Exposition de la Propagande Sioniste : Le Réseau Musulman-Sioniste d’Israël

CJ Werleman révèle comment Israël exploite le réseau musulman-sioniste pour diffuser sa propagande, tout en cachant la réalité de l’apartheid.

Dans cet épisode percutant, CJ Werleman examine la manière dont Israël mobilise un réseau musulman-sioniste pour promouvoir sa propagande. Alors que certains médias mettent en lumière les mensonges israéliens, Werleman affirme que l’État juif maintient un système d’apartheid, contredisant son image de démocratie. Les musulmans sionistes, souvent perçus comme des alliés, sont en réalité des instruments de manipulation, soutenant des récits trompeurs. Des personnalités comme Faris Hamadi et des influenceurs comme Shahid Bolson sont critiqués pour leur rôle dans cette propagande. Werleman appelle à la dénonciation de ces réseaux pour défendre la cause palestinienne et surmonter la division au sein de la communauté musulmane.

Mots clés : Israël, sionisme, musulmans sionistes, apartheid, CJ Werleman, Gaza, propagande

La Voix de la Louisiane

CJ Werleman, Le réseau sioniste musulman d’Israël et le réseau Madkhali dévoilés

7 oct. 2024 CJ Werleman analyse la stratégie d’Israël d’utiliser un réseau de « musulmans sionistes » comme outil de propagande. Il critique la prétention d’Israël d’être une démocratie pluraliste, soulignant son système d’apartheid. Werleman dénonce l’utilisation de fausses images et de récits trompeurs pour promouvoir une coexistence imaginaire. Il explique que le mouvement sioniste musulman a gagné en visibilité après les accords d’Abraham, servant de couverture à l’occupation de la Palestine. Le présentateur critique des figures comme Faris Hamadi et Shahid Bolson, les accusant de soutenir les régimes arabes et Israël au détriment des Palestiniens. Il lie ce phénomène au mouvement Mad-Khali et aux efforts post-11 septembre pour réformer l’islam. Werleman conclut que ces réseaux divisent et affaiblissent le monde musulman, rendant les « sionistes musulmans » indirectement responsables du génocide à Gaza.

Source : La Voix de la Louisiane

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