La Chine lance des exercices de tir réel au large de Taïwan avec le groupe de porte-avions américain à proximité, alors que l’avion de Pelosi est en route pour l’Asie.
Une autre épreuve de force qui ne présage rien de bon.
Que vient faire la « momie parcheminée » (82 ans) dans cette galère à part asticoter l’Empire du Milieu ?
par Tyler Durden
Dimanche 31 juillet 2022 – 12:54 PM
Selon les commentaires antérieurs du président Biden, le Pentagone veut que la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi annule sa visite à Taïwan – mais maintenant, en attendant son éventuelle arrivée à Taipei, l’armée américaine a déplacé un groupe d’attaque de la Marine dans la mer de Chine méridionale, dirigé par le porte-avions USS Ronald Reagan.
L’USS Reagan a quitté son port d’escale de Singapour pour patrouiller dans les eaux proches de la Chine. Pékin a renforcé sa puissance militaire en lançant de nouveaux exercices navals près de l’île autonome et, plus inquiétant encore, en menaçant l’armée de l’APL de prendre des « mesures énergiques » si nécessaire. Samedi, le média turc EHA a fait circuler une vidéo (non vérifiée) montrant une formation d’avions de guerre américains survolant la mer de Chine méridionale, avec des destroyers en dessous…
On s’attend à ce que, si elle se rend à Taïwan, Mme Pelosi monte à un moment donné en Asie à bord d’un avion de transport militaire, probablement escorté par un avion de chasse américain. C’est cette possibilité qui a rendu Pékin furieux.
Les médias d’État chinois, par exemple, ont lancé des avertissements retentissants, affirmant que l’armée de l’APL aurait le « droit » d’intercepter et de dissuader toute escorte de jet armé, estimant que cela s’apparente à une « invasion » et à une violation de la souveraineté de la Chine.
It’s expected that if she goes through with the Taiwan visit, Pelosi would at some point in Asia board a military transport plane – likely with US fighter jet escort. This possibility is what has infuriated Beijing.
Chinese state media, for example, has been issuing loud warnings saying the PLA military would have the « right » to intercept and deter any armed jet escort, deeming this akin to an « invasion » and violation of China’s sovereignty.
Les responsables du ministère chinois des affaires étrangères continuent d’avertir que « toutes les options, y compris les options militaires » sont sur la table, étant donné que Pékin interprète la visite potentielle de Mme Pelosi comme un signal fort adressé aux forces indépendantistes, ainsi que comme une « ingérence » et une violation du principe d’une seule Chine.
Pékin prévient également que la visite de la présidente de la Chambre des représentants sur l’île, qui serait une première en 25 ans, ne ferait que renforcer le potentiel de « malentendus » et d’erreurs de calcul.
Comme CNN l’a annoncé en avant-première, la marine de l’Armée populaire de libération (APL) de la Chine organise des exercices de « tir réel » dans les eaux au large de Taïwan, faisant ainsi monter les enchères :
La Chine prévoit d'effectuer des exercices à balles réelles samedi dans les eaux proches de l'île de Pingtan, dans la province de Fujian, qui se trouve en face de l'île autonome de Taïwan.
L'administration de la sécurité maritime de Pingtan a émis un avertissement de navigation concernant ces exercices jeudi soir, heure locale, interdisant à tous les navires de pénétrer dans les eaux proches de l'île et de la province de Fujian (sud-est). Elle a précisé que les "missions d'entraînement au tir réel" auraient lieu de 8 heures à 21 heures.
Alors que Pelosi s’envole pour la région, les armées américaine et chinoise sont engagées dans des manœuvres rivales dans les mers en dessous…
Lorsque le groupe d’attaque de l’USS Reagan est entré dans la mer de Chine méridionale, de nombreux rapports indiquent que des destroyers chinois ont commencé à le suivre de près, reflétant et surveillant les mouvements de la marine américaine dans les eaux.
Des experts chinois et d’autres ont récemment fait circuler des mèmes sur l’archiduc François-Ferdinand, suggérant que si quelque chose se passe mal, ce voyage provocateur pourrait être l’élément déclencheur de la prochaine guerre mondiale qui opposera les superpuissances nucléaires que sont la Chine et les États-Unis (et peut-être aussi la Russie, compte tenu de la guerre en Ukraine et de l’impasse entre Moscou et Washington en Europe de l’Est).
Alors que les médias américains avaient indiqué que la visite de Mme Pelosi à Taïwan aurait lieu « le mois prochain », c’est-à-dire en août, il est tout à fait possible que Mme Pelosi rencontre soudainement la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen dès le dimanche 31 juillet, voire lundi ou mardi.
Entre-temps, le Global Times, journal d’État chinois, a affiché un message inquiétant : « Ne dites pas que nous ne vous avons pas prévenus ! » alors que Pelosi se dirige vers l’Asie…
D’autres signes inquiétants…
Cela s’explique également par le fait que les comptes officiels de médias sociaux de l’armée de l’APL ont également promu des messages de « préparation à la guerre », également repris par la presse internationale.
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Source : zerohedge.com
La Chine abattra l’avion avec la présidente de la Chambre des représentants si elle se pose à Taïwan
C’est parti ! Taïwan a fait décoller des avions de chasse de la base aérienne de Chiayi, et la Chine déplace des MLRS PHL-16 vers une province située à seulement 180 km de Taïwan…
Source : Reseau International
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