Flashball, les ravages d’une arme

Depuis 2008, Mediapart enquête sur la dangerosité de cette arme. Nos articles sont rassemblés ici.

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Tir mortel de Flash-Ball: «Il fallait annuler cette menace»

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Dix-huit mois de prison avec sursis ont été requis le 27 janvier 2017 contre Xavier Crubezy, le policier qui en 2010 avait tué Mustapha Ziani par un tir de Flash-Ball dans un foyer de travailleurs étrangers à Marseille. Le sous-brigadier a plaidé la légitime défense, alors qu’il faisait face à un homme affaibli, armé d’un mug et d’un verre.

 

«Aucun blessé, zéro incidence», affirme un policier jugé après un tir de Flash-Ball

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Devant le tribunal de Bobigny, lundi 21 novembre 2016, règne une vraie tension entre les soutiens de Joachim Gatti, rassemblés dans le Collectif 8 juillet, et les policiers venus soutenir leurs trois collègues jugés. © Louise Fessard. Devant le tribunal de Bobigny, lundi 21 novembre 2016, règne une vraie tension entre les soutiens de Joachim Gatti, rassemblés dans le Collectif 8 juillet, et les policiers venus soutenir leurs trois collègues jugés. © Louise Fessard.

Montreuil, le 8 juillet 2009 : six tirs de Flash-Ball, six blessés dont Joachim Gatti, éborgné. Mais les trois policiers qui comparaissent depuis lundi 21 novembre 2016 devant le tribunal correctionnel de Bobigny assurent avoir agi en situation de légitime défense et n’avoir vu aucun de ces blessés.

 

Après un tir mortel de Flash-Ball, le policier échappe aux assises

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La cour d’appel d’Aix-en-Provence a décidé le 28 octobre 2015 de renvoyer un policier marseillais, auteur d’un tir de Flash-Ball mortel, devant le tribunal correctionnel de Marseille pour homicide involontaire, et non devant les assises comme réclamé par le parquet général.

 

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