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Jacques Attali aurait-il des problèmes de mémoire ?

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11 févr. 2021 « Je ne prône pas un gouvernement mondial, ça n’a aucun sens. » (Jacques Attali) À propos du brevet 060606 de Bill Gates du 26 mars 2020 : • Vidéo • Vidéo Brevet officiellement consultable via ce lien : https://patentscope.wipo.int/search/e… Pour commander la Conjuration antichrétienne de Mgr Delassus et les livres de Paul-Étienne Pierrecourt : https://saint-remi.fr/fr/ Musique utilisée : • Rachmaninov : Prélude op.3 n°2 (Paul-…

Source : Youtube

archive délectable de Jacques' #attali qui parlait déjà l'air de rien de dépopulation et comment se débarrasser des inutiles et des QI inférieurs manifestement au sien ! @CaudeHenrion @AimarPhilippe @raoult_didier @idrissaberkane pic.twitter.com/Yp85NuMrvN
— pierre jovanovic ♥ (@pierrejovanovic) December 30, 2024

4 Réponse(s) à "Jacques Attali aurait-il des problèmes de mémoire ?"

Daniel22 dit :

1 janvier 2025 à 20 h 36 min

Le mage Attila dit tout et son contraire , pas étonnant qu’on est le même à l’Élysée
Ce type de détritus finira à l’asile

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volubilis dit :

1 janvier 2025 à 16 h 02 min

c’est vrai que l’idée d’être surveillé modifie le comportement ;
regardez : moi avant au supermarché après m’être assurée que dans le rayon vide personne ne regardait hé bêh tranquillement je me grattais quelque soit l’endroit où cela me démangeait . Maintenant c’est fini . J’attend d’être retournée à l’abris dans ma voiture . Imaginez un gros prurit du à un foie torchonné par les poisons imposés en psy . C’est dur d’être fliquée .

https://korii.slate.fr/tech/videosurveillance-generalisee-etre-filme-influence-comportement-mecanisme-reflexe-survie-cerveau-humain-etude

Les caméras de surveillance ont certainement un effet dissuasif sur les individus mal intentionnés qui craignent d’être pris la main dans le sac, au milieu de leur forfait, par un objectif stratégiquement placé. Mais des chercheurs ont désormais établi que ces mêmes caméras changent également le comportement des braves gens et, comme le rapporte un article publié sur le site Study Finds, aiguisent leurs sens, voire leur paranoïa.

La chercheuse Kiley Seymour, de l’Université de Technologie de Sydney en Australie, publie dans la revue Neuroscience of Consciousness le fruit de ses travaux. Elle y montre que la présence de caméras sur un lieu conditionne la capacité des individus à déceler des informations, en l’occurrence des visages connus, dans leur environnement. La surveillance change les comportements conscients, mais également l’attention que l’on porte inconsciemment au monde qui nous entoure.

Pour mettre en évidence ce phénomène, l’équipe de chercheurs a sollicité cinquante-quatre étudiants et leur a demandé d’effectuer des tâches consistant à déceler de l’information dans des images envoyées distinctement à chaque œil, des formes et des visages humains, le cerveau devant alors hiérarchiser ces informations. La moitié des sujets n’étaient pas conscients d’être observés, les autres ont été prévenus de la présence de caméras et ont même dû signer des formulaires de consentement relatifs à cette surveillance, pour pleinement ressentir le poids de cette inquisition.

«Nos participants surveillés sont devenus hyper conscients des stimuli faciaux presque une seconde plus rapidement que le groupe témoin. Cette amélioration de perception s’est également produite sans que les participants ne s’en rendent compte, explique Kiley Seymour. Nous avons établi des preuves claires que le fait d’être manifestement surveillé par des caméras impacte significativement une capacité instinctive (et non volontaire) de la perception sensorielle humaine», poursuit la chercheuse.
Stimuli sociaux et réflexes ancestraux

La conscience de la surveillance n’a pas seulement aiguisé l’attention et la concentration des sujets. En effet, lorsque l’expérience a substitué aux visages humains des formes géométriques diverses, les différences entre les deux groupes se sont estompées. C’est donc bien la capacité à identifier un visage, et donc une potentielle menace, qui devient inconsciemment plus vive lorsque l’on sent le poids de la surveillance.

Cette conscience accrue semble faire appel, selon la chercheuse, à d’anciens mécanismes de survie. Ceux-ci auraient évolué pour détecter dans ces «stimuli sociaux» des menaces potentielles dans notre environnement, comme les prédateurs et les autres humains, et ils «semblent être renforcés lorsque nous sommes surveillés par la vidéosurveillance», précise Kiley Seymour. La chercheuse insiste sur le caractère inconscient de ce mécanisme puisque, ajoute-t-elle, ce phénomène se manifeste chez des participants qui rapportaient peu d’inquiétude ou de préoccupation concernant le fait d’être surveillés.

Cet aspect devra donc entrer en ligne de compte quand il faudra évaluer la pertinence de l’installation d’un système de surveillance dans un environnement où certaines personnes présentent certains troubles de la santé mentale. Ce phénomène est en effet susceptible de détériorer des cas de psychose ou d’anxiété sociale en exerçant une pression supplémentaire avec cette présence de caméras.

La chercheuse l’admet, il est assez difficile d’expliquer pourquoi ce qu’elle voit comme un réflexe de survie ancestral se déclenche quand on se sait observé par des caméras. Est-ce que cette surveillance ressentie accroît la conscience du danger? Ou est-ce que notre cerveau a le réflexe de se dire: «Hé, on nous regarde là, essaie de montrer un peu de vivacité, ne nous mets pas la honte»? Le voila, l’héritage de nos ancêtres: éviter de se faire exterminer par des prédateurs sous l’œil de leurs contemporains qui pourraient se moquer.

Les caméras de surveillance ont certainement un effet dissuasif sur les individus mal intentionnés qui craignent d’être pris la main dans le sac, au milieu de leur forfait, par un objectif stratégiquement placé. Mais des chercheurs ont désormais établi que ces mêmes caméras changent également le comportement des braves gens et, comme le rapporte un article publié sur le site Study Finds, aiguisent leurs sens, voire leur paranoïa.

La chercheuse Kiley Seymour, de l’Université de Technologie de Sydney en Australie, publie dans la revue Neuroscience of Consciousness le fruit de ses travaux. Elle y montre que la présence de caméras sur un lieu conditionne la capacité des individus à déceler des informations, en l’occurrence des visages connus, dans leur environnement. La surveillance change les comportements conscients, mais également l’attention que l’on porte inconsciemment au monde qui nous entoure.

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Pour mettre en évidence ce phénomène, l’équipe de chercheurs a sollicité cinquante-quatre étudiants et leur a demandé d’effectuer des tâches consistant à déceler de l’information dans des images envoyées distinctement à chaque œil, des formes et des visages humains, le cerveau devant alors hiérarchiser ces informations. La moitié des sujets n’étaient pas conscients d’être observés, les autres ont été prévenus de la présence de caméras et ont même dû signer des formulaires de consentement relatifs à cette surveillance, pour pleinement ressentir le poids de cette inquisition.

«Nos participants surveillés sont devenus hyper conscients des stimuli faciaux presque une seconde plus rapidement que le groupe témoin. Cette amélioration de perception s’est également produite sans que les participants ne s’en rendent compte, explique Kiley Seymour. Nous avons établi des preuves claires que le fait d’être manifestement surveillé par des caméras impacte significativement une capacité instinctive (et non volontaire) de la perception sensorielle humaine», poursuit la chercheuse.
Stimuli sociaux et réflexes ancestraux

La conscience de la surveillance n’a pas seulement aiguisé l’attention et la concentration des sujets. En effet, lorsque l’expérience a substitué aux visages humains des formes géométriques diverses, les différences entre les deux groupes se sont estompées. C’est donc bien la capacité à identifier un visage, et donc une potentielle menace, qui devient inconsciemment plus vive lorsque l’on sent le poids de la surveillance.

Cette conscience accrue semble faire appel, selon la chercheuse, à d’anciens mécanismes de survie. Ceux-ci auraient évolué pour détecter dans ces «stimuli sociaux» des menaces potentielles dans notre environnement, comme les prédateurs et les autres humains, et ils «semblent être renforcés lorsque nous sommes surveillés par la vidéosurveillance», précise Kiley Seymour. La chercheuse insiste sur le caractère inconscient de ce mécanisme puisque, ajoute-t-elle, ce phénomène se manifeste chez des participants qui rapportaient peu d’inquiétude ou de préoccupation concernant le fait d’être surveillés.

Cet aspect devra donc entrer en ligne de compte quand il faudra évaluer la pertinence de l’installation d’un système de surveillance dans un environnement où certaines personnes présentent certains troubles de la santé mentale. Ce phénomène est en effet susceptible de détériorer des cas de psychose ou d’anxiété sociale en exerçant une pression supplémentaire avec cette présence de caméras.

La chercheuse l’admet, il est assez difficile d’expliquer pourquoi ce qu’elle voit comme un réflexe de survie ancestral se déclenche quand on se sait observé par des caméras. Est-ce que cette surveillance ressentie accroît la conscience du danger? Ou est-ce que notre cerveau a le réflexe de se dire: «Hé, on nous regarde là, essaie de montrer un peu de vivacité, ne nous mets pas la honte»? Le voila, l’héritage de nos ancêtres: éviter de se faire exterminer par des prédateurs sous l’œil de leurs contemporains qui pourraient se moquer.

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jean-pierre s 82 dit :

1 janvier 2025 à 15 h 58 min

Hier après-midi, « sable du Sahara » sur mon parebrise…
Mal de gorge, mes voisins aussi…

Jusqu’aux US !

DERNIÈRE HEURE; C’EST PLUS EFFRAYANT QU’ON LE PENSAIT;DU BROUILLARD PARTOUT ET DRONES AUSSI :
https://crowdbunker.com/v/wyQaUtjysJ
( voir les commentaires )

jp

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Michel numéro un dit :

1 janvier 2025 à 9 h 54 min

Ces parasites sociaux continueront à vous prendre pour des cons si vous vous laissez faire…

2025 doit être l’année du grand ménage.

https://reseauinternational.net/il-ny-a-jamais-eu-de-crises-cest-un-systeme/

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