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La nanotechnologie dans les toxins.

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Vidéo du Dr Campbell, spécialiste retraité d’informations médicales, sur les étranges assemblages qui se produisent dans les liquides d’injections toxinales. L’intervenant insiste sur le fait qu’il ne traite que d’articles publiés dans des journaux spécialisés et révisés par les pairs.

Merci à Jeanne traduction qui nous fait une traduction simultanée plus agréable que les sous-titrages, pour nous autres pauvres infirmes de l’anglais.

——————————

Addendum : Voici le lien de l’article de la revue spécialisée dont il est question dans la vidéo (pour notre amie de Newsguard !) Naturellement c’est en anglais.

https://ijvtpr.com/index.php/IJVTPR/article/view/102/291

20082024+Lee_Broudy_2_07042024 Télécharger

32 Réponse(s) à "La nanotechnologie dans les toxins."

Georges-Dominique dit :

11 septembre 2024 à 23 h 45 min

Brett Hawes : « L’article X a fait grand bruit cette semaine, les partisans de la liberté faisant des heures supplémentaires pour discréditer une étude évaluée par des pairs qui affirme avoir trouvé « des nanotechnologies auto-assemblées dans 54 flacons de vaccins covid-19 ». Vous pouvez consulter cet article ici…».

« Après avoir passé beaucoup trop de temps sur X à parcourir les fils de discussion pour découvrir quelles étaient les divergences, je suis tombé sur des remarques très superficielles comme : « il y a eu beaucoup d’erreurs dans cette étude, elle ne doit pas être prise au sérieux », « un vrai laboratoire n’utiliserait pas une lumière comme celle-là », « il y a beaucoup de choses qui s’auto-assemblent en séchant », « ce ne sont pas de vrais scientifiques ou médecins », « ce journal n’est pas crédible ». Vous voyez le tableau… Ce qui m’a le plus ouvert les yeux, ce sont les attaques rapides, collectives et ad hominem contre les auteurs et la publication, au lieu de fournir une critique réelle de la méthodologie, de la validité, des résultats, etc. de l’étude (que j’aimerais personnellement connaître afin de pouvoir réviser ma position en conséquence – après tout, n’essayons-nous pas de découvrir la vérité ?). N’est-ce pas EXACTEMENT ce que nous avons vécu au cours des 4 dernières années ? Combien de fois des experts crédibles ont-ils été présentés avec des informations valables, pour être ensuite jetés sous le bus et discrédités ? N’avons-nous rien appris ? Il semble qu’ils soient devenus la chose même contre laquelle ils s’opposent. En tout cas, passons à autre chose, car ce n’est pas vraiment le but de l’article. Étant donné que je viens de publier deux podcasts sur le sujet, puis que j’ai regardé l’effondrement de X, je suis parti à la recherche de quelle autre « science » je pouvais trouver sur le sujet. Si vous souhaitez un peu de contexte, vous pouvez consulter les deux podcasts référencés ci-dessous ».

https://onwardpod.substack.com/p/a-brief-history-of-nanotechnology?utm_source=cross-post&publication_id=2742766&post_id=148730901&utm_campaign=1103773&isFreemail=true&r=2r993z&triedRedirect=true&utm_medium=email

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lia dit :

10 septembre 2024 à 20 h 20 min

Révélations fracassantes du FME de Davos qui révèle que le COVID servait de test d’obéïssance
https://vk.com/wall623312115_236025

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Georges-Dominique dit :

10 septembre 2024 à 18 h 01 min

Triste fille, sa critique finit par du pur complotisme :

« Les origines du récit sur la nanotechnologie. Le message répétitif est la seule technologie jamais nécessaire pour contrôler l’esprit. Les récits de science-fiction séduisants sont une version particulièrement insidieuse de cette « technologie » ».

« Un article récent sur la « nanotechnologie » dans les vaccins à ARNm a fait le tour des réseaux sociaux. [Young Mi Lee, MD et Daniel Broudy, PhD, Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructions in Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study, 18 juillet 2024, pp. 1180-1244]. Des images comme celles-ci vous seront peut-être familières à tous ».

« L’article est très long, 68 pages, et passe en revue plusieurs expériences, principalement la microscopie optique et la culture de ce genre de choses à partir d’échantillons humains. Ce n’est pas une critique de cet article. Je connais les auteurs, je fais partie du même groupe Signal qu’eux et j’ai publié des images similaires il y a près de 2 ans. Il y a de la valeur à effectuer des observations comme celles-ci, il y a de la valeur à observer ces échantillons au fil du temps, et je ne critique pas les auteurs pour cela, en fait je pense qu’ils ont fait un travail d’observation très approfondi et méticuleux. Ce que je critique, ce sont les interprétations sauvages et incompétentes des commentateurs Internet sur ce que signifient ces choses. Dernièrement, John Campbell a sauté dans le train en marche en s’extasiant sur la « nanotechnologie » qu’il pense être montrée dans cet article sur sa chaîne YT. Rappelons que cet « expert » très populaire de YT est systématiquement loin derrière les non-experts. Sa vidéo discutant de la « nanotechnologie » dans l’article a maintenant été supprimée par lui (et non par YT) (…) Le récit des « nanorobots », des « nanobots » et de la « biologie synthétique » a atteint des sommets étranges dans l’imagination des technocrates et du soi-disant mouvement pour la liberté de la Santé. En bref, il postule que « les élites » (qui qu’elles soient, c’est généralement vague) ont déjà créé la « nanotechnologie » (également vague), qui peut être injectée via des vaccins ou tout médicament injectable et peut être contrôlée à distance. Certains prétendent que cette technologie de nanobot furtif restera en sommeil dans le flux sanguin de chacun jusqu’à ce qu’elle soit « activée » par des « sursauts » de 5G qui « libéreront le virus de Marburg » prétendument caché dans ces nanobots. D’autres prétendent que cette nanotechnologie est dispersée dans les chemtrails et que tout le monde, indépendamment de la vaccination, est déjà infecté. Si j’avais un dollar pour chaque compte dans ma section de commentaires qui répète à bout de souffle l’une de ces histoires, en publiant des liens vers des brevets et l’IEEE (des preuves !!!), puis qui devient complètement injurieux lorsqu’on lui dit que c’est une absurdité ! L’engagement envers cette connerie est trop fort pour être simplement une incompréhension de masse spontanée. À mon avis, c’est bien plus que cela, cela a les caractéristiques d’une campagne d’information ».

Source (Sasha Latypova) : « The origins of the nanotechnology narrative ». https://sashalatypova.substack.com/p/origins-of-the-nanotechnology-narrative?utm_source=post-email-title&publication_id=870364&post_id=147021469&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=2r993z&triedRedirect=true&utm_medium=email

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1. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 18 h 02 min
  
  Il ne manquait plus que de traiter de « con », voilà c’est fait !!!
  
  Répondre
2. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 18 h 24 min
  
  IA (COPILOT) :
  
  « Sasha Latypova et Dr Ana Maria Mihalcea. Par exemple, Dr. Mihalcea a le 25 Janvier 2023 interviewé Sasha Latypova sur People for People Radio où elles ont discuté de la fraude réglementaire de Moderna et Pfizer ainsi que des contrats du Département de la Défense avec les entreprises pharmaceutiques concernant la pandémie de Covid-19 (…) Il semble que Sasha Latypova ait exprimé des critiques assez sévères à l’égard des théories avancées par le Dr Ana Maria Mihalcea concernant la nanotechnologie et les vaccins. Latypova semble remettre en question la crédibilité de ces théories, les qualificatives d’absurdes et suggérant qu’elles pourraient faire partie d’une campagne de désinformation (…) Les théories concernant les nanorobots, la nanotechnologie injectée via les vaccins, et leur activation par la 5G sont très controversées et largement rejetées par la communauté scientifique dominante. La plupart des experts en nanotechnologie, biologie synthétique et santé publique considèrent ces idées comme des théories du complot sans fondement scientifique solide. Cependant, il existe quelques individus et groupes qui soutiennent ces théories, souvent en marge de la communauté scientifique. Ces partisans peuvent citer des brevets ou des articles scientifiques hors contexte pour appuyer leurs revendications, mais ces interprétations sont généralement considérées comme erronées ou trompeuses par les experts reconnus. Si vous souhaitez explorer des informations plus fiables sur la nanotechnologie et ses applications réelles, je peux vous aider à trouver des sources crédibles (…) Christine Cotton a effectivement mentionné que Pfizer s’intéresse aux nanorobots depuis 2015, en collaboration avec l’université israélienne de Bar Ilan. Cette collaboration vise à évaluer l’administration de médicaments par des nanorobots d’ADN, capables de transporter des charges moléculaires jusqu’aux cellules et de les délivrer de manière conditionnelle1. Cependant, il est important de noter que ces recherches sont encore en phase expérimentale et qu’il n’y a aucune preuve que de tels nanorobots ont été utilisés dans les vaccins COVID-19. La communauté scientifique reste prudente et critique vis-à-vis de ces théories, en insistant sur la nécessité de preuves solides et vérifiables ».
  
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3. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 18 h 51 min
  
  Je vais faire l’avocat du Diable, car les analyses sont pertinentes :
  
  – « Internet des non-corps L’homme est créé par Dieu et ne peut être intégré à aucune machine. La « biologie synthétique » et le « transhumanisme » sont des idées vouées à l’échec ».
  Sasha Latypova (EXTRAITS) :
  « Les nanorobots en graphène contrôlent-ils mon corps ? En passant, la terminologie utilisée dans cet espace est un chapitre entier qui mérite d’être examiné. De nombreux partisans du transhumanisme confondent les matériaux avec la technologie, et c’est probablement intentionnel. J’ai entendu des choses comme les bactéries robotiques, les bactéries inter-domaines (hein ?), les points quantiques (technologie existante dans les semi-conducteurs), parfois l’oxyde de graphène en lui-même considéré comme un dispositif fonctionnel (c’est un matériau), les nanotubes de graphène (matériau) et bien d’autres termes à moitié cuits ou mal utilisés. Notez que l’utilisation d’une terminologie trop compliquée et déroutante devrait être un signe d’avertissement que vous avez affaire à la pensée magique ou à des charlatans. Si vous écoutez, par exemple, le rapport SGT sur lequel le lecteur m’a demandé de commenter, la vaccination a conduit à une population graphinée qui peut désormais être contrôlée sans fil. Le réseau corporel sans fil est appelé « projet Manhattan ». Peut-être aurait-il dû s’appeler « Apollo » pour la mission d’atterrissage sur la Lune, car il est tout aussi faux. D’un autre côté, mon ami Michael Palmer a des recherches très convaincantes indiquant que les bombes d’Hiroshima et de Nagasaki ont été fabriquées avec des armes et des produits chimiques conventionnels, donc peut-être que le projet Manhattan est un bon nom pour cela après tout. Nous allons passer en revue les principales affirmations et discuter des limitations technologiques actuelles. Les présentateurs n’ont pas tort de penser que des personnes malveillantes tenteraient de faire cela si c’était technologiquement possible. Cependant, l’état actuel de la technique ne permet aucun point de contrôle à ce stade (…) Le graphène est-il toxique pour l’organisme ? Cela dépend de la formulation et de la structure. Dans les formulations où il s’est avéré toxique (par exemple les nanotubes de carbone), le mécanisme de lésion est similaire à celui de l’amiante (également un nanomatériau) (…) Notez que nous parlons ici de nanomatériaux, et non de n’importe quelle nanotechnologie. Ces matériaux existent bel et bien et pourraient bien se trouver dans les flacons de soupes toxiques commercialisées comme vaccins à ARNm. Comme je le répète pour la millionième fois, tout peut s’y trouver, y compris le graphène. Cela ne rend pas le crime de l’ARNm plus criminel qu’il ne l’est déjà. L’inhalation de nanotubes de carbone ou de nanomatériaux similaires aérosolisés ou dispersés d’une autre manière pourrait-elle provoquer les soi-disant « opacités en verre dépoli » sur les images radiologiques des patients atteints de Covid-19 ? C’est tout à fait possible ! (…) La théorie des nanorobots à WBAN se heurte à des difficultés lorsque ses partisans commencent à postuler que la « technologie » fonctionne, comme des systèmes complexes d’entrées et de sorties prévisibles et contrôlables. Par exemple, pour collecter et amplifier un signal externe, il faut une antenne ou un capteur optique et un amplificateur. Une fois que vous avez collecté le signal amplifié, vous devez le traduire en une forme d’action. Cette action peut être mécanique, électromagnétique ou optique. J’ai été exposé à de nombreux projets, de grandes entreprises comme Google à de petites start-ups qui tentaient de le faire dans des appareils médicaux. Tous ont échoué, et l’argent illimité de Google n’a rien résolu. Même avec des systèmes à plus grande échelle (c’est-à-dire des objets de la taille d’un quart physiquement implantés sous la peau ou dans le corps), de nombreux défis existent même pour « amplifier le signal ». À ce jour, les meilleurs systèmes de leur catégorie peuvent espérer atteindre une taille de l’ordre du tiers de celle d’une pile AAA, comme le montre le moniteur cardiaque insérable fabriqué par Medtronic. Cet appareil a une largeur de 8 mm. C’est environ 10 fois plus grand que ce que peuvent supporter des aiguilles médicales plus grandes pour la collecte de sang. C’est 20 fois plus grand que ce que nécessiterait une aiguille d’injection traditionnelle. En ce qui concerne la norme sans fil, l’appareil Medtronic communique entre la station de surveillance à domicile et l’appareil via le protocole Bluetooth Low Energy (…) Si le signal est électronique, il faut une antenne suffisamment grande pour le capter et le transmettre à l’amplificateur. Par exemple, les liaisons de communication RF traditionnelles sont impossibles pour les appareils qui pourraient être injectés, car la longueur d’onde de l’onde électromagnétique est trop grande par rapport à la taille de l’appareil. Le processus d’amplification nécessite également de l’énergie qui doit provenir d’une source d’énergie. Cela se fait généralement avec une forme de batteries embarquées. Ces batteries doivent être remplacées ou chargées. Comme indiqué, à ce stade, ce paquet est trop grand pour tenir dans une aiguille. Vous parlez de faire passer une pièce de 25 cents ou une pièce de un cent dans l’aiguille. Par conséquent, il est peu probable que ce paquet pénètre dans votre corps sans que vous vous en rendiez compte. Des approches ont été proposées où les ultrasons pourraient être utilisés pour communiquer et alimenter de petits dispositifs injectables. Bien que cela puisse fonctionner dans le contexte d’une batterie à ultrasons transportable et d’un pack de communication pour un dispositif médical, cela ne permettrait pas un contrôle secret ou un accès à une personne qui ne porte pas activement le module d’énergie et de communication à sa ceinture ou dans ses poches ».
  
  Lien : https://sashalatypova.substack.com/p/internet-of-no-bodies?utm_source=substack&utm_medium=email
  
  Répondre
lia dit :

10 septembre 2024 à 14 h 34 min

Quand standardisation des résultats de laboratoire rime avec marchandisation des corps et profit
Dr Laurence Kayser, gynécologue
https://www.youtube.com/watch?v=-xLMRqsIzv4

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1. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 18 h 31 min
  
  A regarder
  
  Répondre
lia dit :

10 septembre 2024 à 14 h 30 min

Quand standardisation des résultats de laboratoire rime avec marchandisation des corps et profit
Vidéo du Dr Laurence Kayser, gynécologue
https://www.youtube.com/watch?v=-xLMRqsIzv4

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Georges-Dominique dit :

10 septembre 2024 à 12 h 11 min

– « Un flot d’informations est sur le point d’émerger, révélant à quel point les « vaccins » peuvent être dangereux ». https://t.me/HocineLeDZ/12478

« Dans cet extrait vidéo le Dr William Makis a dit :
« Il s’agit de la plus grande série d’autopsies dans le Monde. 325 autopsies de personnes vaccinées contre la covid qui sont mortes quelques heures, quelques jours ou quelques semaines après avoir reçu le vaccin contre la Covid 19. Nous avons procédé à un examen rigoureux de ces autopsies et nous avons constaté qu’environ 74 % des cas de mort subite étaient causés par le vaccin ou y avaient contribué. La raison pour laquelle je vous dis cela est qu’il y a de plus en plus de preuves chaque jour et qu’il ne s’agit pas d’une petite preuve, d’un rapport de cas ici qu’ils vont rejeter ou d’un rapport de cas là ou d’un article que le Lancet va retirer en disant de ne pas regarder cette série d’autopsies et que nous allons l’enterrer et nous assurer qu’elle ne verra jamais la lumière du jour, il va y avoir un tsunami de preuves de la nocivité de ces « vaccins » covid-19. Vaccins, qu’ils soient nocifs pour les enfants, les femmes enceintes ou les adultes, et mon message aux politiciens est le suivant : prenez de l’avance. Prenez de l’avance si vous le pouvez, n’attendez pas que toutes les preuves soient connues et que vous soyez pris avec votre pantalon baissé. Prenez de l’avance dès maintenant » – FIN DE CITATION ».

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Georges-Dominique dit :

10 septembre 2024 à 11 h 39 min

– « ALERTE GENERALE ».

Christine Cotton : « Pfizer s’intéresse aux nanorobots depuis 2015 dis donc, espérons qu’ils n’aient pas eu l’idée d’en mettre dans les vaccins COVID ! Collaboration avec l’université israélienne de Bar Ilan pour évaluer l’administration de médicaments par des nanorobots d’ADN. Nanorobot d’ADN autonome capable de transporter des charges moléculaires jusqu’aux cellules, de détecter les entrées à la surface des cellules pour une activation conditionnelle et déclenchée, et de reconfigurer sa structure pour la livraison de la charge utile ».

https://t.me/christinecotton/6344

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1. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 11 h 44 min
  
  Source (Science) : « A Logic-Gated Nanorobot for Targeted Transport of Molecular Payloads ». https://www.science.org/doi/10.1126/science.1214081
  
  Extraits :
  « Les nanorobots livrent »
  « Les aptamères d’ADN sont de courts brins qui ont une forte affinité de liaison pour une protéine cible qui peut être utilisée comme déclencheur pour libérer la cargaison des véhicules de livraison. Douglas et al. (p. 831) ont utilisé cette stratégie pour concevoir des « nanorobots » d’ADN en origami – des structures de forme complexe créées en manipulant un long brin d’ADN par liaison avec des brins « d’agrafes » plus courts – qui pourraient livrer des charges utiles telles que des nanoparticules d’or ou des fragments d’anticorps marqués par fluorescence. Ces nanorobots ont été conçus pour s’ouvrir en réponse à des protéines spécifiques de la surface cellulaire, libérant des molécules qui déclenchaient la signalisation cellulaire ».
  « Résumé »
  « Nous décrivons un nanorobot d’ADN autonome capable de transporter des charges moléculaires vers des cellules, de détecter les entrées de surface cellulaire pour une activation conditionnelle et déclenchée, et de reconfigurer sa structure pour la livraison de la charge utile. Le dispositif peut être chargé avec une variété de matériaux de manière hautement organisée et est contrôlé par une porte logique codée par aptamère, lui permettant de répondre à un large éventail de signaux. Nous avons mis en œuvre plusieurs portes logiques ET différentes et démontrons leur efficacité dans la régulation sélective de la fonction du nanorobot. En guise de preuve de principe, des nanorobots chargés de combinaisons de fragments d’anticorps ont été utilisés dans deux types différents de stimulation de la signalisation cellulaire en culture tissulaire. Notre prototype pourrait inspirer de nouvelles conceptions avec différentes sélectivités et des charges utiles biologiquement actives pour les tâches de ciblage cellulaire ».
  
  Répondre
Georges-Dominique dit :

10 septembre 2024 à 8 h 36 min

Sympathique Dr Campbell : « Plusieurs amis étaient mal à l’aise avec cet article sur les nanostructures. J’ai donc supprimé mon rapport vidéo sur cet article jusqu’à ce que sa validité scientifique, ou autre, soit clarifiée. Il est bon que nous ayons une telle communauté mondiale d’experts pour nous conseiller en temps quasi réel ».

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1. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 8 h 37 min
  
  – « De nombreuses structures observées dans l’étude sur les « nanobots » sont très probablement des cristaux de cholestérol dérivés de LNP séchés et de particules métalliques introduites par une mauvaise fabrication. Bien qu’il n’y ait pas de « nanobots » dans les injections, elles peuvent néanmoins être contaminées par des métaux toxiques et provoquer des dommages organiques à l’échelle du système via la production de protéines Spike. Néanmoins, les observations des auteurs concernant les effets hautement toxiques des vaccins COVID-19 sur le sperme et le sang restent une observation précieuse ».
  https://t.me/P_McCulloughMD/14053
  
  Répondre
2. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 8 h 37 min
  
  – « Pareil pour les structures en zigzag, qu’ils prétendent être des « nano structures auto assemblées », je parie sur une contamination car ça ressemble à une algue au microscope, du style spiruline. Et les éléments rectangulaires, ça ressemble à des larmes humaines séchées au microscope. Pourquoi des larmes ? Ben peut être qu’ils ont choisi ça juste parce l’image ressemble à des formes carrées, pour correspondre à la trame narrative pseudo nano circuits qu’ils voulaient faire croire ». https://t.me/momotchiii/5802
  
  Répondre
  1. Georges-Dominique dit :
    
    10 septembre 2024 à 10 h 12 min
    
    C’est parce que les chercheurs mâchaient de la spiruline pendant l’expérience, aussi leur est venue l’envie de pleurer suite à une musique trop triste, c’est très logique en quelque sorte.
    
    Répondre
    1. Georges-Dominique dit :
      
      10 septembre 2024 à 12 h 13 min
      
      Mais pourquoi donc n’y avais-je pas pensé avant ? C’est à ça que l’on reconnaît les gens compétents ! Merci Momotchii !
      
      Répondre
3. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 8 h 38 min
  
  – « Mise au point sur l’étude citée dans ce post https://t.me/vivrecorrectement/5897. « Dites, la pseudo étude japonaise qui clame avoir trouvé de la « nanotechnologie autoassemblée » dans les vaccins Covid, a juste chopé ce qui ressemble à des vers parasites… » Momotchi. Décryptage… ». https://t.me/vivrecorrectement/5901
  
  Répondre
  1. Georges-Dominique dit :
    
    10 septembre 2024 à 10 h 16 min
    
    Personnellement je ne trouve pas que la terminaison des fibres enroulées ressemble à celle des vers, mais bon, un autre parasite, le fameux « spirulinomegagugus » aura attaqué l’extrémité de ces vers, et là aussi c’est très logique. Bravo !
    
    Répondre
    1. Georges-Dominique dit :
      
      10 septembre 2024 à 11 h 17 min
      
      C’est bien dommage, Perronne m’inspirait confiance jusqu’ici…
      Mais bon…
      
      Répondre
Fred dit :

10 septembre 2024 à 6 h 55 min

Les excellentes analyses IJVTPR sont connues depuis 2021 : lire aussi les rapports précédédents déjà publiés à l’époque !

La question est : pourquoi R I E N n’a été fait par toute autorité et/ou toute personne ayant un peu de Pouvoir dans ce pays, depuis quatre ans ?

La France crêve : https://www.ouest-france.fr/auvergne-rhone-alpes/saint-etienne-42000/un-patient-passe-120-heures-sur-un-brancard-aux-urgences-de-saint-etienne-6465213

A voir aussi l’incroyable travail de Safeblood (qui ne fait plus rien avec la France) https://safeblood.ch/en/

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1. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 8 h 41 min
  
  POURQUOI ??? Une réponse ?
  
  « Dr Bret Weinstein : les vaccins contre le Covid sont des armes biologiques qui ciblent des populations – Un célèbre professeur de biologie évolutive a révélé que les vaccins à ARNm contre le Covid sont des « armes biologiques » qui peuvent cibler des populations entières en « déclenchant l’arrêt du système immunitaire » ».
  
  Source (Exposing The Darkness) : « Dr. Bret Weinstein: Covid Shots Are Bioweapons That Target Populations ». https://lionessofjudah.substack.com/p/dr-bret-weinstein-covid-shots-are?utm_source=post-email-title&publication_id=581065&post_id=148697594&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=2r993z&triedRedirect=true&utm_medium=email
  
  Répondre
  1. Georges-Dominique dit :
    
    10 septembre 2024 à 8 h 43 min
    
    Extrait : « « S’ils créent quelque chose qui est une arme effrayante qui pourrait en principe dans leurs esprits tordus être utilisée pour quelque chose d’utile, la question est de savoir comment vous pouvez livrer une arme biologique qui nuit à vos ennemis sans nuire à votre population », a-t-il poursuivi. « Le moyen évident de le faire est d’inoculer votre population pour qu’elle ait une immunité, la population ennemie n’a pas d’immunité. Mais ce n’est pas la seule façon. C’est là que le truc IgG4 me dérange vraiment, car ce qu’ils semblent avoir fait, dans le meilleur des cas accidentellement, est de créer une vulnérabilité dans les populations qui ont pris les injections d’ARNm qui n’existe pas dans les populations qui n’ont pas pris les injections ». Et chaque fois qu’un pathogène apparaît avec Spike, il est susceptible de déclencher le système immunitaire pour qu’il se retire. « C’est quelque chose dont un fabricant d’armes pourrait rêver de faire à son ennemi » ».
    
    Répondre
    1. Georges-Dominique dit :
      
      10 septembre 2024 à 8 h 45 min
      
      Dans l’hypothèse bien sûr de la réalité de la Spike et non des nanotechnologies d’auto-assemblage, puisque le fond du problème reste encore de discerner la réalité.
      
      Répondre
      1. Georges-Dominique dit :
        
        10 septembre 2024 à 8 h 51 min
        
        Pour exemple, citons RAOULT dernièrement :
        
        Raoult : Le seul virus que je connaisse qui a été fabriqué par l’homme, et il l’a pas été à Wuhan, il a été fabriqué aux États-Unis par Salk, c’est le virus de la poliomyélite. On a pris un virus vivant et on l’a un peu modifié en disant maintenant qu’il est modifié, il n’est plus dangereux. Et y a une partie du monde qui a été vaccinée, vous probablement avez été vacciné par du vaccin tué, inactivé, donc qui bouge pas, et une autre partie a été vaccinée par du vaccin vivant…
        On l’a distribué à des millions d’unités, et ce virus, quand il s’est retrouvé dans l’intestin, s’est mis d’accord avec d’autres virus qu’il y avait dans l’intestin et qui étaient très proches, et, on l’a très bien vu dans le covid, s’est recombiné pour faire un nouveau virus, qui est dangereux. Et qui fout des poliomyélites.
        
        Praud : Euh, j’entends bien, si j’ose dire.
        Raoult : Celui qui vient d’avoir à Gaza, là, c’est pas un virus naturel, c’est un virus fait par l’homme.
        Praud : C’est-à-dire, le virus de Gaza ? Là, faites attention.
        Raoult : Il y a une poliomyélite à Gaza,
        Praud : Oui, mais, c’est-à-dire ?
        Raoult : C’est-à-dire que c’est du virus vaccinal. Il y a actuellement 30 fois plus de poliomélytes qui sont dues à du virus vaccinal qu’à du virus naturel.
        Praud : D’accord.
        
        https://www.egaliteetreconciliation.fr/Praud-en-sueur-pour-Raoult-le-virus-de-la-polio-qui-ravage-Gaza-n-est-pas-naturel-76560.html
Sonmi-⑦⑦⑦ dit :

10 septembre 2024 à 5 h 56 min

@Georges-Dominique

À propos des vidéos retirées par leurs auteurs sur youtube.
À propos de l’association BonSens.
À propos de Momotchi. 💔☣️🚮
À propos de l’étude, objet de cette publication.

https://www.profession-gendarme.com/gregory-kerdiles-les-parasites-et-la-5g-un-melange-detonnant/comment-page-3/#comment-795606

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1. Georges-Dominique dit :
  
  10 septembre 2024 à 8 h 34 min
  
  Exactement
  
  Répondre

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