La guerre dogmatique
Par WD
Depuis et grâce à la guerre des Boers, nous avons appris deux choses. La première, c’est que la presse a un énorme pouvoir d’influence sur les consciences populaires . La deuxième, c’est que tous les organes de la presse sont dans les mains de l’oligarchie. Même le journal Humanité de Jaurès n’échappa à la mainmise des puissances de l’argent (1) sur son organe de presse . De nos jours, ce pouvoir ascendant sur les esprits s’est répliqué dans d’autres supports liés à l’évolution technologique. La radio, la télévision et internet reprennent en entier le constat cité plus haut, soit le duo doctrine/argent .
Le pouvoir idéologique des forces de l’argent s’est étendu dans les institutions internationales et les ONG. Une ONG libre et indépendante n’existe pas. Citons un seul cas, compte tenu du sujet qui nous occupe , celui de Reporters sans frontière (RSF) . Son financement provient de mécènes comme Sanofi, Benetton, CFAO et de subventions publiques. Au regard des déclarations de RSF, qui se félicite de la fermeture de RT France et de Sputnik tout en déplorant le musellement de France 24 en Afrique, on comprend bien que la liberté intellectuelle n’est pas dans son registre. Une fois de plus, la Charte de Munich est bafouée. Par cette contradiction, on voit pour qui ils roulent. Les déclarations et positionnements de l’ancien RSF Ménard qui virevolte constamment, donne le ton du peu de probité de l’ensemble de cette communauté professionnelle qui finalement désinforme, perverti la vérité, enfume leur auditoire .
L’ informel droit inquisitorial s’est magistralement révélé lors de la crise sanitaire. Toute la production mainstream a inoculé des poisons subjectifs dans le cerveau immature des populations. Les manipulations Covidistes ont démontré l’extraordinaire mauvaise foi de tous les médias occidentaux et leur manque de sérieux . Elles continuent son formatage dans l’affaire Ukrainienne avec le grand concours de tous les Gamelins que contient ce pays. L’ultracrépidarianisme ambiant nous donne le vertige.
Pour obtenir l’endoctrinement, le système diffuse partout en continu sa propagande et en même temps, il fait taire les avis dissonants, réfractaires et dissidents. Il invisibilise ces voix opposantes par l’ostracisme . Internet est le plus grand champion de la nouvelle inquisition via les réseaux sociaux. Qui n’a pas été frappé d’hérésie par la bande de Stanford (FB, TW, YT…) n’est qu’un mouton ou un perroquet bien docile.
Le contenu des mainstreams intoxique les esprits. La production journalistique officielle renie complètement la Charte de Munich. Mais qui se soucis de la probité dans ce monde corrompu ? Les droits de l’homme, le droit international, la Charte de l’ONU sont outragés tous les jours, mais aucune conscience constitutionnelle ne s’alarme ni ne s’offusque de ces viols juridiques. En connexe, la morale est jetée aux orties. C’est dire la profondeur de la déliquescence sociétale que nous avons.
Face à la contre-offensive des réfractaires qui œuvrent presque exclusivement sur Internet, il est apparu dans les agences informatives certifiées , les rubriques « vrai ou fake » pour tenter de récupérer et mettre sur le bon chemin les égarés, les septiques, les curieux, les objectifs .
Le tout petit dernier propagandiste est NewsGuard dont le slogan est « étiquette nutritionnelle ». Tout un programme. Cette grosse flatulence fut crée par des anciens de la CIA (2). Vous avez compris le coup. Ils ont embauché une pléthore de soumis et de prédicateurs . La branche Française est financée par Publicis et autres acteurs oligarchiques . Une de ses missions est de tordre des sites avec une méthode type Simonie. En effet, il cherche à travailler avec les sites qu’il a noté comme peu fiables, pour les conseiller sur la manière de se conformer à ses critères. En un mot, faire renier leur contenu et les plonger dans le fleuve de la désinformation.
Dans l’état actuel des choses, la guerre de l’influence n’est pas prête de s’arrêter. Il en y va même de la survie de la catéchèse des puissances de l’argent. Un peuple conscient des réalités du monde et libre d’esprit ne peut être soumis. Un peuple qui refuse les sornettes officielles est un danger pour les grands de ce monde. D’où l’importance pour nous de jeter sa télévision, mais aussi sa radio. Il faut fuir la production des sites authentifiés mainstreams sur internet. En un mot, il faut censurer les censeurs, les donneurs de leçon officiels pour retrouver son libre jugement, son libre-arbitre, sa libre pensée. L’enjeu n’est pas pour soi, mais pour l’avenir de nos enfants. La plus noire dystopie se met en place sous nos yeux. Elle est impulsée par les puissance s de l’argent via leurs valets médiatiques. La vision Orwellienne n’était qu’un prélude, une mise en bouche.
Tout l’enjeu de cette guerre d’influence est là. C’est une lutte pour rester libre et ne pas devenir esclave au service des Davosiens. C’est la volonté de vivre dans la multipolarité du monde et refuser d’être un ilote dominé par l’hyperclasse Attalienne.
1)- Voir « Les jaunes de France et la question ouvrière » de Pierre Biétry page 109.
Source : WD
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