Ivermectin. Une scientifique de l’OMS risque la peine de mort
L’Inde pourrait être le premier pays à poursuivre en justice un scientifique de l’OMS pour avoir déconseillé l’Ivermectine contre Covd-19. L’association du barreau de l’Inde a entamé une procédure.
Le 25 mai, l’Indian Bar Association (IBA) a intenté une action en justice contre le Dr Soumya Swaminathan, scientifique en chef de l’OMS, l’accusant d’avoir causé la mort de citoyens indiens en les trompant sur l’ivermectine.
La scientifique de l’OMS est accusée d’avoir commis un tweet trompeur le 10 mai 2021 contre l’utilisation de l’ivermectine qui a eu pour effet que l’État du Tamil Nadu a retiré l’ivermectine du protocole le 11 lendemain. Il venait juste de déclarer ce traitement efficace contre Covid-19.
Si le Dr Soumya Swaminathan est déclarée coupable, alors elle pourrait être condamnée à la mort ou à la prison à vie.
L’avocate Dipali Ojha, principale avocate de l’Association du barreau indien, a menacé de poursuites pénales le Dr Swaminathan « pour chaque décès » causé par ses actes de commission et d’omission. Le mémoire accusait le Dr Swaminathan d’avoir commis une faute en utilisant sa position d’autorité sanitaire pour servir les intérêts particuliers de la lucrative industrie des vaccins.
L’ivermectine est un médicament bon marché qui est prescrit comme antiparasitaire. Il a gagné en popularité pour la prévention de la covid-19. L’OMS et la FDA n’approuvent pas l’ivermectine mais de nombreux médecins et scientifiques pensent qu’elle est efficace. Certains affirment que les États indiens qui ont utilisé l’ivermectine ont obtenu de bien meilleurs résultats et beaucoup moins de décès dus à la covid que les États indiens qui n’ont pas utilisé l’ivermectine.
Dans les régions de Delhi, de l’Uttar Pradesh, de l’Uttarakhand et de Goa les cas ont chuté respectivement de 98 %, 97 %, 94 % et 86 %. En revanche, le Tamil Nadu qui a choisi de ne pas utiliser l’ivermectine, le nombre de cas a explosé et est devenu le plus élevé de l’Inde. Les décès au Tamil Nadu ont été multipliés par dix.
Dans un test portant sur plus de 4 000 personnes en Inde (plus de 3 000 ont pris de l’ivermectine) et plus de 1 000 n’en ont pas pris. Les résultats ont montré que 2 % des personnes ayant pris de l’ivermectine avaient une covid confirmée par un test PCR et que 11,7 % des personnes n’ayant pas pris d’ivermectine avaient une covid confirmée par un test PCR.
Les accusations spécifiques incluent la conduite d’une campagne de désinformation contre l’ivermectine et la publication de déclarations dans les médias sociaux et grand public pour influencer à tort le public contre l’utilisation de l’ivermectine malgré l’existence de grandes quantités de données cliniques montrant sa profonde efficacité dans la prévention et le traitement de la covid-19.
Campagne de désinformation de l’OMS ?
TrialSite a des preuves que l’OMS supprime des données importantes relatives au traitement de Covid19. Récemment, elle publié un rapport sur l’effort local important de l’opération de santé publique dans l’Uttar Pradesh mais a omis le fait fondamental, que l’ivermectine est en fait largement utilisée dans le cadre de l’initiative. Pourquoi l’OMS se donnerait-elle tant de mal pour supprimer cette information importante, c’est-à-dire un traitement qui fonctionne réellement ? Quel type de programme cette organisation a-t-elle adopté lorsqu’elle semble utiliser la désinformation pour tromper et perturber les nations cherchant à maîtriser cette pandémie ? Cette récente action en justice en Inde est-elle simplement un geste symbolique ou représente-t-elle le signe avant-coureur d’autres actions en justice à venir ? », se demande TriaSite.
Source : L’Observateur
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