LA PARENTHÈSE COVID

Il y a la France d’avant, pendant et après le cirque COVID. Mis à part la période où les gougnafiers des Cabinets de conseil se sont entre deux manipulations économico-scandaleuses littéralement moqués de la face béate des français, nous vivons depuis quelques mois un retour à la normale. Ce dernier n’est que dans la tête des gens qui comme le démontre les deux dernières élections continuent à se faire manipuler par l’ingénierie sociale. La seule norme coutumière que l’on observe, c’est le train fou de la dictature macrono-américaine. Certes, il y a un bon nombre de personnes qui ont capté les événements délétères depuis la crise sanitaire, mais ils sont au demeurant trop peu nombreux pour changer quoi que ce soit dans ce monde occidental de zombis.

Ainsi les gens ont repris leurs petites habitudes antérieures à la pantalonnade covidienne. La crise économique, sans précédent national depuis JacquesNecker, va les rattraper avant la fin de l’année. Nous sommes l’été, les cigales chantent, éternellement insouciantes que l’hiver rigoureux arrive.

Ce qui m’intéresse ici, ce n’est pas le sort général de la plèbe éternellement addict d’évergésies aussi diverses que conditionnées, mais bien celui de ceux qui n’ont pas voulu devenir des OGM humains. Si tout le monde mène sa petite vie d’avant la manipulation COVID, comme si rien n’était arrivé, d’autres, qui ont fait le choix de rester intègres physiquement et moralement sont toujours dans des difficultés extrèmes. Ils sont rejetés par la société benoîte, par les sectaires covodistes, par tous ceux qui participent à la disruption sociétale, mais aussi par leurs propres familles, ce qui est le pompon de la déliquescence de la structure de base de toute société saine et entière.

Il faut bien comprendre que ces gens sont devenus des parias. Ils sont dans des difficultés financières extrêmes, psychologiquement anéantis. Ils ont tout perdu. Actuellement, ils se battent pour rebondir sinon pour survivre tout simplement. Certains se sont suicidés tant leur détresse était immence, ne l’oublions pas.

Pour mémoire, il y a eu pléthore de collectifs qui se sont constitués sous le choc covidiste, mais aucun n’a aidé concrètement ces gens mis dans la panade par la dictature en place. Non, aucune de ces associations plus ou moins informelles de “réveillés” n’ont trouvé ni l’énergie ni la volonté de subvenir aux besoins basiques de ces infortunés. Ces nouveaux lépreux étaient et sont toujours dans leur droit de par au moins les décisions de Nuremberg, les droits de l’Homme, le principe de précaution inscrit dans notre constitution et le libre choix thérapeutique du patient averti garanti par nos textes législatifs. Nous savons bien que ce régime d’inspiration bolchevique se moque éperdument du droit contraire à leurs aspirations économico-géopolitiques comme chacun peut le constater tous les jours.

2020, pour beaucoup de gens, qui n’ont pas encore compris cette mise sous usure de l’activité économique par son arrêt brutal et autoritaire pour attendre des sommets de l’indécence financière, ce n’est qu’une parenthèse, un mauvais souvenir. Pour d’autres, c’est la date de la fin de leur vie professionnelle, leur mise au banc de la société, leur réclusion sociale à vie. Le cartel gouvernant les a déposé manu militari sur le quai abandonné de l’histoire. Ils vivotent à présent parmi les herbes folles de la déserrance des orphelins de la république qui a failli.

Avoir une pensée émue pour ces gens restés sur le carreau est une chose, les aider à se reconstruire une nouvelle vie une autre. Peu d’âmes charitables et compatissantes s’y sont attelées. C’est un signe évidant une fois de plus que la solidarité citoyenne n’est qu’un concept de salon Dans la vraie vie, l’égoïsme est la plus haute valeur de notre temps. Il nous perdra.

DdG

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