La base de données européenne des rapports d’effets indésirables indique que le vaccin Pfizer pourrait avoir causé 438 décès à ce jour en Europe
La base de données Eudravigilance permet de faire des recherches sur les effets secondaires suite aux vaccinations pour les deux vaccins actuellement autorisés en Europe. Celui de Pfizer depuis le 21 décembre 2020 et celui de Moderna depuis le 6 janvier 2021. Nous allons nous intéresser plus particulièrement au vaccin de Pfizer qui a déjà été largement utilisé sur le continent.
Avec un plus d’un mois de recul, on commence à avoir un aperçu des effets secondaires de ce vaccin. Au 23 janvier, 16 479 personnes ont déclaré des effets secondaires. Première chose, qui frappe lorsque l’on commence les recherches est que cela concerne principalement les 18-64 ans (+ de 80%). 1089 personnes entre 65-85 (6,6%) et 818 chez les plus de 85 ans (5%).
« James rapporte qu’en 2020, très peu de résidents de la maison de soins infirmiers où il travaille sont tombés malades du COVID, et aucun d’entre eux n’est décédé pendant toute l’année 2020.
Cependant, peu de temps après avoir administré les injections expérimentales d’ARNm de Pfizer, 14 sont décédés dans les deux semaines, et il rapporte que de nombreux autres sont sur le point de mourir.
Il précise très clairement qu’il s’agissait de patients qu’il connaissait et qu’il soignait (il est aussi un «pasteur laïc»), et qu’après avoir reçu une injection d’ARNm, les résidents qui avaient l’habitude de marcher seuls ne peuvent plus marcher. Les résidents qui avaient l’habitude d’avoir une conversation intelligente avec lui ne pouvaient plus parler.
Et maintenant, ils meurent. « Ils tombent comme des mouches ».
Le système VAERS du CDC qui permet d’accéder librement à la base de données des effets indésirables indique que 181 personnes sont décédées dans les jours qui suivent la vaccination dont 44 le jour même et 40 le jour suivant (29 supplémentaires au bout de 2 jours). Donc 113 personnes sont décédés dans les 48H suivant la vaccination. À noter que les décès ne concernent pas que des personnes âgées. Ce rapport rapporte le cas d’un bébé mort né. Deux jours après la vaccination, le bébé bougeait moins et au troisième jour, il était en arrêt cardiaque.
Contrairement au site européen, il est possible de faire des recherches précises avec des informations sur chaque décès. On constate par exemple que certaines personnes sont mortes moins de 2H après l’injection :
Ou que d’autres développent une détresse respiratoire (entraînant la mort) dans les 24H comme dans la base de données européenne.
De tels chiffres ne plaident clairement pas en faveur d’une généralisation de la vaccination contre le COVID, en particulier pour les moins de 65 ans qui semblent plus touchés par les effets secondaires.
Une généralisation de la complémentation en vitamine C et vitamine D en prévention et l’utilisation d’ivermectine et d’artemisia (en curatif) seraient des mesures bien plus cohérentes pour faire reculer l’épidémie et surtout celle-ci ne risquent pas de nuire aux personnes en bonne santé contrairement à ce vaccin expérimental.
source : https://www.fawkes-news.com/
Source : Reseau International
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