John O’Looney, entrepreneur de pompes funèbres en Grande-Bretagne : « Je n’ai jamais vu autant de décès »
Nouveau témoignage important de ce patron de pompes funèbres anglais qui était intervenu assez rapidement en 2021.
« je pouvais m’exprimer tant que j’avais encore la liberté de le faire, ou bien dans une année j’allais crier de derrière un mur de prison. «
par Kla.TV
L’entrepreneur de pompes funèbres J.O’Looney a attiré l’attention au printemps 2021 lorsqu’il a fait de sombres prévisions concernant une possible augmentation des décès entre octobre et décembre 2021. Comme il avait accès au certificats de décès en tant que responsable de pompes funèbres et qu’il avait des contacts avec des médecins et le personnel soignant des hôpitaux, il avait fait des comparaisons et attiré l’attention sur des faits surprenants. Son propre vécu pendant la crise du Covid, entre autres en ce qui concerne la prise en charge médicale en Angleterre, s’est révélé épouvantable, tout comme ses expériences avec les politiciens haut placés en charge de la politique du Covid.
Transcription :
Intervieweur : Nous sommes très heureux d’avoir John O’Looney avec nous aujourd’hui. Il est entrepreneur de pompes funèbres à Milton Keynes, en Angleterre. John, merci d’être avec nous aujourd’hui.
O’Looney : Avec plaisir. Merci de m’accueillir.
Intervieweur : Je pense que la plupart de nos téléspectateurs seront familiers avec les interviews virales que vous avez données au début de l’été et au début de l’automne, dans lesquelles vous avez lancé un sombre avertissement. Vous avez également mentionné que vous étiez en contact avec un groupe d’experts et qu’ils disaient qu’il y aurait une énorme augmentation des décès en octobre, novembre et décembre. Or, nous sommes justement en pleine saison des rhumes et des grippes. Les événements actuels ont-ils donc confirmé vos craintes de l’époque ?
O’Looney : Oui, absolument. Ce que nous voyons, c’est un nombre de décès en constante augmentation, et curieusement, surtout des décès par thrombose, infarctus du myocarde, dilatation artérielle par anévrisme ou des AVC, et ceci en nombre sans précédent. Je n’ai jamais vu autant de décès. Et il ne s’agissait pas que de personnes âgées. Cela concerne des personnes de différentes tranches d’âge. Des personnes dans la vingtaine, la trentaine et la quarantaine, et des personnes qui ne devraient normalement pas mourir. Cela avait été prédit et maintenant c’est effectivement arrivé.
Intervieweur : Oui, c’est juste. Je vous ai entendu dire dans une interview récente que vous aviez enregistré plus de décès par thrombose cette année qu’au cours des 14 dernières années. Voulez-vous dire un nombre plus élevé durant l’ensemble des 14 dernières années ou durant chacune de ces 14 années ?
O’Looney : Eh bien, pour être exact, je veux dire un plus grand nombre que durant chacune de ces 14 années. Et l’augmentation est phénoménale. Il ne s’agit pas du double ou du triple, mais d’une augmentation de 500 ou 600 %, c’est approximativement de cet ordre de grandeur. Et en temps normal, un décès par thrombose est assez rare, et il s’agit alors plutôt de personnes âgées, pas de personnes dans la vingtaine, la trentaine ou la quarantaine, et celles-ci sont toutes vaccinées. J’ai discuté avec des personnes intéressantes ces derniers temps. Michelle, une infirmière urgentiste, m’a dit que 9 patients sur 10 admis aux urgences pour des problèmes respiratoires étaient vaccinés. La raison de leur admission est le développement de caillots de sang. Ils passent alors une rapide radiographie et si les caillots de sang se trouvent dans la poitrine, ils sont hospitalisés. Si par contre, les caillots de sang se trouvent dans un membre, les gens sont renvoyés à la maison. Ce qui se passe alors inévitablement, c’est que ces caillots se déplacent du membre vers le cœur ou la gorge, et les personnes meurent. J’ai des amis dans la région qui travaillent dans la médecine légale, et ils sont débordés parce qu’ils doivent régulièrement aller chercher ces personnes chez elles parce qu’elles sont mortes subitement d’une thrombose.
Intervieweur : En tant qu’entrepreneur de pompes funèbres, avez-vous accès à tous les rapports des médecins légistes concernant les décès ? Y a-t-il un certificat de décès pour chaque corps qui arrive ?
O’Looney : Eh bien, pas toujours, parce qu’en tant que « pompes funèbres » je n’ai pas besoin de voir le certificat de décès, mais ce que je vois, ce sont les papiers du médecin légiste. Pour chaque mort subite, on fait appel au médecin légiste, qui délivre ce qu’on appelle un formulaire « 6 ». Une partie de mon travail d’entrepreneur de pompes funèbres consiste à rassembler les papiers et la demande pour la crémation, car la grande majorité des obsèques au Royaume-Uni sont des incinérations. Je dirais qu’environ 5 % sont des enterrements. C’est une question plutôt culturelle. Je vois donc ces papiers, je dois les passer en revue et vérifier s’ils sont corrects. Je vois la cause du décès établie par le médecin légiste, qui m’est envoyée par e-mail. Ensuite, je l’imprime et je la vérifie. S’il y a un problème ou une erreur, je retourne vers le médecin légiste et je lui demande de me renvoyer le document.
Intervieweur : Y a-t-il des médecins légistes qui procèdent à des dénonciations comme vous?
O’Looney : Non, car ils mettraient leur carrière en danger. En fait, j’ai même fait pression sur le médecin légiste en chef parce que je ne voulais pas mettre mon médecin légiste local dans l’embarras. Parce qu‘ils savent très bien ce qui se passe. C’est un bon gars, mon médecin légiste local. Ce sont des gens bien, et je ne doute pas qu’ils soient au courant de ce qui se passe. Vous voyez par exemple l’énorme augmentation du nombre de décès par thrombose. Nous tous, nous le voyons. Regardez les jeunes footballeurs, les footballeurs de la FIFA, qui tombent actuellement comme des mouches. Ce sont des personnes au sommet de leur forme physique et de leur perfection. Savez-vous pourquoi ils meurent ? Pourquoi ils tombent, pourquoi ils meurent ? Je crois qu’au cours des six derniers mois, environ cent huit joueurs et entraîneurs enregistrés auprès de la FIFA sont morts. Ce n’est tout simplement plus normal.
Intervieweur : En plus de ces décès par thrombose, vous avez mentionné dans une vidéo très récente que le vaccin peut attaquer le système immunitaire.
O’Looney : Oui. Je n’en étais pas conscient jusqu’à ce que je participe à une réunion en septembre. J’ai été invité à une réunion à Westminster, à Birdcage Walk (un centre de conférence). Cette réunion a rassemblé environ 18… on a dit qu’il s’agissait d’un groupe d’opposants à la vaccination. Mais il s’agissait de personnes du calibre du professeur Dolores Cahill et du Dr Tess Lawrie, du Dr Sucharit Bhakdi et ce ne sont pas des anti-vaccins. Ce sont des gens qui ont construit leur carrière sur la science, des scientifiques de haut niveau – ils sont à la pointe de leur profession. Ils étaient nombreux – il y en avait 18 – et nous avons pu rencontrer un type du nom de Sir Graham Brady, qui est le représentant du « Comité 1922 » du parti conservateur ( le Comité 1922, officiellement connu sous le nom de Conservative Private Members Committee [une association parlementaire créée en 1923 et composée de membres de la Chambre des Communes britannique]) C’est donc un politicien conservateur très, très important. Et nous avons tous témoigné, nous nous sommes présentés et nous avons eu cinq minutes pour faire part de nos préoccupations. Et on avait l’impression, une fois qu’il avait quitté la pièce, qu‘il avait compris. Il était, nous… cela signifie-t-il qu’il est complice ? Il a dit qu’il ferait ce qu’il pourrait, mais qu’il avait les mains liées et qu’il ne pouvait rien promettre et, vous savez quoi ? Rien n’a changé ! Ils continuent toujours à picouser les enfants dans les écoles. On a dit à M. Graham que ces vaccins auront comme effet secondaire la stérilisation de 70 % des enfants. Et une énorme quantité de preuves scientifiques ont été mises sur table pour confirmer et étayer ces affirmations. Et il ne faut pas oublier des personnes comme Dolores qui conseillaient le gouvernement britannique lorsqu’elle avait une vingtaine d’années. Elle est très, très… c’est un génie. Et Tess Lawrie, c’est un génie dans son domaine. Dans leurs domaines respectifs, ils savent exactement de quoi ils parlent. Mais ils ne sont pas sur la liste de salariés de l’industrie pharmaceutique, ni sur celle du gouvernement. Ils sont donc discrédités. Et on a dit à M. Graham que beaucoup d’enfants décéderaient de cardiomyopathie et que jusqu’à 70 % seraient stérilisés. J‘étais choqué. Car dans mon activité de pompes funèbres, je ne connaissais évidemment pas cette facette. Il a également été question des dommages causés au système immunitaire. On a expliqué qu‘après l’injection les cellules de leur corps se régénéreraient en deux ans et que les nouvelles cellules recevraient de nouvelles instructions, et que ces nouvelles instructions retourneraient leur système immunitaire contre eux-mêmes. C’est ainisi donc que le système immunitaire s’affaiblira lentement, ce qui se manifestera par des nausées et des maladies. Et ce sera ça, leur Covid.
Intervieweur : Wow !
O’Looney : Ne vous méprenez pas. Le Covid existe. Il y a bien un virus là dehors. J’ai parlé à beaucoup de gens. Je l’ai bien eu moi-même, donc il est vraiment là, là dehors. Mais il est guérissable, ce n’est pas une pandémie mortelle. Ce n’est pas quelque chose qui va nécessiter une thérapie génique expérimentale toutes les 12 semaines pendant les cinq prochaines années.
Intervieweur : Ou un arrêt complet de l’économie.
O’Looney : Oui, mais c’est fait exprès, non ? Parce qu’au Royaume-Uni, je sais… eh bien non, je ne sais pas… je ne peux pas suivre tous les événements sur cette planète – j’ai beaucoup trop à faire, mais au Royaume-Uni, par exemple, il y avait 400 000 petites entreprises qui ont été délibérément détruites par le gouvernement. Par contre, il y a 600 nouveaux milliardaires.
Intervieweur : Oui.
O’Looney : Oui, c’est donc fait exprès, n’est-ce pas ? Je trouve très intéressant qu’ils continuent à faire de très grosses erreurs. Et ils ont récemment montré l’une des plus grandes erreurs. Ils essaient clairement de se débarrasser de Boris Johnson.
Ils savent que les médias battent leur plein pour l’assassiner. Et l’une des choses qu’ils ont exposée, c’est la récente fête de Noël où tous les ministres ont dansé sans masque. Eh bien, ça… ça va détruire sa crédibilité de Premier ministre, et ça signifie également que tous les ministres présents dans la salle étaient au courant. Et qu’il n‘y avait aucun risque. Ils se sont donc pour ainsi dire plantés, parce que tout le monde peut maintenant voir qu’aucun d’eux n‘en a été gêné. Ils étaient donc tous complices d’un mensonge abominable. Ils étaient tous complices d’un détestable mensonge. Mais les gens ne veulent pas toujours voir la vérité. Ils font simplement ce qu’on leur dit de faire.
Intervieweur : Oui. Avant cette interview, je voulais encore mentionner une chose qui m’a frappé. J’ai des amis aux États-Unis qui m’ont raconté des histoires d’êtres chers, d’amis qui sont allés à l’hôpital et qui se sont soumis à un protocole pour lequel je viens d’inventer un nom. Je l’appelle le protocole de la mort.
Mais, comme je ne suis pas un expert en la matière, je ne pensais pas en parler si je n’avais pas vu il y a quelques heures un nouvel article de Jon Rappoport dans lequel il parle précisément de ce sujet.
Il mentionne un groupe qui s’appelle le Centre pour les services de soin et d’aide médicaux et qui agit en tant que lanceur d’alerte. Il y a eu un rapport publié par l’Association américaine de médecins et chirurgiens et je voudrais vous donner la première citation de cet article. On peut y lire :
« Lorsqu’ils sont admis dans un hôpital qui leur était autrefois familier, les patients américains atteints du Covid-19 deviennent des prisonniers virtuels. Ils sont soumis à un protocole de traitement rigide visant à rationner les soins médicaux des personnes de plus de 50 ans. Ils ont un taux de mortalité impressionnant. »
O’Looney : Oui.
Intervieweur : J’aimerais aborder certains points sur la façon dont ils font de la propagande. Ils ne font pas seulement la promotion du Covid, mais il semble qu’ils encouragent également le meurtre. Et vous avez mentionné …
O’Looney : C’est très intéressant. Matt Hancock ici présent a annoncé il y a quelque temps, lorsqu’il était au gouvernement, qu’il ferait transférer tous les patients des hôpitaux, les patients Covid, dans des maisons de soins, afin de leur offrir une belle mort. La traduction grecque de « belle mort » est le mot « euthanasie ». Il l’a donc dit à tout le monde, et pourtant ils ne l’ont pas vu, parce que la plupart des gens en Grande-Bretagne ne connaissent pas le grec. Mais oui, ils nous disent ce qu’ils font, et les gens ne comprennent tout simplement pas. Il faut donc… parfois, les gens écoutent, mais ils n’écoutent pas vraiment. Et c’est exactement ce qui s’est passé. Le taux de décès dans les maisons de repos est en parfaite corrélation avec l’utilisation du Midazolam et la quantité administrée. ça a été largement relaté. Ça a été bien démontré par un certain nombre de personnes qui ont utilisé les lois sur la liberté d’information pour obtenir les chiffres. C’est malheureusement ce qui se passe ; c’est triste, malheureusement. J’ai vu un nombre croissant de personnes extrêmement contrariées par le manque de soins apportés à leurs proches. Et encore plus bouleversant : J’ai eu des conversations très perturbantes avec des infirmières qui m’ont appelé pour me décrire de manière très détaillée la manière dont elles traitent les gens. Je veux dire qu’ils leur donnent des DNR (: DNR : A do-not-resuscitate order – ordre de ne pas réanimer ) sans même leur demander leur avis. Et ensuite, elles leur donnent des trucs comme le Remdesivir.
Intervieweur : Oui. Ok, donc ça se passe aussi en Grande-Bretagne.
O’Looney : Oui, c’est fou, vous savez. C’est aussi le cas pour le Midazolam. Pourquoi donner un sédatif tellement puissant à quelqu’un qui a du mal à respirer ? Cela ne peut avoir qu’un seul résultat, non ? La respiration devient beaucoup plus mauvaise parce qu’elle est supprimée, avec ce médicament… et c’est pourquoi les gens meurent. Les personnes qui font cela doivent être assez sadiques. Je n’en doute pas. Il y a quelques semaines, j’ai accueilli des infirmières pour lesquelles j’ai organisé des funérailles. Nous en avons longuement parlé et elles ont dit : « Vous avez raison sur ce que vous dites. » Et l’une d’entre elles ne pouvait pas détacher son regard du sol. Car elles savent que ce qu’elles font est mal. Et elles savent que ce qu’elles font est inacceptable. Ils sont esclaves des prêteurs d’argent, et c’est là que réside le problème. Je pense que les gens du National Health Service sont la clé de notre salut. Ils doivent se lever. Ils doivent descendre dans la rue pour que ce travail perde sa fiabilité et son poids. Ils doivent raconter leur histoire, et en nombre suffisant pour qu’on ne puisse pas les ignorer, afin que le public ait une chance de connaître la vérité. Ce que les patients ne reçoivent pas actuellement, c’est de l’information et de l’éducation, et leur consentement, consécutif à ces informations n’est pas donné. Quand je parle aux gens, c’est presque comme un bon moment. On peut le voir sur leur visage. Et ils le comprennent, ils le comprennent, mais le consommateur moyen, qu’est-ce qu’il fait ? Ils se connectent toute la journée sur leur ordinateur et travaillent dans une compagnie d’assurance ou comme agent immobilier, puis ils rentrent chez eux et regardent Netflix ou Facebook et ne sont même pas actifs. Et ce n’est que lorsqu’on se réunit et qu’on dit : « Eh bien, réfléchissez logiquement à A, B et C. » Tous les ministres se sont promenés, sans masque et proches les uns des autres. Cela ne veut-il pas dire qu’il n’y a pas de pandémie pour eux ?
Il n’y en a pas eu, il y a un virus. Je le sais, je l’ai déjà eu. Et il est plutôt rare. Je me suis senti assez mal. Mais il peut être traité. On peut y survivre, puisque je suis là. Et vous savez, c’est des mensonges. On nous a nourris d’un flot de mensonges, et en réalité, ce n’est qu’une question de finances. Car il n’y a pas d’or pour couvrir le nombre de billets en circulation. Et il n’y a pas d’argent. Il n’y a plus d’argent. L’économie est au bord de l’effondrement. Elle a longtemps été soutenue par un assouplissement quantitatif, c’est-à-dire des taux d’intérêt négatifs et autres. Et il est temps que les banques récupèrent tout, et elles le font en confisquant toutes les maisons et les entreprises, et le cycle recommence.
Voilà donc ce qui se passe. Ils vont suspendre un peu le dépeuplement et en même temps mettre en place un système de crédit social pour tout le monde. Il y a donc un certain nombre de personnes qui sont impliquées avec leurs petits agendas. Leur propre agenda. C’est terriblement triste, n’est-ce pas ? La clé, en fin de compte, ce sont les gens eux-mêmes. Je veux dire, c’est la raison pour laquelle j’ai pris la parole, parce que je vois… Il n’y avait pas de surmortalité là en 2020. Le taux de mortalité, il n’était pas aussi élevé qu’on le prétendait. Et vous savez, j’ai vu des gens sur le pas de la porte, et des infirmières se disputer pour savoir qui vidait les poubelles. Ce n’était absolument pas une pandémie.
En fait, il y a eu plus de décès en 2019 qu’en 2020 dans ma localité, et ce malgré une prétendue terrible pandémie qui ruine les affaires de tout le monde, et ce volontairement. Et bien sûr, ils font très attention à la manière dont ils ont procédé. Le consommateur ordinaire qui travaille pour un employeur sait que si on lui propose de rester assis sur ses fesses à la maison pour 80% de son salaire, la plupart diront : « Oh, bien, oui. On va le faire ! » Et puis il y a eu un effet d’entraînement et ils sont passés de 80% à 65%, de 60% à 50%. Et quand ils voulaient reprendre le travail, ils ne le pouvaient pas parce que l’entreprise était ruinée. Et c’est exactement ce qui s’est passé. J’espère donc qu’il y a suffisamment de patriotes en Amérique qui peuvent vraiment changer les choses et nous sauver, parce que je pense que nous serons sauvés.
Intervieweur : La Grande-Bretagne va-t-elle se contenter d’attendre pour voir ce que font les… cobayes – l’Allemagne et l’Autriche ? Attendent-ils le premier février pour voir si l’Autriche peut faire passer sa loi ?
O’Looney : Je pense qu’ils essaient différentes approches dans différents pays pour voir laquelle est la plus efficace, et ensuite ils continueront à le faire. J’encourage tout le monde à continuer à se battre, car il devient de plus en plus difficile de se cacher, et même si les gens ont l’impression que le temps leur est compté. Croyez-moi, ce n’est pas le cas. Le temps est court pour les personnes qui répandent ce mensonge, car elles seront démasquées. Les médecins et les policiers m’appellent, les infirmières m’appellent, et tous disent la même chose. C’est un mensonge total. Dans nos médias, on dit que les hôpitaux sont remplis de personnes non vaccinées. C’est une invention totale. C’est exactement le contraire. Neuf patients sur dix qui sont là, pleins de caillots de sang, sont vaccinés. J’ai déjà entendu cela de la part d’innombrables spécialistes. Qu’on le croie ou non, ça n’aggrave pas la situation pour autant. C’est la vérité. C’est la réalité. On peut mener un cheval à l’eau, mais on ne peut pas le forcer à boire.
Intervieweur : Donc, si vous dites que la personne moyenne qui a un travail normal et qui rentre chez elle pour regarder Netflix, c’est un groupe. Mais si vous pensez aux gens de l’establishment médical — oh là là ! — ils le savent.
O’Looney : Ils le savent. Vous devez garder à l’esprit que certains d’entre eux vont investir dans le Covid sans restriction… Je sais que, moi en tant que professionnel des pompes funèbres, j’étais très inquiet lorsque le Covid a été annoncé pour la première fois. J’ai cinquante-trois ans et je suis un ancien fumeur, donc ma voix peut paraître un peu rauque…..j’étais très inquiet. Voici ce terrible virus qui fait s’effondrer les gens. On nous a montré des images de personnes en Chine qui sont littéralement mortes dans la rue. Ce n’est tout simplement pas arrivé, donc ça n’a clairement jamais été vrai. Mais les gens perdent la mémoire et l’hippocampe (sous-titre : hippocampe = une partie du cerveau) est atteint. Ils entrent dans ce mode de fuite effrayés et cherchent des vaccins qui ne sont pas vraiment des vaccins, mais des thérapies géniques expérimentales, mais qui ont été réétiquetées pour paraître plus acceptables, car nous avons tous été vaccinés quand nous étions enfants, moi y compris. La dissonance cognitive est stupéfiante. Et il est certain que des gens que je connais et qui sont considérés comme extrêmement intelligents sur le plan académique et éclairés sont complètement dupes, même si je leur ai dit que ce n’était pas la vérité. En 2020, il n’y a pas eu d’augmentation du taux de mortalité, pas du tout. À Milton Keynes, il était même légèrement inférieur, mais les gens ne veulent pas en tenir compte. Ils sont toujours convaincus qu’il y a eu une pandémie, juste une pandémie sans décès.
Intervieweur : Et il ne semble pas y avoir de lien entre l’intelligence et le QI et le fait d’être touché ou non par la pandémie. C’est différent.
O’Looney : Nous sommes tous un peu différents, et je me suis posé cette question : Est-ce que je me serais fait vacciner si je n’étais pas entrepreneur de pompes funèbres, si je n’étais pas dans la position privilégiée dans laquelle je me trouve ? C’est possible. Peut-être. Je ne le saurai probablement jamais, n’est-ce pas ? Je crois que ce qui m’a vraiment contrarié, ce sont les efforts massifs pour faire passer consciemment tout le monde pour un mort du Covid : des patients atteints de cancer, des victimes de crises cardiaques, oui , et même un homme qui s’est fait écraser – tous des morts du Covid.
Ils étaient trop enthousiastes, trop pressés d’enregistrer tous les gens comme cas Covid, alors qu’il ne pouvait en aucun cas s’agir de décès dus au Covid. Je commençais à flairer l’arnaque, d’autant plus que le taux de mortalité n’augmentait pas. Je m’attendais d‘ailleurs à ce que le taux de mortalité s’envole dès que la vaccination serait lancée. J’en ai parlé très ouvertement à un certain nombre d‘amis en novembre et décembre de l’année dernière. Et voilà, le 6 janvier, la vaccination a commencé et le taux de mortalité a immédiatement grimpé en flèche. C’était du niveau d’une pandémie. Je n’avais jamais rien vu de tel. Mais cela n’a commencé qu’au moment où ils ont planté les aiguilles dans les bras. Alors, est-ce que c’est une pandémie ? Ou est-ce un taux de mortalité extrême pour une pandémie transmise par une aiguille ? Je suppose que nous ne le saurons jamais, mais il me semble que c’est le cas. Tout dépend si l’on est un penseur critique ou non, et j’ai prédit tout ce qui s’est passé et continue de se passer. Je dois donc être une personne à l’esprit critique. De plus j’ai eu le privilège de rencontrer des gens vraiment sympa et très compétents, qui m’ont tendu la main et m’ont en quelque sorte intégré, et j’ai donc eu le privilège de participer à de nombreuses réunions en ligne. Cependant, je ne participe plus à toutes ces réunions, car je sais ce qui se passe. La question est de savoir ce que nous allons faire pour l’arrêter. Serons-nous vraiment capables d’arrêter tout ça ? Je ne le sais vraiment pas. Mais j’espère que oui. Je l’espère, car ici, en Grande-Bretagne, ils vont s’en prendre aux enfants, et je suppose qu’en janvier, ils s’en prendront aux moins de 12 ans. Vous savez, je ne veux pas que mon enfant soit stérilisé.
Intervieweur : Vous avez des enfants ?
O’Looney : J’ai un fils de 11 ans. Je ne veux pas que mon enfant soit exposé au risque de myocardite et de mort. Et depuis deux ans que cette prétendue épidémie existe, je n’ai vu nulle part dans la région un seul enfant mourir du Covid. Alors à quoi bon ? Il n’y a aucun besoin.
Intervieweur : Je vis au Japon, et il y a quelques jours seulement, il y a effectivement eu ce qui semblait être une bonne nouvelle au début. Un communiqué du gouvernement japonais, du ministère de la Santé disait : « Désormais, tous les médecins doivent avertir leurs patients qui reçoivent un vaccin Covid de la possibilité d’une myocardite ou d’une péricardite, etc. » Et je me suis dit : « C’est incroyable ! Qu’est-ce que c’est ? Le premier gouvernement au monde à annoncer une telle nouvelle ? » Mais ensuite, continuez à lire, continuez à lire, et ensuite le paragraphe suivant dit : « Mais le risque pour cela est extrêmement faible, cependant le risque de contracter ces mêmes maladies est plus élevé à cause du Covid, même chez les enfants. » Cela a été publié en même temps que le rapport allemand, qui est le suivant « Dix millions d’enfants entre 5 et 18 ans, aucun décès. » C’est fou.
O’Looney : Oui, oui, et le problème, c’est que les gouvernements ne gouvernent plus les pays, n’est-ce pas ? Ce sont les entreprises qui gouvernent les pays. Et c’est là que réside le problème. C’est là que réside le problème. C’est le Grand Reset. C’est le Grand Reset, et je pense que les gens vont tout perdre très lentement au cours des trois à cinq prochaines années. Nous sommes donc arrivés à la fin de la première année et nous voyons que les gens commencent maintenant à être malades. Ils sont de plus en plus malades parce que leur système immunitaire est désormais affaibli. Et j’ai eu certaines de ces personnes au téléphone. Lorsque le système immunitaire est affaibli, on perd la capacité de se défendre contre un simple rhume. Je le vois par exemple chez les patients cancéreux qui suivent une chimiothérapie qui affaiblit le système immunitaire. Je parle avec des personnes dont les familles viennent me voir et me disent : « Mon père allait vraiment bien. La tumeur avait presque disparu. Et puis il a attrapé un rhume. »
Et c’est ce qui les tue. C’est ce que nous voyons chez les gens. Là aussi, ils vont très, très mal, et ce de manière répétée, et plus ils reçoivent d’injections, plus ils vont mal. J’ai prévenu tous ceux que j’ai pu, et je continuerai à le faire. Qu’est-ce que tu peux faire ? Oui, on peut conduire un cheval à l’eau, mais on ne peut malheureusement pas le forcer à boire. Chacun doit décider pour lui-même de la meilleure façon de faire. Mais quand on fait du chantage en leur disant aux gens qu’ils ne peuvent pas aller au travail, qu’ils ne peuvent pas faire leurs courses, qu’ils ne peuvent plus aller nulle part, qu’ils ne peuvent plus voir leur famille et qu’ils ne peuvent plus voyager… on ne leur laisse plus vraiment le libre choix, n’est-ce pas ? Donc…
Intervieweur : Oui. Eh bien, je voudrais gentiment terminer l’interview, parce que nous voulons aussi la traduire en allemand. L’interview devrait être limitée à 30 minutes, mais j’aimerais encore poser une question. Vous avez mentionné que nous pouvons encore compter sur trois à cinq ans avant le contrôle total. Mais à entendre des gens comme Robert Kennedy Jr, C.J. Hopkins, Yeadon (l’homme de Pfizer) et le professeur Bhakdi, les prochains mois semblent être décisifs.
O’Looney : C’est ça ! Les prochains mois, je vais vous dire ce qu’on va voir. Nous vivons un grand réveil. Et je l’ai remarqué moi-même, parce que j’ai littéralement reçu des milliers et des milliers d’appels et de courriels. Et bien, quand le grand réveil arrive, ils doivent améliorer leur jeu, parce qu’ils sentent que le temps pour croire à ce mensonge est court. Donc ils vont accélérer leur jeu et tenter tout ce qu’ils peuvent. Nous sommes les 99 %, donc nous sommes trop nombreux. Et je me demande si les gens vont vraiment regarder leurs voisins être envoyés dans des camps de concentration et ne rien faire ! Je ne sais vraiment pas. J’espère que non, j’espère que non. Si je vous l’avais dit il y a deux ans, je sais qu’on m’aurait ri au nez et qu’on m’aurait dit : « Non, non, ça n’arrivera jamais. »
Ils ont construit six super-prisons en Grande-Bretagne. Six. Et ce, à une époque où l’économie est au plus bas. Mais maintenant, ils disent que c’est le bon moment pour investir des centaines de millions de livres dans des super-prisons.
Intervieweur : Ah oui !.
O’Looney : J’aimerais bien qu’un ministre me dise comment il justifie ça à ce moment de l’histoire. Je suis sûr qu’ils vont les utiliser. Je suis sûr qu’ils vont les utiliser pour quelque chose. Je suppose qu’ils le feront probablement pour nous.
Intervieweur : Avez-vous un dernier message pour d’autres entrepreneurs de pompes funèbres, pour des médecins légistes, des médecins ou des infirmières qui ne veulent plus faire les autruches, qui veulent lever la tête et révéler ce qui se passe, comme vous l’avez fait ? Là, dehors il doit y en avoir une quantité qui sont prêts mais pas encore tout à fait décidés.
O’Looney : Oui – c’est ça. Pour moi il y a eu deux déclencheurs qui m’ont poussé à rendre publique mon opinion. L’un c’était un certain Dr Sam White qui a pris la parole après sa démission et qui a été aussitôt rayé du registre GMC [General Medical Council, UK]. En fait, j’avais regardé ce qu’il avait dit et j’étais impressionné puisque cet homme renonce à sa carrière… pour d’autres. Ça m’a inspiré. L’autre [déclencheur] est la façon atroce avec laquelle le peuple australien a été traité et comment il est maintenant mis dans des camps de concentration. Où est le cri d’alarme international ? Il y en a pas parce que tous sont coupables. Et ce sont des multi-nationales qui gouvernent les pays, pas leurs gouvernements. Et ici en Grande-Bretagne, nous avons le parti « Conservateur » et le « Labour », mais ce sont les deux faces de la même médaille. On parle donc de la Grande Réinitialisation. Je veux bien croire qu’il serait temps de renouveler le sommet de la pyramide hiérarchique et le système du gouvernement. Cependant, la voie semble aller dans la direction du non-respect des règles afin qu’ils puissent littéralement arracher les personnes de leurs maisons. Cette horreur et ce terrorisme, c’est peut-être la seule façon de pouvoir éveiller les êtres humains. Soyons optimistes ! Les gens vont-ils penser que c’est acceptable d’être amené dans un camps de concentration en Grande-Bretagne ? Ma femme le voit peu à peu et se fait de plus en plus de soucis. Juste un exemple : Un ami a dit : «Tu peux venir chez moi mais tu dois te faire tester et ceci et…» Vous savez quoi ? Nous n’allons pas garder ces gens. C’est si simple que ça, car ils nous manipulent, ils nous poussent tout droit vers l’esclavage.
En ce qui concerne le personnel soignant, les médecins légistes, les infirmiers, les médecins et les responsables de pompes funèbres, j’aimerais dire ceci : J’ai longtemps réfléchi avant de m’exprimer, probablement pendant plusieurs mois. C’est que j’ai un esprit lucide. Et j’ai regardé en avant et je savais que j’avais deux options : je pouvais m’exprimer tant que j’avais encore la liberté de le faire, ou bien dans une année j’allais crier de derrière un mur de prison. Tu peux descendre et plonger seulement pendant un temps limité. Ou bien il faut se soumettre et accepter cette injection dangereuse et il y a une bonne chance qu’on tombe malade et qu’on meurt. Parmi les scientifiques, on a l’impression qu’il s’agit de la roulette russe. Quand on se présente pour le vaccin, on a de la chance ou on a de la poisse. Et j’ai essayé de deviner comment ils pourraient encore faire du mal aux gens qui ont reçu le placebo. Comment feraient-ils ? Et puis ils ont annoncé… ils sont arrivé avec les…
Intervieweur : … Oui, pour les cinq prochaines années. Omicron : le rappel booster.
O’Looney : Oui, les boosters, oui trois ou quatre par année pour les cinq années à venir. Et vous êtes au courant ? Omicron vient d’arriver. Pour ça ils ont déjà prévu 3 boosters. Comment est-ce possible ? C’est impossible à moins que ça n’ait été planifié. (Non) c’était prévu d’avance. Et encore une fois : les gens ne pensent pas de manière critique. Ils sont en mode « panique ». Leur hippocampe dit : «Oooohh, Covid !» Ils ne pensent pas de manière logique. Comment peuvent-ils annoncer Omicron et puis déclarer « Nous avons déjà les trois injections prêtes » ? Avec ça, tout est dit, tout ce qu’on a besoin de savoir. Et nos ministres dansaient et s’embrassaient à Noël de l’année dernière pendant que nos magasins devaient être fermés et que nous devions nous cacher.
Ici on ne parle pas de Covid. Ce n’est pas le sujet. Oui, le Covid existe. Et oui, si on est gravement malade, il nous tuera. J’aimerais instamment prier ces personnes de se demander s’ils veulent encore se claquemurer pendant 12 à 18 mois avant de recevoir une injection, de tomber malades ou de mourir. Ou bien veulent-ils véritablement amorcer quelque chose et se mettre du bon côté de l’histoire ?
Un jour, on va de toute façon mourir. Vous savez, vous, moi… c’est un voyage qu’on fera tous. Je préfère être connu pour celui qui s’est levé et qui a dit « C’est faux. C’est faux. » Et en voici la raison. Et c’est ce que j’ai décidé de faire. Et si ma vie peut sauver celle de quelqu’un d’autre, quelque part, votre enfant ou votre famille ou quelqu’un de l’autre côté du monde. Alors, ma vie aura eu une valeur.
Intervieweur : Oui. Exactement. C’était aussi comme ça pour ce professeur au Nouveau-Mexique qui a dit devant ses étudiants : « Voyez, j’ai un job passionnant. J’ai été élu professeur de l’année et je n’ai aucune raison de tout laisser tomber, mais si une des femmes de cette classe peut avoir un bébé grâce à ce que je vous dis, je veux en prendre le risque. »
O’Looney : Oui, 100 % d’accord, 100 %. C’est aussi ce que j’ai vécu. Une de mes clientes qui avait eu la 1ère injection, saignait et les règles ne s’arrêtaient pas. La mère d’un autre client était devenu aveugle. Un homme pour qui j’ai organisé des funérailles avait été vacciné et il a été paralysé des hanches aux pieds. Il était donc considéré comme à risque. On lui a fait l’injection suivante et le lendemain on l’a trouvé mort dans sa maison.
Il est évident qu’il y a des lots très différents car il y a trop de différences dans les effets non-désirés. Et j’ai même vu des appels d’offres par lesquels le gouvernement souhaitait faire appel aux services de sociétés de logiciels informatiques afin d’évaluer les effets secondaires probables. Alors qu’est-ce que les gens ne voient pas ? C’est là sous nos yeux et c’est public. Mais, comme je l’ai déjà dit, ils rentrent, enlèvent les chaussures et mettent leur mot de passe pour aller sur Facebook ou Netflix. Tant que le loyer est payé et qu’ils peuvent se coucher sous un duvet bien au chaud, ça leur est égal. Mais cette fois-ci, ils ont été touchés. Ils ont paniqué et ne peuvent plus raisonner de manière logique. Leurs pensées ne sont plus claires. Et c’est une honte, vraiment. Et j’espère que les experts… j’espère que les collaborateurs du NHS [National Health System] vont sortir de leurs hôpitaux et qu’ils raconteront leur histoire, car s’ils peuvent faire le récit de ce qu’ils observent, ce sont eux qui ont la clé pour sauver tant de vies, la mienne et la leur inclues. Mais s’ils décident que leurs relevés bancaires sont plus importants que l’humanisme, ça pourrait être notre fin.
Intervieweur : Très exactement. John O’Looney, je vous remercie d’avoir accepté cet entretien, et je vous remercie de tout ce que vous faites afin de réveiller les gens.
O’Looney : Le plaisir était aussi de mon côté. Prenez soin de vous et que Dieu bénisse l’Amérique, le Japon, …
Intervieweur : Et que Dieu vous bénisse ! Merci
source : Kla.TV
Source : Reseau International
Laisser un commentaire