Existe-t-il un programme de répression, de torture et d’élimination secrets contre les dissidents ?
Si les plus éveillés sont conscients que s’opposer trop frontalement à l’establishment peut-être risqué, une grande partie des chercheurs de vérité internautes ou autres reste non informée des méthodes dissimulées par les gouvernements pour réprimer les contestations.
En effet, les décennies de la Guerre Froide furent rythmées par un conflit opposant à la fois les blocs atlantistes et communistes mais également par une guerre civile et une répression non déclarées qui ont toujours cours avec un degré plus violent et pervers.
Nous allons dans cet article dresser un tableau du passé, du présent et tenter d’entrevoir l’avenir du programme secret de répression des peuples par des forces auparavant obscurs.
Opération Gladio et CoIntelPro, l’histoire se répète-t-elle ?
Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, en Europe, se mettaient en place par plusieurs services secrets des réseaux militaires et paramilitaires généralement d’extrême-droite sous l’égide de la CIA (OSS avant 1947), du MI6 britannique et de l’OTAN qui, officiellement, étaient destinés à organiser la résistance en cas d’invasion soviétique. Ils portaient des nom divers mais étaient désignés « réseaux Gladio » en référence au réseau italien du même nom. Ces structures répondant aux mêmes ordres étaient dans l’ensemble méconnus des gouvernements à cause de l’omerta criminelle de plusieurs ministres de la défense et personnels du renseignements. D’après les travaux très sérieux de l’historien suisse Daniele Ganser ainsi que ceux d’autres chercheurs, ces réseaux ont, dans les faits, servis à commettre des assassinats politiques, des attentats terroristes sous faux drapeau (false flags) et coups d’états violents (Grèce et Turquie). Le recours à des réseaux mafieux est également documenté comme cela a été le cas pour la Turquie avec le scandale de Susurluk. Bien qu’étant sous le commandement de l’OTAN, des pays « neutres » tels que la Suisse et l’Espagne étaient concernés par le scandale. En ce qui concerne la France, même après avoir quitté l’OTAN en 1966 sous le Général de Gaulle, ses activités continuèrent avec entre autres la collaboration du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE) et ensuite la DGSE. Il y a fort à parier que les disparitions de Coluche et de Daniel Balavoine leur soit amputables.
Ainsi, sous couvert de lutte cachée contre le communisme, des personnalités de la gauche ou de l’extrême gauche comme l’homme politique belge Julien Lahaut ont été liquidés froidement. L’agent des services secrets belge André Moyen a avoué que Gladio avait pour objectif la lutte contre la « subversion » en général, il faudrait traduire cela par « dissidence » et que cela a eu cours dans tous les autres réseaux européens. Bien que la divulgation ait démarré en 1990 en Italie et que le scandale a effleuré tous les pays d’Europe, les réactions des officiels ont été dans l’ensemble fébriles comme cela a été le cas en France sous Mitterrand, seuls certains états comme la Belgique ont exigé leur dissolution. Le 22 novembre 1990, au parlement européen, l’eurodéputé Falqui prononça : « qu’il n’y aurait aucun avenir, Mesdames et Messieurs, si nous ne dissipons pas ce sentiment d’avoir vécu dans ce que l’on pourrait appeler un État double, l’un ouvert et démocratique, l’autre clandestin et réactionnaire ».
Au même moment, aux États-Unis, se mettait en place l’infâme programme secret du FBI « CoIntelPro » qui se voulait « protéger la sécurité nationale, prévenir la violence et le terrorisme et maintenir l’ordre social et politique existant”. Tout comme l’opération Gladio, la lutte contre le communisme a été un prétexte pour une lutte contre une « subversion » jugée et a donc été un moyen de lutte contre la dissidence. Officiellement démarré en 1956 et « cloturé » en 1971 suite à une divulgation arrachée par la « Commision Citoyenne pour Enquêter sur le FBI » en faisant irruption dans leurs bureau, la même année, le directeur J. Edgar Hoover a « déclaré » que le COINTELPRO centralisé était terminé et que toutes les futures opérations de contre-espionnage seraient traitées au cas par cas. D’après la Commission sénatoriale Church en 1975, ces activités ont eu cours depuis les années 20.
Les techniques de « lutte » contre les cibles allaient de la surveillance à l’infiltration, au discrédit et à la perturbation des organisations politiques nationales américaines. Ainsi, le FBI avait recours à des « campagnes de calomnies » (anglais : smear campaigns), des opérations psychologiques, du harcèlement via le système judiciaire (emprisonnements illégaux, élimination de preuves ou création de fausses preuves, intimidation des témoins…) et même à l’usage illégal de la violence policière contre les dissidents (perquisitions, tabassages, assassinats…).
Les groupes historiques qui ont été ciblés étaient : les Black Panthers (organisation nationaliste noire-américaine), des organisations féministes, le parti communiste américain, le mouvement des droits civiques de Martin Luther King, les mouvements anti-guerre du Vietnam, le mouvement des indiens d’Amérique et beaucoup d’autres.
De nos jours, avons nous le droit de penser différemment ?
À la suite de l’effondrement de l’union soviétique, un faux sentiment de paix fut propagé dans l’Occident amenant plusieurs générations dans un état d’insouciance malgré la divulgation des réseaux Gladio mis en second plan après les aventures de l’OTAN en Irak (Guerre du Golfe) et en Yougoslavie.
Un tournant majeur dans le fascisme mondial a eu lieu après le 11 septembre qui a ouvert la voie au Patriot Act qui a renforcé les prérogatives des services de renseignement, a accru la surveillance de la population et a permis au gouvernement des États-Unis de détenir sans limite et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste (cours FISA). Dans le cadre de l’Alliance Atlantique de l’OTAN, cette loi a des ramifications jusqu’en Europe et probablement dans le monde étant donné la collaboration entre les services de renseignement et la soumission aux États-Unis. Ainsi des « centres de fusion » (anglais : fusion centers) ont été établis dans tous les états des USA pour récolter des informations sur les citoyens et améliorer leur circulation entre leurs départements de sécurité. L’ex-analyste de le NSA (renseignement national US) Karen Stewart affirme que ces centres sont utilisés pour espionner les civils physiquement à l’aide d’informateurs volontaires, d’où des délations et diffamations constantes et des fichages terroriste en hausse et un harcèlement organisé ou harcèlement en réseau (anglais : Gang Stalking). Nous ne disposons pas d’informations pour les autres états de l’OTAN mais la présence de ces centres de fusion est fortement probable en dehors des USA.
L’un des éminents spécialistes de la question est Nicolas Desurmont, consultant en criminologie belge, il y a dédié une étude nommée « vers une problématique du harcèlement criminel en réseau » dans la revue internationale de criminologie et de police technique et scientifique en 2006. Dans celle-ci, il documente la participation active des services de renseignement, de la police et des réseaux du crime organisé dans la persécution des cibles. Il affirme également qu’il existe une infiltration bidirectionnelle entre ces protagonistes. À ce moment, il affirmait que les victimes étaient sujettes à des « filatures », menaces de mort et écoutes illégales. Mais le tableau actuel est plus alarmant encore.
Une part non négligeable de la population collabore avec ceux-ci, un article de 2002 dans le journal américain Sunday Morning Herald déclarait déjà que le gouvernement US envisageait de recruter 1 américain sur 24 comme espion, ce qui fait environ 4 % de la population. Les victimes du harcèlement criminel en réseau suggèrent qu’au moins de 10 % de la population collabore activement dont des membres importants de la police, de la santé, de l’administration et de la justice, c’est ce qu’affirmait en 2003 Josselyne Abadie, consultante en éthique dénonciatrice de ce phénomène, par l’entremise de réseaux de franc-maçons et leurs pions omniprésents dans la société y compris les entreprises de toutes tailles. Ce qui explique la mise au ban du marché de l’emploi des cibles car de véritables réseaux de pouvoirs secrets se sont installés dans la société.
Les méfaits les plus fréquemment subis sont la traque automobile ou piétonnière, le cambriolage, l’intrusion à domicile avec changement d’emplacements d’objets (violence psychologique – gaslighting), l’agression de rue, l’interception de courrier et de colis, les accidents routiers prémédités, le tapage nocturne ou diurne, le cyberharcèlement, la persécution policière, administrative ou judiciaire, le piratage informatique, le sabotage et dégradations de biens et de véhicules, l’emprisonnement et la psychiatrisation illégale, l’empoisonnement, le viol et le meurtre. La majeure partie a été documentée en 2007 par l’agent du FBI Geral Sosbee et en 2011 par Ted Gunderson, également agent du FBI, selon ce dernier ce « programme » a cours depuis au moins les années 80.
La seconde partie du « programme » de répression secret consiste en un « harcèlement ou torture électromagnétique ». C’est la partie qui est la plus violemment censurée par les autorités et les médias mainstream après des décennies de ridiculisation dans la culture populaire. Elle est d’application depuis au moins les années 90 et la divulgation a démarré progressivement dans les années 2010 grâce au scientifique de la CIA Robert Duncan qui a travaillé sur les technologies de contrôle mental électromagnétique et qui est devenu un ferme opposant suite au détournement de ceux-ci à des fin illégaux et répressifs. Dans cette interview de 2012 avec Jesse Ventura, il divulgue devant le grand public américain ces technologies à des fins de torture.
Le physicien Barrie Trower ayant travaillé avec le MI-5 britannique a divulgué en 2015 la possibilité d’utiliser les antennes relais pour envoyer des faisceaux de micro-ondes (énergie dirigée) grâce à la technologie «Celldar » qui est un radar à micro-ondes. Il a également affirmé que les satellites pouvaient attaquer des cibles avec des micro-ondes . Le scientifique Paul Batcho ayant travaillé pour la DARPA (Agence des Projets de Recheches Avancés de la Défense) et le le DoD (Département de la Défense) américains a avertit en 2016 que les antennes relais servaient à faire de la télépathie synthétique (faire entendre des voix à des cibles et faire de la suggestion mentale) connu également sous le nom de V2K – Voice to Skull, n° de brevet : US4,877,027A. Le brevet déclassifié US3,951,134A témoigne de la possibilité de faire de la « Télé-Surveillance Neuronale » (anglais : Remote Neural Monitoring) , de lire dans les pensées en temps réel et sans électrodes à l’aide d’ondes électromagnétiques, il est également possible d’interférer avec l’esprit et de le manipuler avec ce procédé. Les infrastructures de communication jouent donc un rôle crucial dans la violation de notre esprit et dans les agressions électromagnétiques. Le scientifique Tim Rifat affirmait en 1999 que des criminels pouvaient avoir des armes électromagnétiques portables.
Le harcèlement électromagnétique survient souvent après l’isolation de la victime par élimination sociale ou diffamations à son encontre ou bien le devient suite aux pathologies infligées par les attaques. Beaucoup perdent leur emploi suite à cela enchaînant un cercle vicieux d’isolation et d’agressions aboutissant à une véritable torture.
Les symptômes les plus courants d’agression électromagnétique sont : fatigue soudaine et chronique, insomnies, réveils nocturnes répétés avec ou sans sueurs, vieillissement, dysfonctionnements voire crises cardiaques, douleurs intenses (organes, muscles, os, …) assimilables à de la torture, migraines, acouphènes, vieillissement prématuré, nausées, démangeaisons, brûlures (externes ou internes), apnées du sommeil, pertes de mémoire et de concentration, manipulations de la libido (inhibitions ou excitations artificielles), spasmes, saignements du nez, électrochocs, sensations de vibrations internes, sensations d’aiguilles enfoncées, problèmes visuels, épilepsies, Alzheimer précoce, leucémies et cancers précoces, amnésies, troubles de la coordination, mouvements involontaires et incontrôlés des membres ou des organes internes, vertiges, troubles immunitaires, évanouissements, AVC, thromboses, etc. Nous voyons donc la possibilité d’aller jusqu’à l’assassinat des victimes, ce qui pourrait expliquer les décès récents et prématurés de lanceurs d’alerte.
Parmi les symptômes psychologiques (psychotroniques), la victime peut percevoir des voix ou des sons oppressants que personne d’autre ne peut entendre (technologie Voice of God ou V2K, Voice to Skull). Elle peut également souffrir de « pseudo-psychoses » induites, de cauchemars synthétiques induits et d’instabilité émotionnelle. Une série d’autres maladies psychiatriques peut être induite. Dans une certaine mesure, du contrôle mental peut-être induit à cause de messages subliminaux et radiofréquences mais les résultats peuvent varier.
Cette violence délibérée est motivée apparemment par la prévention et la répression des dissidents ou des internautes insoumis mais après analyse des témoignages des victimes, on observe que le sadisme et la revanche (conflit avec un membre influent de l’état profond ou un de ses pions) sont le plus souvent à la source de la problématique. En effet, la plupart sont parfaitement innocents et n’ont jamais eu de quelconque activité politique ou subversive. Le harcèlement démarre souvent donc sans aucune raison apparente bien que des fois, une dénonciation, un conflit de voisinage ou un procès judiciaire peut en être à l’origine. Des scientifiques lanceurs d’alerte comme le médecin américain John Hall affirment que cela peut se faire dans le cadre d’expérimentations.
L’objectif recherché est l’élimination sociale dans un premier temps et physique (soit par les différents harcèlements soit par la provocation de suicides) par la suite. Il n’est pas rare que l’on cherche à provoquer des comportements violents chez la cible, plusieurs tueries de masses et attentats ont certainement été provoqués par cette technologie abjecte. La docilité et l’apathie de la population est causée par l’écosystème d’ondes mortifères et de contrôle mental selon nous.
On observe fréquemment chez les victimes un profil intellectuel (parfois Haut Potentiel, Asperger, TDAH…), parfois spirituel, sensible, honnête, original, libre penseur et intègre. Ils peuvent parfois disposer de talents rares et avoir des connaissances profondes sur les manigances de l’état profond. Si elles tentent de parler de ce qu’elles vivent à la police, elles sont redirigées fréquemment et injustement en psychiatrie à cause des directives dictées par des cadres corrompus. Notre message est qu’elles ne sont pas folles et méritent de regagner leur amour propre.
L’ingénieur et individu ciblé Frederic Laroche est actuellement à l’avant garde de la lutte contre les velléités meurtrières de l’état profond. Il défend la thèse partagée avec plusieurs experts qu’une IA maléfique gère les harcèlements mondiaux des individus ciblés.
« C’est insupportable, je subis une torture épouvantable depuis 27 ans, je dois régulièrement quitter mon domicile pour me réfugier chez des amis ou dans la nature. Je suis privé de sommeil et exténué à cause des douleurs extrêmes ainsi causées » nous témoigne-t-il. Malgré cela Mr Laroche se bat pour divulguer ce sujet sous omerta sévère. N’hésitez pas à parcourir ses travaux sur Crowdbunker pour le soutenir.
Des sondages effectués sur Telegram et VK sur un échantillon de 99 individus montrent que près de 40 % des internautes éveillés et chercheurs de vérité se reconnaissent dans les symptômes du ciblage et se sentent donc ciblés. Les symptômes les plus fréquents sont la fatigue soudaine, les insomnies, les douleurs, les pertes de mémoire et de concentration, le sentiment d’être traqué et le piratage.
Bien qu’il y ait une multiplication d’articles sur le sujet des armes électromagnétiques suite au Syndrome de la Havane et plus récemment la capacité de la Chine d’infliger des « Neurotrikes » (attaques électromagnétiques pour dégâts cérébraux et contrôle mental), ces sujets sont minimisés dans les journaux parlés et seuls des lecteurs assidus comprennent vers où se dirige les avancées militaires mais sans savoir que cela a été utilisé illégalement sur des civils pendant plus de 30 ans.
Les moyens de protection élémentaires, sont le passage à l’internet filaire, rétrograder de la 4G à la 3G et bien évidemment boycotter la 5G, s’entourer d’aimants néodymes et mettre de l’aluminium sur les fenêtres (résultats variables). La firme Suisse YShield propose des tentes, peintures et des films pour fenêtres protecteurs. La supplémentation en vitamines et NAC (N-acétylcystéine) peut aider à surmonter la fatigue et le vieillissement et il est important de pratiquer une bonne pureté spirituelle pour soi et dans son habitat. Le jeûne peut également apporter plusieurs bienfaits.
Que nous réserve l’avenir ?
Insatisfaits des résultats aléatoires sur les premiers individus ciblés, l’état profond a décidé de mettre les bouchées doubles en nous inoculant des nanotechnologies par tous les moyens à savoir l’alimentation, les injections en tout genre, les tests PCR et peut-être même les chemtrails.
James Giordano, neurologue à la DARPA a avoué que des nanoparticules seront utilisées pour lire dans les pensées des individus mais que cela pourrait également être détourné pour exercer du contôle mental. En 2016, Klaus Schwab avait dévoilé sur RTS que dans les 10 années à venir, nous serions équipés de puces portables (anglais : wearables) mais qu’il est « possible » que par la suite elles soient directement implantées dans le cerveau, un cap a été franchi en janvier dernier lorsqu’Elon Musk a annoncé avoir implanté la première puce Neuralink chez un homme.
Les nanoparticules couplées avec les dispositifs Bluetooth MAC et les futures puces cérébrales seront utilisées pour connecter les individus à des interfaces cerveaux-machines (ICM, anglais : BCI) qui seront certainement contrôlées par l’IA maléfique. En 2020, le GCSP (Centre de Genève pour les Politiques de Sécurité), qui se présente comme une fondation internationale pour promouvoir la paix dans un monde de plus en plus connecté, reconnaissaient que ces interfaces comprennent un risque de « Brain-Hacking » ou piratage cérébral.
Les chercheurs les mieux informés et conscients du potentiel détournement ces technologies comme Rafael Yuste et Jared Genser ont crée la fondation pour les Neuro-Droits avec ses 5 axes :
1) Protection de l’identité personnelle
2) Protection contre les biais (liberté de penser)
3) Droit à la vie privée mentale et contrôle des neuro-données
4) Droit à la liberté de penser et protection du libre-arbitre
5) Un accès équitable à ces technologies
La communauté des individus ciblés considèrent que ces « neuro-droits » sont dérisoires face à la menace dissimulée des neuro-armes psychotroniques meurtrières, de l’IA et de la 5G. En effet ce « réseau » qui attend d’être surpassé par une 6G et même plus utilisera le « beamforming » (faisceau dirigé) pour attaquer les cibles avec plus de violence. Jose Delgado de la Quinta Columna a dévoilé en 2022 que la fréquence 26 GHz de la 5G est « le signal optimal » pour la multiplication du signal des transistors de graphène, nous l’interprétons comme la fréquence de couplage parfaite pour le harcèlement des cibles et le contrôle mental total. Selon le témoignage d’une victime, son harcèlement s’est aggravé après avoir reçu ses injections covid.
Ainsi les individus ciblés prévoient l’aggravation du génocide qu’ils ont vécu en génocide global avec un contrôle mental de plus en plus inévitable et au mieux une augmentation de maladies psychologiques artificielles maquillées en « schizophrénies » par la psychiatrie complice ainsi que des maladies organiques provoqués dont une sorte de fibromyalgie pour punir tous ceux qui commettent le « crime de pensée » orwellien. En effet, l’écosystème d’armes électromagnétiques et de contrôle mental est établi pour tuer toute contestation authentique dans l’œuf et les étouffer avec l’opposition contrôlée.
Nous appelons à l’union des individus ciblés et non-ciblés et des vaccinés et non vaccinés contre la tyrannie post-dystopique que nous réserve l’oligarchie et les fascistes invisibles qui dépasse peut-être le WEF et le sionisme. Nous souhaitons également que la sécurité physique et mentale soit ajoutée à ces droits et que les infrastructures de communications ne soient plus militarisées. La meilleure stratégie et de sensibiliser un maximum de personnes en partagent cet article par exemple et en témoignant si vous vous sentez ciblés. Il est urgent de lever l’omerta sur ces technologies et d’avertir les masses sur ce qui se passe pour les victimes et ce qui les attend si nous restons assis à attendre que l’on nous sauve.
Özler ATALAY YÜKSELOĞLU – Journaliste Citoyen et Individu Ciblé
Le WEF entend parler d’une technologie qui permet de surveiller vos pensées
Traduction automatique corrigée de l’article « WEF hears about technology that allows your thoughts to be monitored » par Özler ATALAY YÜKSELOĞU
NdT : L’article date du 23 janvier 2023 et reprend l’intervention « Ready for Brain Transparency? » (Prêts pour la Transparence Cérébrale) de Nita Farahany au Forum de Davos de 2023. Il a étonnement été peu relayé mais doit attirer notre attention sur les plans finaux du WEF : la fin de la vie privée intellectuelle. Récemment, pour la première fois, la puce cérébrale Neuralink a été implantée chez un être humain et il est concevable comme l’indique cet article que dans un futur proche, nous glissions vers une adoption massive soit par la séduction ou par la coercition. À cela s’ajoute la problématique de l’intelligence artificielle qui est prévue de remplacer l’humain dans l’interprétation des ondes cérébrales et nécessitera donc une régulation stricte.
Le rassemblement annuel du Forum économique mondial (WEF) a toujours été un terrain d’essai pour des idées bizarres, qui servent néanmoins un objectif : introduire, et si possible normaliser, toutes sortes de surveillance de masse et parfois des technologies extrêmement invasives pour la vie privée.
Et surveiller l’activité cérébrale des gens, y compris via des implants – il n’y a sûrement pas plus invasif que cela.
C’est pourtant l’une des technologies présentées cette année lors d’un événement à Davos par le professeur Nita Farahany de l’Université Duke.
Les implants cérébraux ne sont pas nouveaux en soi, car ils sont utilisés en médecine pour traiter certaines maladies graves. Cependant, les types évoqués ici sont ceux qui doivent être administrés à des personnes en bonne santé – essentiellement pour lire dans leurs pensées.
« Décoder la pensée complexe » est déjà possible, a déclaré Farahany lors de sa conférence « Prêt pour la transparence cérébrale ? » au sommet du WEF la semaine dernière. Et la technologie est désormais également capable de révéler le degré de stress qu’une personne ressent, ainsi que ce à quoi elle prête attention. L’objectif est donc de savoir ce qu’une personne ressent, ce qu’elle pense et ce qui suscite son intérêt.
Selon le professeur, tous les ingrédients sont là : tout ce qu’il faut, c’est une adoption massive, et éventuellement un passage des appareils actuels qui y parviennent – les wearables – vers une « technologie (cérébrale) implantée ».
Bien sûr, tout cela a pour but de rendre les choses plus « pratiques ». Que diriez-vous de « glisser avec votre esprit » au lieu d’utiliser vos doigts – car c’est l’une des « commodités » mentionnées lors de l’événement du WEF comme compromis pour accorder un accès complet à votre personne aux acteurs extérieurs.
Le scénario cauchemardesque – dans lequel des personnes en bonne santé s’y soumettent – est quelque chose que beaucoup d’entre nous connaîtront au cours de leur vie, a également prédit le professeur lors du WEF. Mais pourquoi quelqu’un ferait-il cela ?
La présentation était précédée d’une vidéo d’animation dont le but était ostensiblement de fournir cette réponse dans un format facile à digérer.
https://crowdbunker.com/v/ovYxzVd4gb
La vidéo est présentée comme un aperçu de ce qu’un présentateur a littéralement appelé « un avenir merveilleux » où les ondes cérébrales seront utilisées pour des choses merveilleuses : lutter contre le crime, être plus productif et même « trouver l’amour ».
Qu’y a-t-il de détestable là-dedans, n’est-ce pas ? Surtout si vous êtes un employeur souhaitant accéder à tous les aspects de la personnalité et même de l’humanité de vos employés, ou un gouvernement ayant la même intention envers ses citoyens. Le potentiel d’abus est énorme.
Donc, si vous vous trouvez du côté opposé à la marche vers ce « futur merveilleux », le concept peut sembler inquiétant. Farahany a également révélé lors de sa présentation qu’une certaine forme de suivi de l’activité cérébrale était déjà très répandue sur le lieu de travail.
Pour être précis, selon le professeur : plus de 5 000 entreprises dans le monde surveillent actuellement le cerveau de leurs employés pour détecter le « niveau de fatigue ». Inutile de dire que cela se produit notamment en Chine. Et évidemment, beaucoup d’autres partagent les mêmes « valeurs » en matière de ce type de surveillance.
Farahany a expliqué qu’à l’heure actuelle, il s’agit d’appareils portables destinés aux consommateurs, capables de détecter et d’interpréter l’activité des ondes cérébrales, ce qu’elle a décrit comme des « Fitbits pour le cerveau ».
Ces appareils se trouvent dans les chapeaux (certains camionneurs les portent déjà apparemment pour que leurs patrons sachent à quel point ils sont alertes), les bandeaux, les écouteurs, et la technologie qui les alimente et s’appuie sur des capteurs isolant et identifiant les ondes cérébrales peut même être intégrée dans petits tatouages derrière les oreilles des gens.
Actuellement, c’est ce qui est accessible, selon le discours de Farahany : les états émotionnels, les visages que l’on voit dans l’esprit, les formes et les chiffres simples – y compris le numéro PIN de quelqu’un, c’est-à-dire l’accès au compte bancaire de cette personne.
Et ces appareils peuvent servir à plusieurs fins ; Les écouteurs que vous utilisez, par exemple, pour accéder aux haut-parleurs de votre téléphone ou de votre ordinateur peuvent également être équipés de capteurs EEG captant les ondes cérébrales.
Mais ce que l’avenir nous réserve, selon Farahany, c’est que cette technologie devienne si omniprésente qu’elle deviendra « le principal moyen » d’interagir avec toutes les autres technologies.
Probablement pour ne rassurer personne, elle a mentionné que des entreprises comme le géant d’entreprise Meta (Facebook) sont impliquées dans le succès de cette initiative – en particulier, « rendre ces appareils universellement applicables ».
Parmi les avantages dont bénéficient les employeurs, il y a la possibilité non seulement de savoir à quoi l’esprit d’un travailleur est attentif, mais aussi « d’intervenir pour remettre son esprit sur les rails ».
Tout comme produire du bétail, donc.
« Je pense que dans un an, nous serons en grande partie là où nous en sommes actuellement, mais avec une technologie de facteur de forme bien meilleure », a déclaré Farahany.
Conférence entière Ready for Brain Transparency?
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