Fausse science, données invalides : Il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé ». Il n’y a pas de pandémie.
Partie II
Cet article en français a été publié initialement le 4 décembre 2021. La publication en anglais le 23 novembre 2021.
Partie 1 : La pandémie Covid-19 n’existe pas, le 16 novembre 2021.
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« Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade ».
Dr. Kary Mullis, lauréate du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédée en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces tests positifs pourrait être due à ce qu’on appelle des tests de faux positifs. »
Dr. Michael Yeadon : ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est employée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives comme la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels…, sous prétexte d’une pandémie qui se base sur un nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre de malades réels.
Dr. Pascal Sacré, médecin belge spécialisé dans les soins intensifs et analyste de santé publique de renom.
Pour lire la PARTIE I de cet article, cliquez sur le lien ci-dessous
La pandémie de Covid-19 n’existe pas
Par le professeur Michel Chossudovsky, 15 novembre 2021
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Introduction
Les mensonges médiatiques associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue ont véhiculé l’image d’un virus mortel [killer virus] qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.
Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et re-testées) pour la Covid-19.
Au moment d’écrire ces lignes, environ 260 millions de personnes dans le monde ont été classées comme des « cas confirmés de Covid-19 ». La présumée pandémie aurait causé plus de 5 millions de décès liés à la Covid-19.
Les deux séries de données : la morbidité et la mortalité sont fabriquées. Un appareil de dépistage de la Covid très bien organisé (dont une partie est financée par les fondations milliardaires) a été mis en place en vue d’augmenter le nombre de « cas confirmés de Covid-19″, qui sont ensuite utilisés comme justification pour imposer le passeport « vaccinal »parallèlement à l’abrogation des droits fondamentaux de la personnes.
Un soi-disant « Suivi de la propagation mondiale du COVID-19 » [“Global Tracker System” ] a été établi avec une carte interactive indiquant les tendances mondiales et nationales et les tendances hebdomadaires.
Une quatrième vague [et cinquième vague] a été annoncée. Les chiffres invalides relatifs au Covid-19 sont sont régulièrement publiés dans les médias.
Pendant ce temps, les médias et les gouvernements ont fermé les yeux sur la tendance à la hausse des décès dus au vaccin contre la Covid-19 et des effets indésirables, qui sont confirmés par les organismes gouvernementaux « officiels ». (Voir ci-dessous)
TOTAL pour l’UE/Royaume-Uni/États-Unis
45 250 décès liés à l’injection de Covid-19, 7 418 980 blessures [injuries]
Base de données EudraVigilance, système de carton jaune MHRA. Base de données VAERS.
Le test de réaction en chaîne de la polymérase à transcription inverse (RT-PCR)
La méthodologie oblique appliquée sous les directives de l’OMS pour détecter la présumée propagation du virus est le test de réaction en chaîne de la polymérase (RT-PCR), qui est couramment appliqué dans le monde entier.
Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de faux « cas confirmés de Covid-19 », qui sont ensuite utilisés pour créer l’illusion que la présumée pandémie est réelle.
Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des 20 derniers mois pour mener et soutenir la campagne de peur.
Et les gens sont maintenant amenés à croire que le « vaccin » Covid-19 est la « solution ». Et cette « normalité » sera rétablie une fois que toute la population du Monde entier aura été vaccinée.
« Confirmé » est un terme erroné : un « cas positif RT-PCR confirmé » n’implique pas un « cas confirmé de Covid-19 ».
La RT-PCR positive n’est pas synonyme de maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR indiquent clairement qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité] (Dr. Pascal Sacré)
La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à classer tous les cas positifs avec le test RT-PCR, comme « cas confirmés de Covid-19 » (avec ou sans diagnostic médical). Ironiquement, ce processus de routine d’identification des « cas confirmés » est en dérogation aux propres lignes directrices des CDC :
« La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que 2019-nCoV est l’agent pathogène des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour surveiller le traitement de l’infection par le nCoV en 2019. Ce test ne peut exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux. » (soulignement ajouté)
Dans cet article, nous présenterons des preuves détaillées démontrant que la méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est imparfaite et invalide.
1. Faux positifs
Le débat précédent au début de la crise s’est concentré sur la question des « faux positifs ».
Reconnu par l’OMS et les CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. Selon le Dr. Pascal Sacré :
« Aujourd’hui, à mesure que les autorités testent plus de personnes, il y aura forcément plus de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que la COVID-19 revient ou que l’épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout. »
Le débat sur les faux positifs (reconnu par les autorités sanitaires) fait état de soi-disant erreurs sans nécessairement remettre en question la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détecter la propagation présumée du virus CoV-SARS-2.
2. Le PCR-Test ne détecte pas l’identité du virus
Le test RT-PCR n’identifie pas/détecte le virus. Ce que le test PCR identifie, ce sont des fragments génétiques de nombreux virus (y compris les virus grippaux de type A et B, et les coronavirus qui déclenchent des rhumes).
Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas « confirmer » si une personne qui fait le test est infectée par le virus de la Covid-19.
Selon le Dr. Kary Mullis, inventeur de la technique PCR : « La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie d’un virus lui-même. » Selon le célèbre immunologue suisse Dr B. Stadler
Donc, si nous faisons un test Corona PCR sur une personne immunitaire, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais un petit. segment fragmenté du génome viral. Le test est positif tant qu’il reste de petits fragments du virus. Même si les virus infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie la moindre fraction du matériel génétique viral, suffisamment [pour être détectée].
Dr. Pascal Sacré est du même avis : « Ces tests détectent les particules virales, les séquences génétiques, pas le virus entier. »
Afin de tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois par de nombreuses étapes complexes sujettes à des erreurs, à des erreurs de stérilité et à une contamination.
3. Le « test » RT-PCR Covid-19 « personnalisé » de l’OMS
Deux questions importantes et connexes.
Le test PCR n’identifie pas le virus comme indiqué ci-dessus. En outre, l’OMS en janvier 2020 ne possédait pas d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCov.
Ce qui a été envisagé en janvier 2020 était une « adaptation » du test PCR par l’OMS, sous la direction scientifique de l’Institut de virologie de Berlin de l’Hôpital Charité.
Dr. Christian Drosten et ses collègues de l’Institut de virologie de Berlin ont entrepris une étude intitulée « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel ».
Le titre de l’étude de l’Institut de virologie de Berlin est évidemment un terme erroné. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus de 2019. (Voir Dr. Kary Mullis, Dr. B. Stadler, Dr. Pascal Sacré cité dans la section 2).
En outre, l’étude, publiée par Eurosurveillance, reconnaît que l’OMS n’a pas possédé d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCov :
[Bien que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été publiées,… les isolats de virus ou les échantillons [de 2019-nCoV] de patients infectés n’étaient pas disponibles… »
L’équipe de Drosten et al. a ensuite recommandé à l’OMS qu’en l’absence d’un isolat du virus 2019-nCoV, un CoV-SRAS 2003 similaire soit utilisé comme « proxy » [indicateur] du nouveau virus :
« Les séquences génomiques suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’une espèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].
Nous présentons un rapport sur l’établissement et la validation d’un flux de travail diagnostique pour le dépistage et la confirmation spécifique du 2019-nCoV [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons originaux de patients. La conception et la validation ont été rendues possibles par l’étroite relation génétique avec le CoV-SRAS de 2003, et facilitées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. » (Eurosurveillance, 23 janvier 2020, soulignement ajouté).
Ce que cette déclaration ambiguë suggère, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les « cas confirmés de Covid-19 » (alias infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par « l’étroite relation génétique avec le CoV-SARS 2003 ».
Cela signifie qu’un coronavirus détecté il y a 19 ans (2003-SARS-CoV) est utilisé pour « valider » l’identité d’un soi-disant « nouveau coronavirus » détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei à la fin décembre de 2019.
Les recommandations de l’étude Drosten (généreusement soutenue et financée par la Fondation Gates) ont ensuite été transmises à l’OMS. Ils ont ensuite été approuvés par le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom.
L’OMS n’avait pas en sa possession « l’isolat de virus » nécessaire pour identifier le virus. Il a été décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire.
L’article de Drosten et al concernant l’utilisation du test RT-PCR dans le monde entier (sous la direction de l’OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020 par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et al. internationaux.
Il va de soi que si le test PCR utilise le virus du CoV-SRAS de 2003 comme « point de référence », il ne peut y avoir de cas de Covid-19 « confirmés » résultant du nouveau virus 2019-nCoV, rebaptisé ultérieurement SARS-CoV-2.
4. L’identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ?
Bien que l’OMS ne possédait pas d’isolat du virus, existe-t-il des preuves valides et fiables que le nouveau coronavirus de 2019 avait été isolé d’un « échantillon altéré prélevé sur un patient malade » ?
Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu’ »un « nouveau type de virus » avait été « identifié » « semblable à celui associé au SRAS et au SRMO » (rapport connexe, pas de source originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente adoptée par l’équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous :
Nous avons recueilli et analysé prospectivement des données sur les patients atteints d’une infection au nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de prochaine génération.
Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données normalisés partagés par l’OMS et l’International Severe Acute Respiratory and Emerging Infection Consortium à partir de dossiers médicaux électroniques. (soulignement ajouté)
L’étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d’autres documents consultés) suggèrent que les autorités sanitaires chinoises n’ont pas entrepris d’isolement / purification de l’échantillon d’un patient.
L’utilisation de « l’infection au nCoV 2019 confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel » est une erreur évidente, c’est-à-dire que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus (voir section 2 ci-dessus). L’isolat du virus par les autorités chinoises n’est pas confirmé.
Liberté d’information concernant l’isolement du CoV-2 du SRAS
Un projet d’enquête détaillé de Christine Massey, intitulé : Demandes d’accès à l’information : Health/Science Institutions Worldwide « Have No Record » of SARS-COV-2 Isolation/Purification, fournit de la documentation concernant l’identité du virus. [Voir en français : Le virus inexistant ; une interview explosive de Christine Massey]
Les demandes d’accès à l’information (FOI) ont été envoyées à quatre-vingt-dix institutions de santé / sciences dans un grand nombre de pays.
Les réponses à ces demandes confirment qu’il n’y a aucun dossier d’isolement / purification du CoV-2 du SRAS « ayant été effectué par qui que ce soit, n’importe où, jamais ».
« Les 90 établissements de santé et de sciences qui ont répondu jusqu’à présent ont fourni et/ou cité, au total, zéro de ces enregistrements :
Nos demandes [au titre de la « liberté d’information »] n’ont pas été limitées aux dossiers d’isolement réalisés par l’institution concernée, ni aux dossiers rédigés par l’institution concernée, mais elles étaient ouvertes à tout dossier décrivant l’isolement/la purification du « virus COVID-19 » (alias « SRAS-COV-2″) réalisé par quiconque, jamais, dans le monde entier. »
Voir aussi : 90 institutions de santé et de sciences dans le monde entier n’ont pas réussi à citer même 1 record de purification du « SARS-COV-2 », par n’importe qui, n’importe où, n’importe où, par Peel sans fluorure, 04 août 2021
5. Les cycles d’amplification du seuil. L’OMS admet que les résultats du « test » RT-PCR sont totalement invalides
Le test rRT-PCR a été adopté par l’OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détecter le virus SARS-COV-2, conformément aux recommandations du groupe de recherche en virologie de Berlin (citées ci-dessus).
Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas « Nous avons commis une erreur ». La rétraction est soigneusement formulée. (Voir le document original de l’OMS ici)
Vous trouverez ci-dessous des extraits sélectionnés de mon article intitulé : L’OMS confirme que le test PCR du Covid-19 est invalide : les estimations des « cas positifs » n’ont pas de sens. Le confinement n’a aucune base scientifique
La question litigieuse concerne le nombre de cycles seuils d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al
Le nombre de cycles d’amplification [devrait] être inférieur à 35 ; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire… (Critique de l’étude Drosten)
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé en janvier 2020, en consultation avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.
Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (recommandé par l’OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant « cas confirmés de Covid-19 » comptabilisés dans le monde entier au cours des 22 derniers mois sont invalides.
Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al, le Ct > 35 a été la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».
Mea Culpa de l’OMS
Vous trouverez ci-dessous la « Rétraction » soigneusement formulée de l’OMS.
« Les directives de l’OMS Les tests diagnostiques du CoV-2 du SRAS stipulent qu’une interprétation minutieuse des faibles résultats positifs est nécessaire (1). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas au tableau clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et testé à nouveau à l’aide de la même technologie NAT ou d’une technologie différente. (soulignement ajouté)
L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit vraiment infectée par le CoV-2 du SRAS diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. »
« Positives invalides » est le concept sous-jacent
Il ne s’agit pas d’une question de « faible positif » et de « risque d’augmentations faussement positives ». Ce qui est en jeu, c’est une « méthodologie erronée » [non fiable] qui conduit à des estimations invalides des « cas confirmés de Covid-19 ».
Ce que cet aveu de l’OMS confirme, c’est que l’estimation du covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de retester : « un nouvel échantillon devrait être prélevé et testé à nouveau… ».
L’OMS appelle à un « retest », ce qui équivaut à dire « Nous nous sommes trompés ».
Cette recommandation est pro forma. Cela n’arrivera pas. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir du début du mois de février 2020. Néanmoins, nous devons conclure qu’à moins d’être testées à nouveau, ces estimations (selon l’OMS) ne sont pas valides.
Dès le début, le test PCR a été régulièrement appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de janvier 2020 de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu’appliquée dans le monde entier a conduit au cours des 20 derniers mois à la compilation de statistiques erronées et trompeuses sur le Covid.
Et ce sont les statistiques qui sont utilisées pour mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-delà d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas de fragments du virus. Par conséquent, les « numéros officiels de covid » (cas confirmés de Covid-19) n’ont aucun sens.
Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.
Ce qui signifie également que les mesures de confinement / économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté et un chômage de grande ampleur (prétendument pour freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.
Selon l’avis scientifique :
« si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit réellement infectée est inférieure à 3 %, la probabilité que ce résultat soit un faux positif est de 97 % (Pieter Borger, Bobby Raj
Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97 % » : Il s’ensuit que l’utilisation de la détection de plus de 35 cycles contribuera de manière indélébile à « rmarcher » le nombre de « faux positifs ».
Le Mea Culpa de l’OMS confirme que la procédure de test PCR Covid-19 telle qu’appliquée est invalide.
La pandémie de grippe H1N1 de 2009 était-elle une « répétition générale » ?
En 2009, une pandémie de grippe H1N1 qui aurait touché 2 milliards de personnes a été menée par l’OMS.
Corruption aux plus hauts niveaux de l’OMS : Plusieurs critiques, dont le Dr. Wolfgang Wodarg a confirmé que la pandémie de grippe H1N1 était « faux »
L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), organisme de surveillance des droits de l’homme, enquête publiquement sur les motifs de l’OMS pour déclarer une pandémie. En effet, le président de son influente commission de la santé, l’épidémiologiste Wolfgang Wodarg, a déclaré que la « fausse pandémie » est « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle ». (Michael Fomento, Forbes, 10 février 2010)
Rétrospectivement, la « pandémie » de COVID-19 est beaucoup plus grave et diabolique que la grippe H1N1 de 2009.
Voir l’analyse pertinente et rigoureusement documentée du Dr Wolfgang Wodarg sur le test RT-PCR tel qu’il a été appliqué par l’OMS en ce qui concerne la Covid-19.
Mot de la fin
Le test RT-PCR est le pistolet fumant. Cela invalide tout.
Il n’existe pas de « cas confirmé de Covid-19 ». Toute la banque de données est invalide.
Au moment d’écrire ces lignes, le nombre de « cas confirmés de Covid-19 » est de l’ordre de 260 millions dans le monde. Ces chiffres n’ont absolument aucun sens.
Aucune de ces données ne peut être classée comme « Confirmée ».
Le test PCR n’identifie pas le nouveau virus, et les fragments génétiques d’un coronavirus dit « similaire » de 2003 (SRAS-1) ne peuvent pas être utilisés comme moyen d’identifier le virus qui cause la Covid-19, ni pour identifier les variants mortels du nouveau coronavirus de 2019.
De plus, selon l’étude de la Freedom of Information (FOI) citée ci-dessus, l’isolat du nouveau coronavirus n’est pas confirmé.
Soutenu par une panoplie de mensonges, le récit Covid-19 est extrêmement fragile. Ce consensus repose sur une fausse science et une banque de données totalement invalide de prétendus « cas confirmés de Covid-19 ».
Il n’y a pas de pandémie.
Et en l’absence d’une pandémie de Covid-19, il n’y a aucune justification scientifique à la mise en œuvre du « vaccin » contre la Covid-19 qui a entraîné une tendance mondiale des décès et des blessures :
Comment Big Pharma a-t-il réussi à développer un vaccin (parrainé par l’OMS, GAVI, la Fondation Gates et al) ayant pour mandat de « protéger les personnes » contre un virus qui n’a pas été isolé/purifié à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?
Vaccin par rapport à quoi ? Le virus n’a pas été identifié.
De plus, le CoV-SRAS-2 2019 a été classé comme similaire au CoV-SRAS de 2003, ce qui signifie que le CoV-2 du SRAS de 2019, n’est pas un nouveau virus.
La légitimité du projet de vaccin Covid-19 dépend de la validité de centaines de milliers de faux cas positifs RT-PCR dans le monde entier combinés à de fausses données de mortalité liées au Covid. ( Voir Michel Chossudovsky, »Le virus existe-t-il ?« )
Que nous réserve l’avenir ?
Les gouvernements nationaux ont annoncé une cinquième vague, axée sur les prétendues « variants mortels » du SARS-CoV-2, y compris la variante Delta.
Ces soi-disant variants sont une véritable arnaque. Comment identifient-ils les « variants ». Le test PCR ne détecte ni le virus ni les variants du virus.
Il n’y a pas d’isolat du nouveau coronavirus enregistré. En outre, le test PCR « spécifique » [adapté] de l’OMS utilise comme substitut un virus similaire du CoV-SRAS de 2003 (qui a sans aucun doute beaucoup muté au cours des 19 dernières années).
« Les restrictions devraient être réintroduites ». … le variant Delta pose un « risque plus élevé d’hospitalisation. »
Ces annonces visent à justifier la poursuite des mesures politiques répressives, l’accélération du programme de vaccination, ainsi que la répression du mouvement de protestation.
Il n’y a pas de pandémie. La Finalité réside dans la Tyrannie.
La pandémie est utilisée pour imposer un nouvel ordre mondial.
Lorsque le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de possibilité de revenir en arrière.
La première étape consiste à démanteler l’appareil de propagande.
Le consensus Covid de l’élite est extrêmement fragile.
Il n’y a pas de pandémie. Ils n’ont pas d’argument sur lequel s’appuyer.
Ce consensus doit être rompu.
Michel Chossudovsky
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Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky, 13 chapitres :
Voir aussi :
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Lien vers l’article original:
Fake Science, Invalid Data: There is No Such Thing as a “Confirmed Covid-19 Case”. There is No PandemicBy Prof Michel Chossudovsky, November 26, 2021
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
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À propos de l’auteur
Michel Chossudovsky est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRM), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.
Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPA), FNUAP, ACDI, OMS, gouvernement du Venezuela, John Hopkins International Journal of Health Services (1979, 1983)
Il est l’auteur de douze livres dont The Globalization of Poverty et The New World Order (2003) – La mondialisation de la pauvreté, America’s « War on Terrorism » (2005) – Guerre et Mondialisation, The Globalization of War, America’s Long War against Humanity (2015).
Il collabore à l’Encyclopédie Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de vingt langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or du mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. On peut le joindre à cr*******@ya***.com
Voir en anglais : Michel Chossudovsky, Notice biographique
Articles de Michel Chossudovsky sur Global Research
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Source : Mondialisation.ca
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