France cherche Jeanne… Désespérément
L’un de nos fidèle lecteur que nous remercions vivement nous adresse un « Avis de recherche » que nous partageons avec vous :
Jeanne D’Arc l’héroïne envoyée de Dieu. Figure emblématique de la résistance armée de la France ravagée par les soldats anglais et menacée de disparition au seuil de son Histoire par l’inconsistance d’un souverain peu enclin à affronter la violence de son temps.
Aujourd’hui, certes on ne trouve plus de bandes de soudards, lâchées dans nos campagnes pour y pratiquer le pillage, le viol et les tueries qui vont avec. Mais notre pays est pourtant une fois encore en grand danger.
L’homme qui le dirige est l’allié inféodé de nos amis anglo-saxons qui sapent systématiquement tous nos pôles d’excellence pour s’en emparer ou les anéantir. Scientifiques, industriels, commerciaux, militaires, culturels, identitaires et sociétaux. La France et sa part de civilisation doivent s’effacer devant le monde 2.0 concocté à Davos ou ailleurs: au sein du groupe Bilderberg, dans les sénacles des actionnaires dominants de pieuvres économiques avides de contrôle et de possession tels Vanguard ou Blackrock, qui s’emparent de tout ce qui leur tombe sous la main, ou qui vont le chercher quand ça ne va pas assez vite. Vous n’avez pas oublié l’épisode des Retraites de ce printemps, précédé fin 2022 par plusieurs visites de Larry Fink, président de Blackrock au palais de l’Elysée… N’oublions pas non plus Maui et ses destructions incendiaires ciblées sur les biens de ceux qui ne font pas partie des prédateurs du Monde.
Après les plandémies et leur cortège d’humiliations collectives au mèpris total de toutes les Constitutions démocratiques et de tous les Traités internationaux dûment ratifiés sur la protection des individus, de leur liberté de parole, de pensée et de déplacement, vient aujourd’hui le temps des Interdits formels et ouvertement assumés. Interdit de contredire le discours dominant sur les sujets en cours de traitement médiatique.
Obéissance contrôlée
Dans des pays anciennement démocratiques comme ceux d’Europe de l’Ouest, la chape totalitaire se heurte par nature à la puissance des grands corps institutionnels et de ceux qui les font vivre. Justice, Police, Opposition politique, Institutions de contrôle du pouvoir éxécutif et d’une façon générale tous les grands corps de Services Publics, de l’Enseignement et la Recherche à la Poste et l’Energie en passant par la Santé et l’Information. Depuis trois quinqennats, ils sont tous attaqués frontalement. Par des baisses de crédits de fonctionnement ou des nominations pro domo aux postes stratégiques, très éloignées des profils de compétence requises -et ou- de ceux de serviteurs de l’Etat. Par des modifications de libellés législatifs pris « à la marge » d’autres dossiers et votés comme un seul homme par des majorités aveugles, complices ou corrompues. Mettant peu à peu en porte-à- faux tous ceux qui, dans le cadre légal -ou constitutionnel- de l’exercice de leurs fonctions, s’opposent aux décisions arbitraires du pouvoir ou qui simplement, ne le servent pas.
Ils sont légions maintenant, scientifiques, médecins, infirmiers soignants, militaires, policiers, fonctionnaires a avoir démissionné, ou été « débarqués », privés d’emploi, harcelés, intimidés, jusqu’au suicide. Ce sont tous des Résistants. Ils ont tous fait ce sacrifice pour la France telle qu’ils s’étaient engagés à la servir. Honneur à eux.
La démocratie directe, n’a jamais existé en France stricto sensu. Elle n’est que représentative. Sauf lors des épisodes référendaires. Trés ponctuels et soigneusement écartés désormais, depuis le « Non » au Traité Constitutionnel Européen. Nicolas Sarkoszy, s’est empressé de contourner ce « non » gênant une fois élu, par un vote « représentatif » des députés, qui se sont bien alors exprimés contre la volonté du Peuple. Depuis, il est acté que nous sommes dans une démocratie réprésentative, ou les citoyens ne sont plus représentés. C’est-à-dire une République Bananière. Où l’obéissance au pouvoir est devenue la seule règle, qui s’accomode des abus de pouvoir, des intimidations et de la corruption.
Il ya eu la guerre en Ukraine avec le ralliement obligatoire derrière les chevaliers blancs de la démocratie façon Zélinsky – CIA. Prêts à faire comparaître Poutine pour crime de guerre pour une tuerie de village, mise en scène et filmée par les Bandéristes de l’armée ukrainienne. Mais relégant au rang de dommages collatéraux les centaines de milliers de civils irakiens anéantis sous les
bombes, pour une fiole agitée aux Nations-Unies.
A présent, c’est la saison du climat. Au nom du GIEC et de Greta Thunberg on distille un faux
discours scientifique depuis l’ensemble du monde médiatique jusqu’à l’école et on ferme la porte au nez de tous ceux qui dénoncent l’imposture de cette doxa climatique. Dernier épisode en date, l’annulation sommaire à la dernière minute du séminaire sur les modèles climatiques que le physicien américain John Clauser, prix Nobel de physique 2022, pour ses recherches en mécanique quantique touchant aussi au climat, avait été invité à présenter devant le FMI en tant que détracteur. John Clauser dénonce l’imposture de l’urgence climatique et de ses dangereuses dérives anti- démocratiques et anti-économiques. Il qualifie les experts du GIEC comme l’une « des pires sources de désinformation « . Depuis 1998, avec deux autres éminents physiciens, le professeur Robert Laughin, rejoint en 2008 sur la thématique du climat par le Norvégien Ivar Giaever, il est le troisième Nobel scientifique a dénoncer « une science climatique mal orientée, métastasée en une pseudoscience journalistique massive ». Ils sont 1500 climatologues, réunis dans un collectif international, des « climato réalistes » à s’opposer au discours dominant.
Et enfin, dans la perspective de la rentrée, le Covid repointe le bout de son nez et sera bientôt de retour avec son cortège de nouvelles contraintes et de restrictions des droits. Et puis, il faut bien écouler les stocks de vaccins.
L’idéologie du désastre
Avec ça on est tellement occupé, qu’on en oublie de demander des comptes à ceux qui nous dirigent et nous envoient tout droit en Enfer, après avoir fait table rase de notre pays tout en affirmant le réindustrialiser… La part du PIB de l’industrie manufacturière française est aujourd’hui de moins de 10%, pas loin du Tiers Monde. Consolation, en Europe, Chypre, la Grèce et le Monténégro, font encore moins bien que nous. Elément de compétitivité essentiel, nous produisons encore l’électricité la moins chère d’Europe. Mais le gouvernement refuse -sans explication cohérente- de sortir de l’accord européen non contraignant sur le prix du gaz, comme l’ont fait l’Espagne et le Portugal. Cet accord qui aligne le prix de l’énergie sur celui du gaz qu’importe l’Europe, nous oblige de façon totalement arbitraire à vendre notre électricité à son prix de production pour la racheter au prix fixé en fonction de celui du gaz pour gommer tout avantage de compétitivité. C’est cher, très cher pour les ménages (plus 25% en 2023) et pour notre appareil productif. Surtout depuis la destruction du gazoduc Nordstream 2 dont nous étions actionnaires à hauteur de 10%, par les bons services américains tellement désireux de couper l’Europe des ressources russes et de couler aussi le potentiel industriel allemand, qu’ils n’ont pas reculé devant un acte de guerre ( ou de terrorisme) à l’encontre de leurs fidèles alliés et amis. Pour Loïk Le Floch-Prigent, invité sur ce thème au début du mois d’Août sur Sud Radio, nos industries, sont plombées par ce fardeau absurde qui fait monter la pression sur l’alternative: disparaître ou quitter la France. Belle entamme de réindustrialisation… Mais au passage entre le prix de vente et celui de rachat de notre électricité. Qui s’enrichit sur notre dos, celui d’EDF et de nos industriels ?
Cette lamentable gestion euro-idéologique, risque quand même de finir en déroute totale avec l’affaire du Niger. Le principal pourvoyeur d’uranium de nos centrales nucléaires. On était pourtant sur le point d’aller faire le coup de la cannonière pour casser du Russe Wagnérien du côté de Niamey, quand, patatras, les américains n’étaient pas avec nous! Mais bel et bien assis à la table des putschistes en la personne de Victoria Nulland ( la même qui a amené Zelinsky au pouvoir en Ukraine avec la très démocratique révolution Orange) pour parler business et investissement. Si on ajoute les Russes, les Chinois, les Turcs et les Indiens déjà sur les rangs, pas sûr que notre brillante diplomatie réussisse à redresser la situation, pour le moins mal engagée. Aurons nous encore un peu d’uranium pour alimenter nos centrales, sauf à le racheter aux américains ? Le prix sera sans doute tout à fait sur mesure, comme celui du gaz de schiste qu’ils nous fournissent au compte goutte et au prix fort pour « compenser » la perte du gaz russe. Mais, qui donc a eu la brillante initiative d’arrêter le projet de surgénérateur, qui allait permettre de recycler le combustible nucléaire et faire tourner nos centrales en presque autonomie ?
Au Niger en tout cas, le limogeage du chef de nos services de Renseignements n’aura servi à rien. Il
a servi de fusible pour le putsch , mais qui va-t-on virer pour la trahison « imprévue » des américains ? Pour les amateurs d’Histoire, espèce en voie d’extinction, il y a longtemps déjà Henry Kissinger ancien secrétaire d’Etat des USA, nous avait averti : « Être l’ennemi des Etats-Unis, c’est dangereux, être leur ami, c’est fatal ». Pour y voir, il ne faut pas fermer les yeux. Et pour entendre, il faut ne faut pas se boucher les oreilles. C’est mieux.
Opposition, représentativité zéro
En temps normal, dans une démocratie représentative normale, il y a des contre pouvoirs institutionnels. Au rang desquels bien sûr l’Assemblée Nationale avec ses 577 députés, censés porter les lois et assurer la représentativité du Peuple français, y compris dans l’opposition au gouvernement. Leur devoir premier est d’exprimer une conviction et un vote aussi proche que possible de la ligne de leur mandat électif et ce, bien avant de se soumettre à la discipline de groupe, qui confisque une part de la représentativité au bénéfice de l’expression politique des partis.Mais ce n’est que rarement le cas. La logique des blocs l’emporte sur l’électeur, qui est le premier perdant. Et on en arrive au petit miracle de la présente législature – si on peut encore lui donner ce nom- le gouvernement privé de majorité par le vote des citoyens, fait adopter tous ses textes, toutes ses réformes, même les plus contestées dans la rue, par la grâce des majorités relatives -qui s’achètent en promesses de soutiens électoraux- et d’un déluge de « 49-3 », où personne ne va jamais jusqu’au bout de la censure. Les blocs, disciplinés, se complaisant dans leur guéguerre de mots , d’invectives et de postures, plutôt que de réaliser leur majorité d’opposition voulue par leurs électeurs. S’il est plus important pour ces gens là de ne pas mélanger leurs voix avec celles de l’opposant d’en face, que de faire tomber un gouvernement avec qui ils ne partagent rien, il faudra bien en tirer les leçons et leur rendre la monnaie de leur pièce dans l’isoloir. De la crise du covid à l’urgence climatique, en passant par la guerre en Ukraine et l’irruption dans l’Enseignement du wokisme et des délires inclusifs variés et divers qui détruisent la langue et la culture qui va avec, on ne voit guère de têtes rebelles dépasser pour crier « halte ». Le « Pas de vagues » a bien débordé du cadre de l’Education Nationale. Celà explique sans doute aussi pourquoi personne n’interpelle jamais le gouvernement, ni sur ses dérives totalitaires, ni sur ses options géopolitiques et diplomatiques catastrophiques servant les intérêts de puissances étrangères, ni sur sa gestion industrielle et économique destructrice asservissant les générations futures sous une dette abyssale, sans les ressources industrielles pour l’honorer. C’est-à-dire, qu’il condamne les plus jeunes à perdre la propriété de leur pays. Quelle fierté, que d’être député de l’opposition !
Indignez-vous !
Alors , pour en revenir à Jeanne d’Arc, dans une telle débâcle historique pour notre peuple, j’apprécierai d’en voir émerger une: homme ou femme.
Il fut un temps où en dépit des moqueries, les sympathisans du Front National, puis du Rassemblement National, lui rendaient hommage sur les places au mois de mai. Rappelons que la mission de Jeanne d’Arc était de « bouter l’Anglois hors de France. »… Pas les Sarrazins, dont le sort en Europe avait été scellé sous les murs de Toulouse le 9 juin 721. Peut-être serait-il opportun de le rappeller à tous ceux qui visent le pouvoir en se gardant soigeusement de se préoccuper de l’immédiatement essentiel: la dérive inquisitoriale et technocratique d’un pouvoir au service d’intérêts privés et d’objectifs supranationaux contraires à ceux des Français. L’essentiel pour un prétendant au pouvoir ne consiste sûrement pas à plaire à ceux qui nous détruisent. Je ne parle là, ni des banlieues, ni des islamistes, qui n’en n’ont guére à ce jour les moyens en dépit du tort qu’ils nous font.
De toute façons, parler d’arrêt de l’immigration, sous la double tutelle de l’Europe et de l’Otan, est du même niveau de réalisme que de prétendre réindustrialiser la France sans quitter l’accord énergétique européen. Qu’envisagent-ils par exemple concernant l’Open Society de Monsieur Georges Soros et de son fils, qui noie littéralement le vieux continent sous un flot d’immigrés pour assurer sa déstabilisation ? Une immigration de conquête, qui n’existerait pas dans ces proportions sans l’appui d’une telle structure et de son armée de lobbyistes qui inonde le Parlement de Bruxelles.
Jeanne d’Arc n’est malheureusement ni au Rassemblement National, ni à Reconquête.
Dans ce désert pavé de silences politiques, comme un boomerang qui n’a pas atteint sa cible,
l’injonction de feu Stéphane Hessel, Compagnon de la Libération, nous revient de plein fouet : « Indignez-vous »!!!
Valmy
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