Isabelle, 58 ans, est morte dans sa voiture, 25.000 clandestins dorment à l’hôtel
Non ! Ce n’est pas seulement un drame de la misère qui touche le Fenouiller, village de 4700 habitants en Vendée.
C’est surtout un drame de l’injustice sociale qui règne dans ce pays depuis des années, un pays qui a fait de la préférence étrangère une priorité scandaleuse, au détriment des natifs.
Isabelle, cette femme de 58 ans, 31 kg, malade et sans emploi, et qui est décédée mardi soir, dormait dans sa voiture avec son compagnon, tous deux abandonnés de tous, sans soins et dans le dénuement le plus complet.
Qui lui est venu en aide ? Où étaient les assistantes sociales ? Où étaient les associations qui défendent le droit au logement et aident des dizaines de milliers de sans-papiers ? Où étaient les services sociaux de la mairie ?
Car je rappelle que pendant que des milliers de Français dorment sous les ponts ou dans leur voiture, le gouvernement loge chaque soir 25 000 clandestins à l’hôtel (chiffres du ministère de l’Intérieur). Mais 140 000 SDF sont abandonnés.
Je rappelle aussi que le gouvernement soigne chaque année 300 000 sans papiers, alors que cinq millions de Français n’ont pas de mutuelle et que près de la moitié d’entre eux ont déjà différé leurs soins faute de moyens.
La tragédie du Fenouiller, c’est le résultat de notre politique d’immigration démentielle, qui engloutit la totalité des aides sociales et monopolise toutes les énergies du pays pour accueillir des dizaines de milliers de migrants, pendant que nos propres ressortissants les plus pauvres sont abandonnés.
La France est ruinée par l’immigration et n’a plus d’argent pour venir au secours de ses propres SDF. Telle est la sinistre vérité que le gouvernement nous cache.
Les départements ont dépensé en 2017 des sommes colossales pour accueillir 25 000 mineurs isolés, dont les 2/3 sont des faux mineurs. A 50 000 euros le mineur isolé, c’est un budget de 1,250 milliard que le contribuable a déboursé. Et en 2018, le nombre de mineurs isolés a encore explosé !
Pour les migrants, il y a toujours plus d’argent, toujours plus de moyens, toujours plus d’associations, mobilisées par les autorités pour accueillir, loger, soigner, éduquer, encadrer toute la misère du monde.
Mais pour Isabelle et son compagnon, pour soulager la détresse des natifs tombés au fond du trou, il n’y a ni argent, ni associations venant à leur secours. L’humanitaire, c’est à la gueule du client.
Cette compassion à l’égard des clandestins n’a d’égale que l’indifférence des autorités envers les natifs qui ont sombré dans la misère, victimes des aléas de la vie.
C’est tout simplement révoltant, inhumain, pour ne pas dire criminel !
Dans la France de Macron, on accueille toute la misère du monde, mais on laisse mourir nos SDF.
Car le cas d’Isabelle est loin d’être un cas isolé.
En 2016, on estime que 2749 SDF sont morts dans la rue.
La compassion va aux migrants morts en Méditerranée, mais qui se soucie des SDF morts dans la rue ou dans un squat ? Il en meurt chaque jour.
S’il y avait une politique d’aide aux SDF digne de ce nom, comme il y a une politique d’accueil des migrants, jamais Isabelle ne serait morte dans la détresse la plus totale.
Nous avons en France 14 % de pauvres, 9 millions de déshérités qu’on laisse crever. Des petits retraités, des paysans aux abois, des chômeurs en fin de droits, mais aussi des jeunes, qui essaient de survivre dans des conditions tragiques, pendant qu’on débloque 50 000 euros et qu’on mobilise toute une armée de personnels pour encadrer un seul mineur isolé !
C’est tout simplement ignoble. Car 50 000 euros, c’est 10 années de travail d’un petit paysan, qui trime 15 h par jour, 365 jours par an et n’a pas les moyens d’envoyer ses enfants en vacances.
Un clandestin, c’est un hors-la-loi totalement à charge. Alors qu’un paysan, c’est un travailleur qui nourrit 50 personnes. Et nos élus n’ont que le mot « justice sociale » à la bouche ! Quelle escroquerie !
La mobilisation générale, du sommet de l’État au plus petit village de campagne, c’est réservé aux migrants. Les natifs sont les grands oubliés du Système.
Avec l’immigration de masse, la France est devenue un contre-modèle de justice sociale, où un clandestin hors-la-loi a plus de droits qu’un natif.
L’État et tous ceux qui le représentent sont donc responsables et coupables de la mort tragique d’Isabelle. Ils n’ont aucune excuse.
La France des Trente Glorieuses était un modèle économique unique au monde. Enseignement, services publics, système de santé et modèle social étaient des références.
Forte croissance, plein emploi et sécurité totale étaient le lot quotidien des Français. Nous avions éradiqué les bidonvilles de l’après-guerre et la misère.
De tout cela, il ne reste qu’un champ de ruines. Surendettée et disloquée par les communautarismes, ravagée par l’idéologie mondialiste, la France va devenir un pays du tiers-monde, ruinée par l’immigration.
Source : Revue de presse-Peuple de France
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