Joyeux Lucifersaire Jean-Brichel !
« Nous sommes face à une pieuvre hallucinante. »
Point de situation du 11 février 2025 sur le feuilleton de Candace Owens Becoming Brigitte.
lundi 10 février 2025, par Lionel Labosse
J’ai abandonné depuis belle lurette ma Chronique du #brigittegate, intégrée désormais à mon Journal de la chute & décadence du national-covidisme. Vu les événements qui se précipitent actuellement, j’estime nécessaire d’extraire & développer ces considérations dudit Journal. Comme le dit David Pliquet dans son excellente intervention sur GPTV (ci-dessous) : « Nous sommes face à une pieuvre hallucinante. » Je dirais même plus : preuve & pieuvre ! Alors, ne nous laissons pas abuser par les détournements d’attention & le damage control.
Je préfère prévenir les habituels casse-bombons qui ne lisent pas les articles mais se contentent de vomir leur venin dans les commentaires : je vais me livrer ci-dessous, en criminel de guerre nazi que je suis, à l’apologie de Trump, de la pédophilie & du poutinisme aggravé. Alors si vous n’aimez pas ça, il y a d’excellents préservatifs en papier de verre, idéal pour soigner les hémorroïdes, donc munissez-vous-en et allez vous faire empapaouter chez qui vous voulez.
Pour les autres, eh bien, en accord avec Profession Gendarme, faisons de ce 11 février 2025 un jour spécial, pour fêter en fanfare un Joyeux Lucifersaire à notre Jean-Michel (ou Jean-Brichel) national ! Nous lui dédions cette émouvante chanson :

Gide, Tournier, Matzneff : haro sur les pédos
Quitte à mériter la crucifixion, je vais aborder d’emblée le point que Candace a aussi abordé d’emblée, pour une mise au point qui va inévitablement me faire mériter la lapidation par les braves gens qui souvent n’ont pas peur de se dire chrétiens. La charité chrétienne n’a-t-elle pas toujours consisté à jeter la première pierre ?
À l’occasion de la diffusion le 31 janvier de l’introduction (numéro 0) de la série de Candace Owens sur notre affaire, je suis revenu brièvement sur cette chronique, pour boucler la boucle. Dire que j’ai failli ne pas écouter l’émission, à cause de tous les écervelés consommateurs qui se proclament déçus ! Dire qu’on la qualifie de « youtubeuse » ! Candace établit juste la fondation de la maison exactement comme je l’ai fait, bien avant la publication du dossier F&D ! Alors là, je suis soufflé. Candace évoque longuement André Gide (qu’elle prononce « Guide », ce qui est amusant) et sa pédophilie. Elle semble avoir lu mon vieil article de mise au point sur Gide (à propos de son livre Le Ramier), qui date de 2016. Peu de Français sont conscients de la pédophilie de Gide ; mais si pédophilie il y a, encore faut-il la resituer dans son contexte, pour éviter la « cancel culture » qui consisterait à abattre les statues du grand homme. Candace commet quand même des erreurs, comme prétendre que Gide a obtenu le Prix Nobel à titre posthume, alors qu’il l’a eu en 1947, 4 ans avant sa mort.
Puis elle revient longuement sur l’affaire Duhamel. Le 30 janvier 2021, donc 9 mois avant le dossier F&D, j’avais écrit « Affaire Olivier Duhamel : ne pourrait-on pas laver son lynchage en famille ? », dans lequel j’établissais un parallèle Duhamel / Brigitte. Cet article avait causé mon éviction de France-Soir. Azalbert avait, et pour cause, peur des rétorsions. Il a attendu janvier 2025 pour oser publier un article de fond sur l’affaire (« Brigitte vs Jean-Michel : Man or Woman of the year ? »), soit 4 ans presque jour pour jour après ! Cela ne l’a pas empêché de subir une persécution macroniste. Est-ce que ç’aurait été pire s’il avait publié mon article, puis mes articles brigittologiques, au lieu de Profession Gendarme ? Depuis quelques semaines, les brigittologues de la 11e heure sortent du bois à pas feutrés. L’immense & modeste souverainiste « Ph D x3 Idriss J. Aberkane » a courageusement attendu le 1er février pour découvrir grâce aux États-Unis l’existence d’un dossier brûlant qu’il a obstinément ignoré quand c’étaient de minables Français qui enquêtaient ! Il n’est bon bec que de Candace !
Toute la sphère complotiste est donc en train de s’exciter sur André Gide, suite aux propos de Candace. J’ai donc ajouté un paragraphe à la fin d’un ancien article, que je reprends ici ; et d’ailleurs j’ai évoqué ce point sur Tribune Libre et sur GPTV (ci-dessous).
Sur le point précis de l’âge de consentement, une mise au point s’impose. En mars 2021, le Garde des Sceaux Dupont-Moretti (Ducon-Maserati pour les intimes) a imposé une « Clause Roméo et Juliette », instaurant un écart d’âge de 5 ans pour le consentement d’un mineur de moins de 15 ans, ce qui revient à le fixer à 13 ans si l’autre personne est âgée de 18 ans. 13 ans, c’est revenir à l’état des choses avant l’ordonnance du 2 juillet 1945.
Selon cet article de Dalloz, avant 1832, aucun âge de consentement n’était prévu par la loi, en dehors de l’âge du mariage (dix-huit ans pour les hommes et quinze ans pour les femmes, jusqu’en 2006 où cet âge a été égalisé à 18 ans pour les deux sexes). En 1832, l’âge de consentement est fixé à 11 ans ; en 1863, il est relevé à 13 ans, et ce jusqu’à 1945. Ce n’est qu’en 1942 (6 août 1942) qu’une distinction est faite entre consentement homo et hétérosexuel. Une question anthropologique – à laquelle je n’ai pas de réponse – se pose : comment se fait-il que l’âge de consentement augmente, alors que l’âge de la puberté est en recul ?
Anthropologiquement parlant, vu ces variations de l’âge de consentement, et s’il ne s’agit que de cela précisément, je dirai que cette « Clause Roméo et Juliette » se discute. Quand je vois les jeunes de 18 ans, certains ont vraiment des têtes de bébés ; faut-il jeter en prison un gamin de juste 18 ans parce qu’il a joué à touche-pipi avec une lolita de 14 ans consentante ? Surtout qu’il y a peu de chances qu’ils soient au courant de la notion d’âge de consentement. En tout cas, c’est au juge de démêler la situation et de vérifier s’il y a bien eu consentement, et absence de perversité chez le plus âgé des deux. C’est d’ailleurs là une contradiction de nos amis complotistes, quand ils traitent de l’éducation sexuelle. Certes, je suis le premier à dire qu’elle a été dévoyée ; mais aussi qu’il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Me Guyon a rappelé pendant notre émission que la plupart des actes pédophiles avaient lieu au sein de la famille. Dans ces conditions, prétendre que c’est aux parents seuls, et non à l’école, de se charger de l’éducation sexuelle, c’est livrer un grand nombre d’enfants sans défense à des parents violeurs. Il convient de trouver le juste milieu.
Voici un extrait significatif de Roméo et Juliette de Shakespeare, dont l’action est censée se dérouler en Italie au XIVe siècle, pays dont les mœurs étaient considérées plus libres qu’en Angleterre :
« LA NOURRICE. — Ma foi, je puis dire son âge à une heure près.
MADONNA CAPULET. — Elle n’a pas quatorze ans.
LA NOURRICE. — J’engagerais quatorze de mes dents, — et cependant, pour le dire à mon regret, je n’en ai que quatre, — qu’elle n’a pas quatorze ans : combien y a-t-il de temps d’aujourd’hui à la Saint-Pierre-aux-Liens ?
MADONNA CAPULET. — Une quinzaine et quelques jours.
LA NOURRICE. — Soit plus, soit moins, vienne la Saint-Pierre-aux-Liens, le soir de ce jour elle aura juste quatorze ans. »
Ajoutons que comme l’action de la pièce est censée se dérouler sur une poignée de jours, Juliette n’a toujours que 13 ans quand le mariage est consommé et qu’elle meurt sur le cadavre de son séducteur, âgé quant à lui de 15 à 21 ans, on ne sait pas trop. Ce n’est qu’une fiction, mais peut-être la fiction la plus célèbre de l’histoire. Les millions de spectateurs qui pleurent sur Roméo et sur Juliette depuis des siècles ont-ils réellement l’impression de cautionner une apologie de la pédophilie ?
Il convient donc de resituer les choses dans leur contexte, et de ne pas juger les faits du passé avec les lunettes du présent. Quand André Gide consommait des garçons de 13 ans en Algérie (comme le ferait bien plus tard Frédéric Mitterrand en Thaïlande (je ne suis pas sûr pour l’âge précis)), était-il en infraction avec la loi française de l’époque ? J’ai bien peur que non, et je rappelle que le roi Louis XV se faisait livrer de très jeunes filles, comme l’a raconté Casanova en un cas dont il fut témoin. Il n’y avait là, qu’on le veuille ou non, sans doute rien d’illégal en cette époque révolue ; enfin l’éclairage d’un historien du droit serait bienvenu. Un principe de la justice est la non rétroactivité des lois. Alors à quoi cela sert-il, pour les gens qui n’ont pas lu une ligne de Gide de leur vie, à le réduire à « c’est un pédophile ». Relisez mes articles sur Gide où justement, à l’occasion de la mise au programme de son roman phare Les Faux-Monnayeurs, j’ai travaillé avec l’équipe de Lettres volées pour rappeler ce point négligé, et m’étonner de ce choix en Terminale L.
Mais (j’adore le « mais » de Voltaire, – « Mais il faut cultiver notre jardin » – mais qui parmi les imprécateurs qui pullulent en notre modernité, résistance ou pas résistance, connaît encore la force du mot « mais » ?) Gide fut aussi l’auteur de Voyage au Congo en 1927, qui dénonçait les tares du colonialisme, et de Retour de l’U.R.S.S. en 1936. Il s’était rendu en URSS à cette époque où tous les intellectuels étaient à genoux devant le communisme, il a prononcé un éloge funèbre aux obsèques de Gorki, mais il fut un des rares à cette époque, à ne pas fermer les yeux, et à faire part de son désaccord à son retour. Cela devrait quand même compenser, aux yeux de nos amis résistants, sa pédophilie, qui est réelle encore une fois, mais qui à l’époque, n’était pas illégale (du moins au-dessus de 13 ans). Le mot « éphébophilie » permettait d’ailleurs un distinguo entre enfants de 8 ans et de 13 ans. Je préfère ne pas entrer dans ces considérations sordides. Un détail : Candace a prononcé « Gide » avec un g dur, comme « Guide ». D’innombrables commentateurs, qui n’ont pas lu une ligne de Gide, se ridiculisent en reprenant cette prononciation. Gide est devenu le Guide suprême des imprécateurs de la pédophilie, ce qui risque de leur faire rater les vraies cibles ! Et les vraies cibles, ce sont les nôtres.

L’extrait vidéo ci-dessus prouve que dès 2018, nos amis journalistes connaissaient parfaitement l’âge de 14 ans. Pourquoi se sont-ils tus depuis, et continuent-ils si obstinément à se taire ?
Bouc émissaire & Agneau de Dieu
Cet acharnement hors de proportion sur des livres datant d’une autre époque (Gide & Tournier) me pousse à relire mon article sur Le Bouc émissaire de René Girard. Je devrais en tirer un article à part, mais aurai-je le temps ? Esquissons la réflexion ici. Quand j’étais petit, on m’avait offert un cadre avec mon prénom qui disait que les Lionel étaient doués dans le domaine littéraire je crois, défenseurs des faibles, etc. J’ai ce réflexe, quand on attaque quelqu’un, surtout en meute, à prendre sa défense, même s’il est indéfendable. Miracle, un abonné à mon fil Telegram a retrouvé la carte postale. Voici le texte entier : « Nom d’origine hébraïque. Signifie « Lion ». Les Lionel sont attachés à la vérité et à la justice, défenseurs des faibles. Ils sont doués dans le domaine littéraire. Ce sont des réformateurs-nés dans le social. » Ma mémoire avait plutôt bien enregistré… Qu’on me pardonne cette digression nombriliste, mais le même abonné a dégotté une autre carte postale plus verbeuse, dont j’extrais ceci : « Ils sont tenaces au labeur et font preuve d’une énergie et d’un courage peu communs… […] Ce sont des êtres pour qui l’organisation et la discipline vont de pair. Ils sont assistés en cela par une sorte de volonté qui les rend quasiment inébranlables… On a pour exemple l’alpiniste Lionel Terray » Eh bien j’en suis baba, car c’est effectivement à ce Terray que je dois mon prénom (voir cet article) !

Je l’ai fait dans mon article sur l’affaire Duhamel (ci-dessus), en négligeant un détail que j’ai appris subséquemment, que le type était vraiment mouillé jusqu’au cou dans les réseaux pédos de l’Élysée. Je l’avais fait jadis à propos de Roman Polanski, avec cet article. J’ai un souvenir cuisant de l’émission de GPTV du 21 octobre 2024 sur l’affaire P. Diddy. J’avais eu le malheur de prendre la défense de Polanski, et je m’étais retrouvé face à une attaque en meute, de la part des 3 personnes présentes autour du plateau, qui sans doute n’avaient pas plus vu un film de Polanski que Candace n’a lu une ligne de Gide ou de Tournier. « Comment peut-on apprécier Polanski, cet horrible violeur en série ? »
Je suis désolé, mais je mets ce type de réflexe pavlovien conditionné dans le même sac que tous ceux qui font la moue quand on nomme le Pr Raoult, et le traitent de charlatan sans l’avoir jamais ni lu ni rien écouté de lui. En gros, « on » vous désigne un bouc émissaire, et sans le connaître, vous êtes prêt à le sacrifier sans autre forme de procès, parce que vous avez vaguement entendu dire qu’il le méritait. C’est l’expérience de Milgram. Bref, d’une part j’ai dit à Mike que je ne voulais plus jamais me retrouver avec ces 3 personnes, d’autre part, je lui ai suggéré d’inviter Polanski. Non seulement il lui donnerait l’occasion de se justifier, mais il ferait une émission historique, qui serait encore regardée dans 20 ans…
L’épisode 3 de Candace commence par un long ressassement des épisodes précédents. Il est pénible d’entendre une journaliste parler trop longuement de livres qu’elle n’a jamais ouverts, voire dont elle est incapable de prononcer le titre exact. Le Roi des Aulnes de Michel Tournier est un beau roman, et si on le lit trop jeune – ce qui doit arriver rarement – il est impossible de comprendre quoi que ce soit aux allusions très intellectuelles à un sous-texte homosexuel, et pédophile, oui, je le répète, oui, pédophile, mais fort discret. En tout cas absolument rien qui puisse choquer un adolescent surtout lors de sa parution en 1970, dans la foulée de mai 1968.
Maintenant, oui, bien sûr, l’époque a changé ! Tournier était un grand romancier, auteur de Vendredi ou les limbes du Pacifique, son premier roman, qu’il adapta pour la jeunesse sous le titre Vendredi ou la Vie sauvage ; un livre dont je garde un excellent souvenir, et qu’il serait aussi idiot de retirer des collèges au nom de la « Cancel culture » qu’il est idiot d’interdire les livres de Tolstoï ou de changer le titre des Dix petits Nègres !
Candace a lu la seule phrase clairement pédo du livre, qu’elle a recopiée de l’article de Wikipédia. Réduire un livre de 500 pages à une phrase… Mais ce livre a obtenu le prix Goncourt, ce qui devrait nous rappeler, qu’on le veuille ou non, qu’à cette époque, époque délirante de Woodstock et du LSD, ces outrances pédo étaient noyées dans un flot d’outrances de toutes sortes. Donc il serait bon de relativiser la présence de ce livre sur la photo du présiroi. Il est fort possible, je le concède, qu’il s’agisse de la part de ce psychopathe d’une allusion subliminale à la pédophilie, bien sûr, surtout en 2017 où ces livres étaient vraiment passés de mode (Gide n’est pas du tout mon auteur de prédilection, son style est trop ampoulé pour moi, je ne le lis que par obligation professionnelle) ; mais ne tombons pas dans la condamnation rétrospective d’un écrivain qui vaut bien mieux que ça.
Je tiens à clouer mes arguments : je ne suis PAS DU TOUT un défenseur des pédos, bien au contraire ! Je dis juste que les pédos que nous avons à combattre en priorité, sans gaspiller notre énergie (cela relève du « damage control ») sur des pauvres types pitoyables, ce ne sont pas des écrivains du passé, voire des vieillards qui se livrèrent dans ce même contexte délirant des années 68 à ces mêmes folies, mais ceux qui sont au pouvoir et que dénonce Xavier Poussard dans sa série sur la sexualité en macronie, les Borello, Jack Lang, etc., qui sont un véritable cancer pour la France que nous aimerions aimer. C’est une habitude du pouvoir d’opérer régulièrement de très médiatiques coups de filet d’une centaine de minables collectionneurs de photos pornos, tout en étouffant les affaires les plus gênantes, comme celle du petit Jérémie Ladreit de Lacharrière, et en balayant l’affaire Epstein d’un « fake news » par les putains de l’anti-conspi. N’ayez crainte que pour créer un contre-feu, le détourneur et le détourné n’hésiteront pas un instant à ordonner des actions symboliques du type Abbé Pierre à l’encontre de la mémoire de Gide & Tournier. Ces actions seront applaudies par la sorosphère à la neuneusphère réunies.

Maintenant je généralise et reviens au Bouc émissaire de René Girard. Je ne suis pas croyant, mais ayant eu une éducation catholique basique, je suis capable de m’intéresser au symbole du sacrifice christique, la Crucifixion, et je conserve en moi l’image du Christ , aussi naïvement que Guillaume Apollinaire dans « Zone » :
« Seul en Europe tu n’es pas antique ô Christianisme
L’Européen le plus moderne c’est vous Pape Pie X
Et toi que les fenêtres observent la honte te retient
D’entrer dans une église et de t’y confesser ce matin » […]
« C’est le Christ qui monte au ciel mieux que les aviateurs
Il détient le record du monde pour la hauteur »
Même Me David Guyon – que j’ai beaucoup apprécié dans l’émission de GPTV de mardi dernier, car il est un des rares invités à ne pas couper la parole et à écouter les autres – n’a pas pu s’empêcher de déclarer « je militerais pour que ce type de crimes soit imprescriptible ». Or je suis désolé, mais on ne peut pas mettre sur le même plan un pauvre type, aussi sordide et dégueulasse soit-il, qui viole ses propres enfants, et un génocidaire. Où est l’échelle des peines, qui est le principe n°1 de la justice, établi par Cesare Beccaria en 1764 dans Des délits et des peines ? Les dégâts causés par ces individus sont irréversibles, certes, mais est-ce sur eux que la justice doit dilapider son énergie à ce point ? Pour généraliser, je suis fatigué de ces gens qui pour la plupart se réclament du christianisme, et jouent les justiciers de basse-cour en aboyant des mots d’ordre du type « Ni oubli ni pardon » ou « Qu’ils crèvent tous », façon SarkoLouis. Je rappelle ma citation favorite de Nietzsche (à retrouver dans cet article) :
« et je ne puis les souffrir non plus, ces nouveaux spéculateurs en idéalisme, ces antisémites qui aujourd’hui prennent de grands airs de chrétiens, d’ariens et de braves gens, et par un abus exaspérant du truc d’agitateur le plus banal, je veux dire la pose morale, cherchent à soulever tout l’élément « bête à cornes » de leur peuple. […] combien de paires d’échasses pour « noble indignation » à l’usage des pieds plats intellectuels, combien de comédiens de l’idéal chrétien et moral devraient être exportés d’Europe pour que l’air y fût quelque peu assaini… »
En ce qui concerne le pardon, je rappelle aussi la distinction de Camus dans ce texte phare « Le temps du mépris », éditorial pour Combat (30 août 1944) :
« Qui oserait parler ici de pardon ? Puisque l’esprit a enfin compris qu’il ne pouvait vaincre l’épée que par l’épée, puisqu’il a pris les armes et atteint la victoire, qui voudrait lui demander d’oublier ? Ce n’est pas la haine qui parlera demain, mais la justice elle-même, fondée sur la mémoire. Et c’est de la justice la plus éternelle et la plus sacrée, que de pardonner peut-être pour tous ceux d’entre nous qui sont morts sans avoir parlé, avec la paix supérieure d’un cœur qui n’a jamais trahi, mais de frapper terriblement pour les plus courageux d’entre nous dont on a fait des lâches en dégradant leur âme, et qui sont morts désespérés, emportant dans un cœur pour toujours ravagé leur haine des autres et leur mépris d’eux-mêmes. »
Camus est d’ailleurs revenu sur cette déclaration. La Loi du Talion n’est pas une loi d’inflexibilité vengeresse, mais plutôt de modération dans la vengeance, avec l’interdiction de prendre plus que ce qui a été ôté, et le conseil d’accepter une transaction plutôt que d’exiger un mort pour un mort (c’est dans l’étymologie « talis », tel, du mot). La leçon de Jésus de « tendre l’autre joue » en est l’illustration extrême. Les juifs israéliens génocidaires préfèrent au talion la référence du livre d’Esaïe, 14-22 (« Disposez pour ses fils une tuerie pour le crime de leurs pères, de peur qu’ils ne se relèvent, et ne conquièrent la terre, et ne couvrent de cités la face du monde ! ») Les résistants de la 11e heure, qui n’ont jamais rien fait de concret excepté fulminer devant leurs écrans, et qui en appellent au meurtre ou psalmodient le mantra très-chrétien « Ni oubli ni pardon », sont plus juifs que chrétiens, et me font penser à la phrase choquante de Marguerite Duras dans L’Amant : « Collaborateurs, les Fernandez. Et moi, deux ans après la guerre, membre du P. C. F. L’équivalence est absolue, définitive. C’est la même chose, la même pitié, le même appel au secours, la même débilité du jugement, la même superstition disons, qui consiste à croire à la solution politique du problème personnel ». Remplacez « Collaborateurs » par « covidistes » et « membre du P. C. F. » par « Résistants » au sens actuel que nous lui donnons dans nos réseaux auto-glorificateurs.
Agnus Dei (latin) ♱ Lamb of God
par MilitiaeChristianae
Revenons à nos agneaux. Je ne suis pas croyant (je me répète !), mais je me rappelle que pour les chrétiens, comme le résume Wikipédia, « Jésus-Christ est « l’agneau de Dieu » sacrifié lors de la crucifixion et qui enlève les péchés du monde par sa mort et sa résurrection. » Voici la prière de l’Agnus Dei : « Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, parce nobis. Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, exaudi nos. Agnus Dei, qui tollis peccata mundi, miserere nobis » (« Agneau de Dieu, qui enlèves les péchés du monde, épargne-nous ; Agneau de Dieu, qui enlèves les péchés du monde, entends-nous ; Agneau de Dieu, qui enlèves les péchés du monde, aie pitié de nous »). Attention, il y a des versions différentes.
Bref, pour un chrétien, il me semble que c’est au Christ que revient la charge de la justice. « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ».

En conclusion, laissons à Dieu les pitoyables pédos de bas étage (tout en prenant soin de leurs victimes), et concentrons-nous sur la mafia des pédos qui s’accroche au pouvoir. Jack Lang est toujours arrosé de fric par la mafia macroniste, et c’est de lui que la justice devrait s’occuper en priorité. D’ailleurs il a été pris à partie récemment, se trouvant par hasard à croiser une manifestation anti-pédos alors qu’il se rendait à l’Opéra. Pour le reste, j’ai isolé une magistrale intervention de David Pliquet, qui éclaire les propos de Candace Owens sur Xavier Niel (gendre de Bernard Arnault) : « Nous sommes face à une pieuvre hallucinante. », dit-il. Et cette pieuvre, sa tête n’est ni André Gide, mort depuis 70 ans, ni Matzneff, cliniquement vivant, ni Tournier, mort en 2016. Quant je songe au temps que les gens perdent à blablater sur ceux-ci, alors qu’ils sont aveugles à tout le système pédo de l’hyperclasse dénoncé par Xavier Poussard !

Rappelons que ce brave Xavier Niel nous a forcés à composer le chiffre de la bête (666) pour accéder à ses sévices :

Les réactions de la presse
Après ce long développement (que je laisse résumer par les braves jeteurs de première pierre à « Labosse défend les pédos »), venons-en aux soubresauts du feuilleton Candace, arrêtés au 3e épisode.
En réalité, il y a compétition nationale de léchage d’anus. Marianne tient la corde, mais Charlie Hebdo n’est pas loin ! C’est quand même étonnant. Ils savent bien que tout va s’écrouler, mais comme de fidèles clébards, ils sont prêts à mourir avec leur maître. En ce qui concerne Charlie Hebdo, le dessin signé Juin qui jouxte l’article est du meilleur Charlie, et suggère le contraire de l’article, avec Choupinet en Pinocchio qui joue sur la plage à enterrer Brigitte sous le sable, mais ne parvient pas à cacher l’éléphantesque minaret au milieu du salon ! Cela rappelle un autre article que j’avais raté, dont c’était le titre qui était digne de Charlie : « Complotisme. Brigitte Macron réplique à ses casse-couilles ». En fait, en sous-main, ces journalistes nous préparent à la révélation, qu’ils savent inéluctable.

Pressibus a publié un magnifique dossier qui fera date, pour mettre de l’ordre dans l’enquête assistée par ChatGPT, rebaptisé pour l’occasion « Gepeto ».
Voici ci-dessous l’émission du 4 février sur GPTV. J’étais ravi de rencontrer Me David Guyon. J’ai pu dire pas mal de choses, mais j’étais très fatigué, et surtout à la fin, je m’emmêlais les crayons, j’ai mélangé des noms, je ne trouvais plus mes mots. Il faut dire que 3 émissions en trois jours (la 3e est en cours de montage), en plus de mon job de prof à plein temps, c’est un rythme difficile, face aux brigittologues pour la plupart retraités, rentiers ou inactifs, mais qui vous envoient 20 mails par jour pour solliciter votre avis sur tel ou tel détail ! Vous avez pu constater que je prépare mes interventions, et c’est du temps de travail… tout ça pour ramasser des insultes dans les commentaires, comme d’habitude, et si peu de remerciements.
LE GRAND DEBRIEF DE L’AFFAIRE BRIGITTE RÉVÉLÉE AUX USA PAR CANDACE OWENS | GPTV
par GÉOPOLITIQUE PROFONDE
J’ai retrouvé la citation exacte de La Machine infernale de Cocteau (acte IV) sur laquelle j’ai achoppé, dans le stress du direct, vers la fin de l’émission : « ŒDIPE — Je suis près d’une chose impossible à entendre. LE BERGER — Et moi… d’une chose impossible à dire. » Il s’agit d’avoir couché avec sa mère et tué son père. Tout est dit !
Un fil tweeter a révélé une partie de l’émission annoncée de Natacha Rey pour une télévision russe. Avec les sous-titres en français et en anglais, cela semble un travail professionnel. La « tenaille » évoquée par Cotten se précise. Les macronescu vont être croqués par l’ours d’un côté, l’aigle de l’autre ! La presse de grand chemin s’obstine dans le déni, comme le révèle cet extrait de Radio-Paris. Je ne sais pas ce qui est le plus réjouissant dans cette vidéo, du score minable (14 000 vues en 12 heures pour la vidéo, mais bien plus à la radio) ou des commentaires qui sont unanimes à condamner la journaputerie de Radio-Paris, l’antenne collabo de la mafia macroniste. C’est beau quand même pour nos amis journaputes, de tenir à ne pas quitter le rafiot, à mourir avec le capitaine ! Je constate le lendemain que les commentaires ont été désactivés. La journaputerie est en panique !
Le 1er épisode de « Becoming Brigitte », après l’intro de samedi soir, maintient la pression. Candace feuilletonne, et gagne en audience à chaque épisode. Les autres doivent faire sous eux et préparer leurs valises, d’ici l’arrivée du deus ex-machina, Xavier Poussard (à prononcer à l’américaine !) Xavier Poussard est de retour ce 5 février sur X. Combien de chances que son compte devienne d’ici un mois le compte français n° 1 ?
Voici un article sur Pompidou et les Rothschild. C’est ce dont j’ai parlé sur GPTV. Totalement oublié dans l’émission de ce jour de GPTV avec Nicolas Stoquer, Mike Borowski & Lara Stam, où pas un mot n’est dit de l’émission d’hier. Cette émission risque de stopper net les vues de la nôtre ; ce n’est pas très fair play. De plus, d’une part Mike présente comme une info de Candace le fait que les enfants d’Arnault ont eu Chibritte comme prof, ce que Stoquer reprend en disant qu’il s’agit de la fille Arnault. Or je suis désolé, d’une part cela fait longtemps que j’ai insisté sur ce point (voir cet article), d’autre part, ce n’est pas la fille, mais deux des fils Arnault, Frédéric & Jean. D’autre part, on relate la proposition d’un auditeur de fêter les 80 ans de Jean-Brichel en se mettant une perruque jaune. Or j’ai fondé les Perruques Jaunes en 2022 et j’ai été le premier à lancer cette idée, comme le prouve cette photo. Il n’est bon bec que de Candace !

Le détourné porte plainte contre un artiste qui l’a représenté en deux morceaux. Asselineau en fait un tweet malin qui assimile la décollation de Marie-Antoinette lors de la cérémonie sataniste des JO, à cette œuvre. Or il oublie une couverture marquante de Charlie-Hebdo (22 mars 2023), qui était, chose rare, digne de feu l’esprit Charlie. On dirait qu’ils le font exprès, ils comptent sur l’effet Streisand. Personne n’aurait entendu parler de ce tableau sans cette plainte. Il ne faut pas couper le Chef de l’Étron (celui qui voulait « emmerder » les antivax) en deux, car il doit assister d’un seul tenant à son procès. On pourrait transiger, en canonisant l’individu façon Saint-Denis, comme le préconisait l’excellent Louis Fouché ! Je signale une hilarante vidéo parodique sur la chaîne Ciné-Joker : « JeanMichellement Vôtre », qui en a publié une tripotée, entre autres sur le détourneur & le détourné.

Dans les derniers jours et sur GPTV (et ci-dessus dans le présent article) notamment, à propos de Candace, j’ai utilisé l’expression « Il n’est bon bec que de Québec ». Je me suis rendu compte qu’en fait, cette expression est inconnue. L’origine est le refrain de François Villon dans son poème du Moyen-Âge « Ballade des femmes de Paris ». Mais ce n’est qu’en 1977 qu’Anne Sylvestre en a fait une chanson « Dis-moi Pauline » pour se moquer de la déferlante des chanteurs québécois en France, avec cette phrase mémorable, que je croyais très connue alors que je ne la connais que parce que je suis un passionné de chansons !
Excellent : la journapute du jour (sur ARTE) copie la même fiche McKinsey que celle du 4 février sur Radio-Paris. Comme les mauvais tricheurs, ils oublient de changer les mots clés : « insanités » ici ; « transvestigator » chez Charlie Hebdo (variante du « transvestigation » employé par la journapute de Radio Paris, avec encore une fois un dessin à 90° par rapport au texte). C’est amusant et révélateur que plusieurs « médias » sortent de façon coordonnée ces nouveaux concepts…
Rififi chez les brigittologues
Richard Boutry, qui n’a jamais osé consacrer une émission au brigittegate, a diffusé son émission « testamentaire » avec Natacha Rey et Chloé Frammery, annoncée depuis lundi comme un règlement de comptes à OK Chibritte. Quand on souffre d’un cancer, la rigolothérapie ne serait-elle pas plus appropriée que les règlements de comptes pour initiés ? Est-ce rendre service à un malade que de l’encourager à gratter ses plaies ? Les commentaires sous cette émission relèvent de l’idolâtrie, et cela me semble bizarre tellement ça dure. Même quand elle n’est pas présente dans une vidéo brigittologique, il y a toujours 1 commentaire sur 4 qui canonise sainte Natacha, comme si cela provenait d’une usine à trolls. Je vous renvoie au journal de Pressibus, car je déclare forfait pour cette émission.
Je reviens enfin sur l’épisode 2 de « Becoming Brigitte », diffusé mercredi soir. Je suis tellement débordé que je n’arrive plus à suivre, raison pour laquelle je sélectionne dorénavant ce que je regarde. Ce qui est bien, c’est qu’elle reprend tous les éléments de l’affaire en détail, pour les brigittologues de la 11e heure, qui redécouvrent le fil à couper le beurre. Du coup, beaucoup d’internautes ou de chaînes font des recherches et exhument des documents intéressants. Peu de chaînes et de stars de prétendue « résistance », qui se contentent de vagues allusions, à l’instar d’Asselineau, qui a consacré une minute sur Radio Courtoisie le 5 février, à demander d’un air agacé que l’Élysée éteigne le scandale. À mettre en rapport avec la cascade de révélations fracassantes aux USA sur les médias occidentaux subventionnés par l’État profond.
En fait, ces médias vont disparaître d’eux-mêmes, on n’aura pas grand-chose à faire. « Et le combat cessa faute de subventions » ! Il n’y a pas le feu au lac, c’est comme la pêche au filet ; ne pas se hâter de relever, pour laisser le poisson manquer d’air progressivement. Ils paniquent tous. Quant à Asselineau, Philippot et Cie, ils ne peuvent pas nier que l’affaire a pris désormais un tournant géopolitique. Choisir de continuer à ne pas en parler constitue de leur côté une faute politique majeure, dont ils paieront le prix.
Pour l’instant, GPTV ne me répond pas, bien que j’aie demandé à rentrer en contact avec Stoquer. C’est quand même agaçant, car je travaille gratuitement pour eux, ils se font quand même du fric avec ces émissions. Je ne crois pas qu’ils aient beaucoup d’intervenants dont 4 émissions sur 5 soient classées entre la 12e et la 22e place du nombre de vues pour les directs. La dernière a dépassé les 200 000 en 2 jours. Ils n’offrent même pas à leurs intervenants l’abonnement à leur revue, pas même un mug ! Sans doute des Auvergnats, ou des Écossais !…
Ne croyez pas que la jalousie me ronge, mais j’ai les yeux ouverts : sur ces 4 émissions, y compris celle où j’ai été en face à face avec Mike, pas une seule ne m’a valu d’être présent sur la vignette, ni dans le titre, ce qui est pourtant la règle à GPTV. Va savoir pourquoi ? Parce que je n’ai pas un livre à vendre ? En ce qui concerne celle de mardi dernier, qui a bien marché, elle a généré pas moins de 11 « shorts » (arrêté au 10 février). C’est moi qui ai assuré le spectacle avec mes visuels, eh bien, qui croyez-vous qui ait été sélectionné pour ces shorts ? 5 pour David Guyon, qui était le candide du jour, 3 pour Christian Cotten, un pour Mike, et 2 pour votre serviteur (dont un avec Mike) ! Mettre une belle cravate trumpienne ne m’a servi à rien ! Mais GPTV fait un excellent travail (comme le Front al-Nosra selon Fabius !) À propos, je tiens à rappeler que j’ai remporté la médaille d’or du dernier championnat de France de modestie, loin devant Alain Soral et le Pr Raoult !
L’épisode 2 de Candace pointait un certain nombre d’oligarques qui bombinent tels des mouches à merde autour du vieux trav, et les trous noirs de la biographie ; la fameuse grand-mère du détourné, et les incohérences de la géolocalisation et des souvenirs d’enfance embrumés du gamin. La parution prochaine d’un livre de Xavier Poussard est annoncée, en anglais et en français, ainsi qu’une nouvelle lettre d’information (voir sur son propre site. Nous en saurons plus bientôt sans doute, car jeudi prochain Xavier sera l’invité de GPTV). J’étais dans la confidence depuis quelques semaines. De toute façon, Poussard ayant la plume facile et sachant la porter dans la plaie, vu qu’il était privé de son support, il était quand même fatal qu’il passerait au livre ; depuis Albert Londres, c’est l’arme des journalistes dignes du prix éponyme. Il est en route pour le Pulitzer à mon avis, ce qui nous vaudra une salve de crises cardiaques dans la journaputerie hexagonale. Y compris les médias de « résistance », qui pour la plupart n’émettent que des couinements et refusent toujours de traiter le fond du dossier sérieusement, tout en nous demandant du fric. Ben non ! Quand donc sera diffusé le n°3, et quand aura-t-on la petite photo qu’on attend tous ? Que prévoyez-vous ? Brigitte à poil ? Sans perruque ? À quel âge ? 15 ans, 20 ans, 25 ans ? 30 ans ? À moins que ce ne soit un document administratif ? D’ici fin février ; mais en fait je ne suis pas pressé. Que cela dure autant qu’ils nous ont confinés, ces criminels !
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BECOMING BRIGITTE – ÉPISODE 3 : Une coïncidence de trop (doublage en Français)
par Marie VINDIGNI
L’épisode 3 a été diffusé hier soir 7 février. Doublage français de qualité ci-dessus. Il est assez décevant pour moi. Dans son débriefing de cet épisode, Mike prononce mon nom à 4 reprises. Cela me fait plaisir. Il n’insiste pas trop sur ses marottes, Jean-Jacques Trogneux et le bouquin du jour ; tant mieux. Il prononce à nouveau mon nom parmi la liste des brigittologues dans son émission du lendemain consacrée à Hanouna. J’ai eu raison de l’engueuler (gentiment bien sûr) ! Comme l’a dit Alain Soral à propos de Poussard l’autre jour, ce n’est qu’avec ses amis qu’on peut s’engueuler !
C’est la journée portes ouvertes dans mon lycée. Des élèves de 3e viennent se renseigner sur la formation bac pro (où je n’enseigne pas). Ils sont censés avoir 14 ou 15 ans, mais ont l’air adultes. Tous Africains. Avez-vous une idée de la raison pour laquelle on ne fait pas de tests (ADN ou autres) pour déterminer leur âge ? Peur d’inspirer une idée dangereuse pour vérifier d’autres usurpations d’identité ?
Richard Boutry ne cesse de jeter de l’huile sur le feu, avec cette nouvelle vidéo délicatement intitulée, je cite, « Débriefing Natacha Rey : « se toucher la chatte » ! » dans laquelle il rend public, façon Choupinet face à Poutine, un message privé (dont il se trouve que j’étais parmi les cc). XP aurait dit « chatte » selon RB. Ah bon. Je dirais même plus : un jour, je l’ai entendu dire « zut » et même « prout ». Assurément, RB est digne du prix Pulitzer en intitulant sa vomissure d’une façon aussi vulgaire. On en reprend une louche avec Chloé Frammery & avec Sylvia Miami, qui entendent exiger comme s’il s’agissait d’un droit de l’homme, que Natacha Rey soit interviewée par Candace. Cette affaire va bientôt rivaliser avec Capulet / Montaigu !
De façon simultanée (« en même temps »), le détourneur et le detourné utilisent le retourné Panamza pour calomnier les brigittologues. Le fait que tout cela soit fait & publié le même jour me semble signer l’offensive. Il semble facile d’acheter son homme. Celui-là n’a pas peur de se la jouer collabo, se posant carrément en mode milicien devant un supposé logement parisien de Xavier Poussard ! Il taille un costard à tous les brigittologues, sauf votre serviteur, ce qui me rend jaloux comme un pou. Mike Borowski est à nouveau accusé d’être juif, ce qui est sans doute très grave. Je lui avais tendu une perche avec ironie à la fin de l’émission de mardi, mais il ne l’a pas saisie ; il semble qu’il s’en fiche complètement ; bon, c’est son droit, mais moi j’aurais fait une mise au point, notamment sur l’article de 2009 de Jeune Afrique signalé naguère par un commentateur de Profession gendarme, et que je lui avais transmis…
Sinon, coté collabos, je suis bluffé. Notre ami Rudy fait mon boulot ! Il compile les meilleurs articles ! Cela me gagne un temps fou ! Damien Maudet nous propose un entretien instructif : « Macron, le dépensier de l’Élysée : entretien avec Marianne Maximi, députée ». Nadine Touzeau nous propose un Profilement vôtre spécial avec Me François Dangléhant. Un excellent résumé de l’affaire, richement illustré, est publié sur ce compte X. À faire circuler. Alexandra Brazzainville choisit le moment opportun pour nous rappeler malicieusement, avec son témoignage personnel, que le « docteur Françoise Macron Noguès » a fait du bon boulot pour sa réassignation de genre, dont elle était spécialiste.
la docteur Françoise macron nogues 🙏👍
par alexandra brazzainville
Beaucoup de gens sont sceptiques quant à la chute prochaine des macronescu que Pressibus & votre serviteur annonçons avec confiance. Rappelez-vous : quelques mois avant la chute du Mur de Berlin, des Allemands de l’est se sont fait tuer en tentant de s’évader. Le Mûr de l’Élysée va bientôt tomber ! Ne vous suicidez pas ! C’est nous qu’on va gagner ! Voir Chris Gueffroy, dernière victime du mur à avoir été abattue.
Nouvel épisode des délires de Ludovic Malot et de son invité à pseudonyme dont la voix m’est familière, mais je n’arrive pas pour l’instant à l’identifier, pourtant elle est vraiment caractéristique. J’ai fini par retrouver. Cette voix me rappelle celle de Marc Gabriel Draghi, mais ce n’est pas du tout lui. Il s’agit manifestement de la voix d’un homme jeune, avec un côté méditerranéen qui reste à identifier ! Je ne comprends pas ce Ludovic Malot, qui a donné une émission extraordinaire à GPTV sur Notre-Dame.
Le 9 février, le X officiel du poudré publie ce montage soi-disant pour faire la pub de son sommet catastrophique sur l’IA. Il sait plus où il est, et dans cet état de délire, on peut s’attendre en ce 11 février historique, qu’il poste la bite de l’événement !
Pierre Cassen souhaite lui aussi un bon anniversaire à Jean-Michel Trogneux.
https://www.youtube-nocookie.com/embed/vYd28posE4A?feature=oembed&autoplay=1
80 ans : bon anniversaire, Jean-Michel Trogneux
par Riposte Laïque
Selon mon petit doigt, qui traîne dans des coinstots bizarres, il est possible que ce soir (lundi 10 février) soit diffusé un n°4 de Candace, avec enfin celui qu’on attend tous, et peut-être (suspense) le fameux document inédit qui devrait secouer le cocotier. Bon, j’ai rien dit, zavez rien zentendu, et vous brûlez le message que zavez pas zu ! Finalement non, c’est partie remise, Candace vient de l’annoncer pour ce 11 février, pour les 80 hivers du vieux ! Faudrait pas que ça traîne, car les premiers exemplaires du livre de Xavier Poussard ont été reçus, et le document choc est dévoilé ; il s’agit d’une photo de classe de JMT à l’âge de 18 ans, en 1963, donc au retour de son séjour à Alger. Il est vraisemblable qu’elle va sortir sur un réseau social avant l’émission… Quoi qu’il en soit, vous la trouverez dans cet article ci-dessous à la place de ce dessin d’Ignace dès qu’elle aura été dévoilée.

À noter : une fête bolognaise est organisée à Paris rue Patay pour ce Lucifersaire de Jean-Brichel le 11 février. Voyez ce lien.
Voici l’émission prévue ce 11 février 22 h heure de Paris. Vous pouvez sélectionner les sous-titres en français, et de toute façon elle sera très vite doublée, maintenant des tas de gens par le monde francophone sont devenus des as en la matière !
Becoming Brigitte: Jean-Michel Trogneux | Episode 4
par Candace Owens
Je suis dégoûté. Candace n’a pas dévoilé la photo atomique ; elle a juste dévoilé sa nature : photo de classe de l’ESTP, à l’époque École Spéciale des Travaux Publics, rentrée 1963, ce qui est un scoop énorme. Elle a raconté la bataille juridique menée par XP pour obtenir cette photo car le directeur a tout fait pour protéger l’Élysée. Le livre a déjà été reçu par de nombreux acquéreurs aux USA. Il est inévitable qu’un simple twittos le publie avant votre serviteur. Je ne peux pas déroger à ma loyauté vis-à-vis de Xavier Poussard, mais si vous voyez passer la photo ailleurs, envoyez le lien, et là je serai bien forcé de la reprendre ! Espérons que l’entrevue fatale soit diffusée demain. Le château est forcément au courant, et ça va les rendre fous ! Satan sait de quoi ils sont capables. Pour info, cette histoire n’en finit pas de m’atteindre dans mon intimité. Il se trouve que j’enseigne dans cette branche professionnelle, et que cette école est intervenue dans mon établissement la semaine dernière pour appâter nos étudiants ! En tout cas ce soir, Jean-Brichel n’a soufflé qu’une petite partie de ses 80 bougies. Le gros du gâteau est pour le prochain épisode !
Article repris sur Profession Gendarme
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Source : Altersexualité
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