis à la retraire forcée à 64 ans… il est mort subitement quelques semaines plus tard. Son décès est évidemment suspect, et une enquête sur sa mort a même été commanditée par certains membres du Congrès.
À présent, les noms qu’il faut retenir sont Christopher Darby, Raoul Singhvi et Scott Gotlieb. Christopher Darby a été à la tête de In-Q-Tel, la firme d’investissement de la CIA, depuis 2006. En ce moment, il est chargé de développer un réseau d’entreprises pharmaceutiques baptisé National Resilience avec toute une brochette de «poids lourds».
Son adjoint, le directeur général de l’entreprise est un certain Raoul Singhvi, qui vient de la firme japonaise Takeda et de Novavax. Novavax a longtemps été présidé par un politique nommé Michael McManus, aussi vice-président de Pfizer. Ce dernier a été un proche de Reagan et de Bush, et il été accusé de nombreux méfaits tout au long de sa carrière. Il ont aussi recruté Scott Gottlieb, l’ancien directeur de la FDA, qui a fait la promotion du Remdesivir comme le «meilleur traitement contre le Covid-19»… pour ne citer que quelques uns.
Cette alliance entre les services secrets, la mafia, les militaires et l’industrie pharmaceutique peut paraître invraisemblable, mais j’en ai donné les détails dans mon livre.
Senta Depuydt : Oui, c’est assez incroyable, mais c’est effectivement documenté. J’ai également publié plusieurs articles sur toute la saga des urgences sanitaires simulées par ce cartel. Comme vous le savez, Robert Kennedy Jr. a consacré un livre monumental à ce sujet, avec plusieurs milliers de références.
Dr Heiko Schöning : Bien sûr ! Ce n’est pas pour rien que nous avons accueilli Kennedy à Berlin devant 1,5 million de personnes durant l’été 2020. Son discours était capital pour que le monde puisse comprendre l’attaque contre la démocratie qui a été menée sous couvert de réponse à la pandémie.
Senta Depuydt : À votre avis, qu’est-ce qui se prépare en ce moment ?
Dr Heiko Schöning : Et bien, nous savons qu’il y a une volonté de vacciner toute la planète et que lors de la première pandémie, la production n’a pas suivi au rythme nécessaire pour y parvenir. Je pense que si le gouvernement américain engage des sommes énormes dans cette nouvelle entreprise nommée National Resilience, c’est pour développer cette capacité de production qui a fait défaut lors du Covid. En fait, cette firme qui a été fondée en 2020, prétend créer «l’écosystème de production biopharmaceutique le plus avancé au monde» pour combler les pénuries et être à même de faire face à toute éventualité. National Resilience produit actuellement des vaccins ARNm pour Moderna. Pour moi, ils sont la nouvelle version de Emergent Biosolutions. À la différence que cette fois, ils s’arrangent pour avoir une véritable production industrielle de masse. Ils achètent des usines et ils en construisent de nouvelles.
National Resilience a par exemple racheté l’usine Sanofi à Boston. L’entreprise met en place un réseau de solutions de fabrication de bout en bout et avec des équipements de haute technologie pour pouvoir produire les médicaments les plus sophistiqués rapidement et à grande échelle.
Senta Depuydt : En gros, ils veulent contrôler toute la chaîne pour tout le pays ? Intéressant. Le sujet des pénuries, de la gestion des stocks et de l’accès équitable pour tous semble aussi être l’une des préoccupations majeures des politiques de santé européennes et internationales.
Il y a quelques semaines, dans l’interview (en fin d’article) que vous avez donnée sur une chaîne allemande, vous avez parlé d’attaques de type bactériologique. Qu’est-ce qui vous fait penser à cela ?
Dr Heiko Schöning : D’abord, les virus n’ont plus la cote. La grippe, les derniers variants du Covid et la variole du singe n’ont pas fait peur au public. Aujourd’hui, les gens comprennent que si les virus sont vraiment dangereux, ils tuent leur hôte avant de se propager, et par conséquent ils savent que quand les virus sont fort contagieux, ils sont relativement bénins. Et puis, il y a aussi ceux qui disent que les virus n’existent pas. Enfin, le délai entre l’apparition du Covid et le développement du vaccin a été trop long. En 2020, le Covid n’a pas provoqué une réelle hécatombe. Beaucoup de gens ont compris que la mortalité n’a augmenté qu’au moment où l’on a commencé à vacciner. De ce point de vue, c’est un échec. Je dirais que le scénario de la grande pandémie causée par un virus est grillé.
Par contre, les bactéries, tout le monde sait que cela existe et tout le monde sait que cela peut être mortel. On en meurt depuis le Moyen-âge, mais la différence, c’est qu’aujourd’hui nous avons les antibiotiques. Les guerres provoquent des famines, des mauvaises conditions d’hygiène et des pénuries de médicaments. Ce sont des circonstances dans lesquelles certaines épidémies peuvent vraiment faire des ravages. Et là, les organismes de santé publique vont pouvoir sauver des millions de vie grâce aux antibiotiques. Ça leur permettra de retrouver la confiance des populations, qui est au plus bas. Il sera plus facile d’éliminer les gens avec des nouveaux produits, car cela ne sera pas aussi visible qu’avec les vaccins Covid où l’on a eu un an d’écart entre la maladie et le vaccin.
Il ne faut pas nécessairement s’attendre à une grande pandémie mondiale. Il pourrait y avoir différentes alertes qui se succèdent ou qui se produisent en même temps. À mon avis, nous aurons au moins une vilaine bactérie qui renaîtra avec la fonte des pôles et le réchauffement climatique.
Détection de pathogènes en Sibérie
Senta Depuydt : Oui, ça fait partie du discours sur «la santé liée au climat» soutenu par l’OMS et le Forum économique mondial. Tout comme les attaques terroristes. Bill Gates a d’ailleurs prédit que la prochaine pandémie sera probablement d’origine bioterroriste. On pourrait refaire le «coup de l’anthrax» attribué aux islamistes ou des pathogènes mortels cultivés dans les laboratoire de type P4 en Russie et en Chine… Selon vous, l’attaque sur la santé de la population sera-t-elle importante ?
Dr Heiko Schöning : Malheureusement, je pense que oui. Je ne parle pas tant des maladies épidémiques que des remèdes qui seront vendus pour s’en protéger ou pour les traiter, les vaccins ou les médicaments. Je sais qu’en ce moment, ils sont en train de développer des antibiotiques «non-traditionnels» et que l’OMS travaille à modifier la définition et la classification des antibiotiques. C’est similaire avec ce qui s’est passé pour les injections d’ARNm. Ce ne sont pas des vaccins, mais on les fait passer comme tels. Si vous lisez les textes du futur traité sur les pandémies, ils veulent obliger tous les pays du monde à constituer des stocks «de mesures de lutte» contre la résistance anti-microbienne.
Il faut écouter leur langage. Ils ne parlent pas toujours d’antibiotiques. Comme avec les injections Covid, il y a «des mesures de lutte contre»… la résistance aux anti-microbiens. Grâce à ces termes, n’importe quel poison expérimental peut échapper aux définitions pharmacologiques et aux réglementations associées à divers types de médicaments. Pire encore, comme avec les vaccins Covid et l’opération Warp Speed, on peut tout sortir du domaine de la pharmacie pour le faire entrer dans la case militaire. Et là tout est secret, toutes les expérimentations et tous les crimes sont permis, personne n’est responsable.
Selon mes informations, toutes sortes d’armes biologiques sont développées, notamment de nouveaux médicaments anti-cancer, qui sont surtout des poisons cellulaires. D’ailleurs, la différence entre les tests sur les armes biologiques et les tests de la recherche sur le cancer ne tient que dans l’intitulé.
Malheureusement, cette fois nous entrons vraiment dans l’ère des armes biologiques et celles-ci seront dirigées contre les populations pour servir un agenda de contrôle à la chinoise.
Senta Depuydt : Qu’est-ce qui vous faire dire que nous «entrons» dans l’ère des armes biologiques ? Vous vous référez à une capacité de destruction de masse ?
Dr Heiko Schöning : Précisément. Cela n’a véritablement commencé qu’avec le coronavirus. En réalité, lorsque la convention internationale contre les armes biologiques a été signée en 1972, les capacités de déploiement de telles armes étaient assez faibles. Par contre, l’intention de mener ces recherches était bien là. La convention qui a été promue par le président de l’époque, Richard Nixon, a servi pour décourager la communauté internationale de développer de telles armes, et pour cacher le fait que les américains se lançaient eux-mêmes dans ces recherches.
Richard Nixon était surnommé Tricky Dick, «Richard le rusé» à une époque où la mafia proliférait sans complexe. Ils s’en sont sortis alors en renommant une partie du centre de recherche militaire de Fort Detrick en un Institut national pour le cancer. Et voilà, le tour était joué ! On a gardé les mêmes chercheurs et les mêmes bâtiments. Des milliards ont été engloutis dans cet institut pour soi-disant développer un vaccin contre le sida, alors qu’en réalité, on n’a jamais rien vu d’efficace.
Fort Detrick et l’Institut national du cancer
Une bonne partie a servi aux recherches d’armes biologiques. Maintenant, ces gens s’emploient à mettre au point des vaccins ARNm contre le cancer, des armes génétiques expérimentales en somme. On peut déjà entrevoir ce que cela va donner, parce que depuis le début de la vaccination Covid on assiste à l’apparition de «turbo-cancers» et à l’augmentation foudroyante de l’incidence de tous types de cancers.
On a poursuivi tout cela, comme les recherches de gain de fonction des virus, sous prétexte de pouvoir se défendre en cas d’attaques. Ce sont ces recherches «à double usage» qui permettent encore aujourd’hui de cultiver des agents pathogènes susceptibles d’être utilisés par des terroristes.
Cela dit, de façon générale, je pense qu’il faut surtout s’attendre à un assaut sur notre microbiote.
Senta Depuydt : Comment cela, tout le monde risque d’être empoisonné ? C’est un véritable cataclysme que vous nous annoncez.
Dr Heiko Schöning : C’est vrai, le scénario que j’entrevois est monstrueux. D’abord, il y a aura des attaques bactériennes. Ensuite, tout le monde se ruera sur les nouveaux «anti-microbiens» qui vont empoisonner toute la population et flinguer leur flore intestinale. Après cela, les gens auront de plus en plus de mal à digérer la nourriture et leur système immunitaire va s’affaiblir. Là, ils recevront de nouveaux types d’aliments et des nouveaux types de bactéries OGM ou d’enzymes pour les digérer. Et, peu de gens le savent car on ne parle pas beaucoup de ces recherches, mais le microbiote a une grande influence sur le ressenti et le comportement des gens. En modifiant cela, on aura une nouvelle façon de contrôler les populations. Par exemple, on tentera de les rendre dociles ou agressifs. Cela peut paraître étonnant, mais tous ces micro-organismes influencent notre personnalité.
Senta Depuydt : Cela je le sais, car j’en ai fait l’expérience directe avec les interventions sur le microbiote dans le cadre de la prise en charge de l’autisme. J’ai même animé un congrès sur ces sujets, il y a quelques années. Aujourd’hui les travaux sur le lien «intestin-cerveau» sont très nombreux, mais ils restent trop souvent ignorés par les professionnels de la santé.
Tout cela paraît diabolique, mais plausible. En tous cas, j’aimerais certainement avoir plus de détails pour approfondir ces questions.
Dr Heiko Schöning : Bien entendu ! C’est pour cela que j’ai rédigé un livre qui va sortir d’ici quelques semaines, dans lequel je documente ces faits. C’est en allemand, mais j’aimerais beaucoup le faire traduire rapidement. Il est très important de faire connaître tous ces plans ou au moins de s’intéresser à ce qui se passe et de réfléchir à ces scénarios. Car même si nous ne sommes pas capables de les arrêter, nous pouvons au moins nous y préparer. Je propose plusieurs solutions dans mon livre.
Heureuse d’entendre une note positive ! C’est entendu, nous en reparlerons…
Site web du Dr Heiko Schöning
Source : Reseau International
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