Vous êtes ici: Accueil › Actualités › La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid

La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid

Vue(s) : 661

IHU Méditerranée-Infection IHU Méditerranée-Infection

428 k abonnés

Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé.

Source : Youtube

5 Réponse(s) à "La médecine et la santé publique à l’épreuve du Covid"

Christophe Desmaris dit :

8 juin 2021 à 15 h 08 min

J’ai un tantinet secoué Jean-Dominique Michel suite à ce naufrage au fond d’une calanque. Va-t-il se remettre et enfin comprendre qu’il s’est jeté bêtement dans la gueule du loup? Il est brave mais son concept indépassable de « corruption systémique » commence à franchement dater après 15 mois de déploiement forcené de la CONS-PI-RA-TION. Ah! la légendaire célérité de la Suisse…

Répondre
Georges-Dominique dit :

8 juin 2021 à 14 h 54 min

Fort heureusement, il y eut tout de même des personnes suffisamment éveillées pour saisir que quelque chose n’allait vraiment pas, malheureusement il y eut bien plus de personnes manipulables, privées de capacités cognitives ou intellectuelles, ou bien serviles ou bien de mèche, et ces dernières appelèrent les éveillés des complotistes, après que l’on ait mis en place les jalons politiques de la lutte contre le complotisme. Une propagande sans précédent a ainsi conditionné les Français à se faire « vacciner », elle fut mise en œuvre avec la prise en otage de la liberté de circuler librement, et des sommes astronomiques jetées dans des tests PCR à plus de 35 cycles qui multiplient les malades comme Jésus multipliait les pains, avec les chiens de garde de la Presse dans le rôle répugnant des âmes soudoyées pour distiller la peur sur les ondes. Finalement, pour une épidémie qui en France n’aura jamais atteint le seuil épidémique du réseau Sentinelles de 175 cas sur 100.000 habitants, on aura interdit les traitements précoces, comme l’hydroxychloroquine sur laquelle on a fantasmé une dangerosité en se basant sur des études crapuleuse ou biaisées, on a surtout interdit aux médecins de soigner leurs malades, supprimé 8.000 lits supplémentaires, on a gaspillé l’argent de la Sécurité sociale dans des tests détournés de leur objet, mais sans jamais soigner de manière précoce, de surcroît en invitant à la délation. Confinement, couvre-feu, et délation auraient dû ramener à la raison un plus grand nombre, mais ce n’est pas le cas. Pour une maladie qui a une mortalité de 0,03 %, et dont la moyenne d’âge des décès est de 84 ans, dépassant ainsi l’espérance de vie, on n’injecte pas à toute une population, notamment les enfants qui sont naturellement épargnés, des produits qui ne sont pas des vaccins, mais une thérapie génique dont des professeurs émérites affirment qu’elle produit les nouveaux variants, et comme le rappelle très justement Jean-Dominique Michel : « On ne vaccine pas une population entière pour un virus dont la mortalité est de 0,03 % à l’échelle mondiale ! On ne vaccine enfin pas avec un produit aux effets inconnus et imprévisibles à moyen et long terme ». Si on le fait malgré tout, comme avec le port du masque et les confinements qui ne servent à rien, le Rivotril dans les Ehpad et le Remdesivir mutagène, aussi l’interdiction de soigner quand il le faut, c’est que l’on a quitté le plan de la médecine et le cadre de la démocratique, c’est comme le dit Me Reiner Fulmich que nous sommes confrontés au plus grand crime contre l’Humanité de toute l’Histoire humaine, sans qu’il soit nécessaire de se poser la question de fond de la finalité de cette monstrueuse manipulation, une finalité qui ne peut être qu’abominable, tout du moins qui ne nous veut aucun bien.

Répondre
1. Georges-Dominique dit :
  
  8 juin 2021 à 14 h 59 min
  
  « le cadre de la démocratie »
  
  Répondre
2. Atrax dit :
  
  8 juin 2021 à 19 h 11 min
  
  Il suffisait d’écouter le psychopathe en chef quand il a dit en avril 2020 « La bête de l’évènement arrive… Elle est là… Plus rien ne sera comme avant » pour comprendre qu’il allait se passer quelque chose de très anormal et que c’était programmé. Il n’y a que ceux qui courent se faire tester et piquer à l’abri de leur muselière qui n’ont toujours pas compris. Ce qu’on peut se demander est de quelle manière lui et sa clique de malades mentaux vont payer, rien que pour le bâillonnement de nos enfants. Cher ? Ou vont-ils réussir à filer à travers les mailles du filet comme leurs prédécesseurs ?
  
  Répondre
  1. Claudi dit :
    
    8 juin 2021 à 20 h 09 min
    
    Lui aussi est programmé en vue de l’événement de la bête…
    
    Répondre

Laisser un commentaire Annuler la réponse