Érik Loridan, face au Conseil national de l’ordre des médecins (dont nous voulons la suppression)…

Par Patrick Ledrappier

4 avril 2025 : audience du CNOM qui jugeait l’appel de la condamnation de 3 mois d’interdiction d’exercer rendue par le Conseil régional de l’Ordre des médecins des Hauts-de-France à l’encontre du chirurgien Éric Loridan.

   Illustration : un soutien d’Éric Loridan offrant à qui en voulait des graines d’Artemisia annua ; le docteur Éric Loridan et le très renommé homéopathe, le docteur Édouard Broussalian, venu de Suisse pour soutenir son confrère.

   En arrière-plan : le siège du CNOM, qui indique qu’Agnès Buzyn a inauguré le bâtiment le 11 janvier 2018 alors qu’elle était ministre de la Solidarité et de la Santé.

Le 5 avril 2025

Le docteur Éric Loridan est chirurgien digestif, spécialiste de la chirurgie bariatrique.

   Il exerçait à l’hôpital Duchenne de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) lorsqu’en décembre 2020, il a diffusé sur YouTube une vidéo dans laquelle il explique les raisons pour lesquelles le dangereux port du masque ne protège en rien des infections bactériennes et virales, y compris dans les services d’urgence des hôpitaux (nous avions à l’époque publié la liste et les références de 17 études qui le démontraient).

Il déclarera plus tard à ce sujet, que les masques étaient « aussi efficaces qu’un château de sable pour arrêter les grandes marées ». 

   Défenseur de la vérité, dont la science ne doit en aucun cas s’écarter, médecin aux compétences professionnelles indiscutables, que l’on peut classer parmi les rares qui connaissent viscéralement le sens du mot « empathie » pour ses patients, comme pour les inconnus qu’il croise.

   Un incroyable succès

Sa vidéo a rencontré un incroyable écho ; nous avions d’ailleurs été parmi les premiers à la relayer et à en recommander le visionnage et le partage.

   Combien de pressions, de « menaces » plus ou moins voilées de la part d’une partie de sa hiérarchie, de l’administration, ou encore de ses confrères Éric Loridan a-t-il subies à cause de cela ?

   On ne le sait pas, il ne s’exprime pas sur ce sujet, mais il n’est pas difficile de l’imaginer, sans se tromper, puisque cela a été le lot quotidien de tous ceux qui ont refusé, à l’époque – et il fallait être réellement courageux – de se taire, d’accepter l’inacceptable et de se soumettre aux décisions gouvernementales.

   Enfin, ce que l’on sait, c’est qu’il a été dénoncé, par lettre, par un de ses collègues (la dénonciation de ses collègues et voisins est une pratique très répandue en France depuis le gouvernement de Vichy).

Au sujet des décisions gouvernementales auxquelles il a refusé de se soumettre, rappelons qu’elles ne reposaient sur aucune, absolument aucune nécessité médicale, qu’elles étaient toutes absurdes et qu’elles ne visaient qu’à utiliser la médecine pour imposer l’état de terreur politique auquel nous avons eu droit pendant plus de 2 ans.

   Ajoutons que beaucoup d’entre elles étaient tout simplement criminelles (et nous parlons de crimes de masse, comme par exemple l’assassinat de dizaines de milliers de personnes âgées dans les EHPAD à coup de piqures de Ri – vos- Tril).

Éric Loridan ne s’est pas seulement attaqué au dangereux port du masque

   Au sujet des mortelles injections de produits à ARNm, lors de l’audience du Conseil régional de l’Ordre des médecins des Hauts-de-France, qui lui a valu une interdiction d’exercer la médecine pendant 3 mois, il a précisé publiquement que « le principe de précaution a été bafoué et que, maintenant, nous en payons le prix ».

Dans une vidéo diffusée en novembre 2022, il compare les injections de produits à ARNm à un « viol, parce que l’injection est une pénétration cutanée sans consentement » ; et il a raison, il y a viol du consentement et viol de l’intégrité physique lorsque les injections vaccinales, toutes les injections vaccinales, sont faites en violation du « libre consentement éclairé ».

   Poursuivi principalement pour sa remise en cause de l’utilité du port du masque, lors de l’audience de l’Ordre des médecins des Hauts-de-France, en décembre 2022, Éric Loridan a présenté en défense un dossier scientifique inattaquable qui comprenait des recommandations de l’OMS de 2020 mettant en garde contre les dangers des masques (lésions cutanées, auto-contamination) et plus de 40 études scientifiques.

Ne pas remettre en cause les mesures gouvernementales de santé publique, fussent-elles criminelles

   Lors de l’audience du CNOM du 4 avril 2025 à laquelle j’ai assisté, lorsque le rapporteur a fait lecture de l’historique de l’affaire, une certaine gêne était palpable parmi les médecins-juges qui écoutaient, manifestement contrariés, pour certains, par l’énumération des reproches faits à Loridan en 2022, alors que plus rien ne tient en 2025 et que les mensonges criminels des autorités sanitaires françaises sont, les uns après les autres, publiquement dévoilés (l’élection de Trump n’y est pas pour rien).

D’ailleurs, de la remise en cause du port du masque, principal objet des poursuites ordinales de Loridan, il n’en était quasiment pas question dans la plaidoirie de l’avocate du pitoyable représentant de l’Ordre des médecins des Hauts-de-France.

   Seul restait dans sa manche, en fait, le non-respect des mesures de santé publique décidées par un gouvernement corrompu et criminel.

   Et c’est bien là le cœur du problème posé par la scandaleuse condamnation d’un chirurgien à la réputation professionnelle sans tache par ses confrères : les médecins doivent-ils se soumettre aux mesures prises par les politiciens au pouvoir d’une manière générale ?

   Doivent-ils se soumettre à ces mesures, même lorsque toutes les données scientifiques disponibles démontrent que ces mesures sont criminelles, ce qui a été le cas lors de la fausse pandémie de « C-19 » ?

Un médecin doit-il se faire complice de crimes contre l’humanité commis sur les ordres des politiciens au pouvoir ?

   Non, affirmerait avec force Éric Loridan si la question lui était posée.

   Non, ont décidé les juges qui ont condamné à la pendaison des médecins lors de leur procès à Nuremberg, entre décembre 1946 et août 1947.

   Qu’en diront les médecins-juges du Conseil national de l’Ordre des médecins, créé sous le gouvernement de la collaboration avec le nazisme, le gouvernement de Vichy ?

   Les paris sont ouverts…

Patrick Ledrappier
Président co-fondateur

Source : Libre Consentement Éclairé

La face sombre de l’Ordre des Médecins – Hélène Strohl et Dr Eric Loridan

7 oct. 2024

7 oct. 2024

🔷 Avec Hélène Strohl Ancienne inspectrice de l’L’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) Auteur de plusieurs ouvrages dont “L’Etat social ne fonctionne plus” (Albin Michel) ; “La faillite des élites” avec Michel Maffesoli (Lexio) et “Les nouveaux bien-pensants” avec Michel Maffesoli (Editions du moment)

🔷 Avec Dr Eric Loridan Chirurgien digestif Interdit d’exercer par l’Ordre des médecins pour ses positions sur le masque lors de la crise COVID (A fait appel) Pour nous soutenir : https://www.tocsin-media.fr/soutien

Source : Youtube

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