Entre dette perpétuelle et repentance éternelle : détruisons la Banque Centrale Européenne ! (1/2)
par Marc-Gabriel Draghi.
En ce milieu d’année 2020, les peuples européens sont une nouvelle fois à la croisée des chemins. La crise sanitaire du Coronavirus ayant servi à entreprendre une contraction de la production, la grave crise financière que l’on nous promet depuis des années, est en train de s’accomplir sous nos yeux.
Même si en réalité l’économie mondiale est moribonde depuis 2016, et que les États-Unis étaient entrés en récession réelle dès la fin de l’année 2018. Cette crise due à la pandémie va désormais accélérer la désintégration de l’économie mondiale et favoriser le dévoilement du chaos financier à la face de l’ensemble des nations du monde.
Bien sûr, en ce moment, les Bourses sont en hausse, les grandes firmes financières et les traders se gavent sur le dos des peuples. Et il est possible que cette situation irréelle dure encore quelques mois.
Malheureusement à la différence de la crise de 2008 ou la responsabilité de Wall Street et des banquiers avait été clairement identifié (mais pas sanctionnée), cette fois-ci, les usuriers transnationaux vont bénéficier par chance (ou calcul) de cette crise sanitaire, qui va permettre à nos dirigeants, valets du capitalisme apatride de s’exempter de leur responsabilité.
Car les véritables responsables de la crise à venir, ne sont pas à chercher du côté des pangolins, ou des laborantins du laboratoire P4 de Wuhan, mais plutôt du côté de nos politiques et de l’establishment financier qui depuis plusieurs décennies, gouvernent nos nations sans contraintes et sans réels obstacles politiques.
La planète n’ayant pas connu le pic de mortalité annoncé, les véritables conséquences destructrices sérieuses de cette crise, tant sur les plans humains que matériels vont arriver dans les semaines qui viennent.
Et nos gouvernants qui ont réussi à démontrer leur incapacité totale à gérer une situation de crise vont être désormais contraints de gérer la plus grande catastrophe économique de l’histoire.
L’hyperclasse responsable de nous avoir conduits au bord de ce précipice, va maintenant nous proposer de nous fournir le lien avec lequel, elle veut nous attacher fermement pour que nous ne tombions pas…
Cette peur du lendemain instaurée depuis le mois de mars en France et globalement dans l’ensemble du monde, va leur servir à nous faire passer à l’étape supérieure du plan globaliste.
Sans même parler des mesures liberticides qui ont été permises par la pandémie, les conséquences économico-sociales de cette crise vont être le prétexte à nous imposer leur « monde d’après ». Et cela alors même que le coronavirus s’apparente de semaine en semaine à être « l’escroquerie du siècle ».
En effet, en termes d’illusion, Bernie Madoff et son petit schéma de Ponzi aura donc été détrôné assez rapidement (12 ans) par le SARS-CoV 2/Covid-19, présenté depuis des mois comme la pandémie mortelle du siècle.
Politiquement, on peut le dire, le confinement n’a néanmoins fonctionné qu’à moitié. Certes une grande partie du peuple (la plus docile) a bien respecté les consignes et continue à le faire, mais une autre moitié semble s’être réveillée pendant ce repos forcé.
Si bien que nos politiques, en tout cas en France (mais aussi en Italie) ont compris qu’ils allaient devoir se montrer encore plus subtils et malins pour continuer à tromper la partie amorphe et contenir la colère du peuple éveillée, qui de son côté, n’a cessé de croître en cette période extraordinaire.
Ainsi, l’establishment (conscient que la tension sociale était à son comble) a depuis la sortie du confinement, décidé de jouer la carte des tensions raciales.
Le racial pour occulter le social
Et c’est avec l’affaire « George Floyd » que l’élite économico-médiatique, avec des menaces à peine voilées de guerres raciales dans nos pays occidentaux multiculturels, s’est mise à imposer dans les débats publics, en particulier aux pays européens « de race blanche, de religion chrétienne et de culture gréco-romaine », une repentance éternelle et une culture perpétuelle de l’excuse dans une période de casse sociale et économique exceptionnelle.
Tout de suite après la mort d’un citoyen afro-américain nommé George Floyd, une campagne médiatique d’ampleur mondiale a commencé à battre le pavé et à haranguer les responsables politiques à propos des violences policières « blanches » sur les individus racisés (souvent les populations immigrées basanées) des pays multiculturels occidentaux. Ainsi, le BlackLivesMatter s’est mis à essaimer sur l’ensemble de nations multiculturelles.
À la suite de quoi, le monde occidental poussé par la sphère médiatico-politique et aidé par des financements extérieurs a basculé progressivement dans l’hystérie collective.
En France, aux États-Unis, en Belgique et en Angleterre, on a vu ce phénomène prendre de l’ampleur.
Dans l’hexagone, le mouvement BlackLivesMatter a lutté pour se greffer sur un groupe obscur au nom de « Justice pour Adama », un collectif d’individus se réclamant de la banlieue et demandant la justice après la mort d’Adama Traore un délinquant multirécidiviste qui résistait à une interpellation policière. Certes, mourir dans le cadre d’une interpellation policière n’est pas acceptable, mais l’on sent bien que les médias français ont saisi l’occasion pour faire de ce Traoré, le George Floyd français alors que ce fait divers date pourtant de 2016.
D’ailleurs, ce phénomène de dénonciations des violences policières, censé représenter l’« État blanc » existe dans tous les pays occidentaux multiculturels.
C’est comme si une opération de stratégie de la tension avait été commanditée au même moment dans plusieurs pays dont les situations ne sont pas forcément transposables (la France étant encore assez différente des États-Unis). Les médias jouent quant à eux, naturellement leurs rôles de relais et de caisses de résonance.
Mais ce mouvement contre la violence et le racisme des « blancs » sans réelle revendication politique si ce n’est le positionnement victimaire et la mendicité politique, a aussi pris une tournure étrange, qui révèle en partie l’origine des éléments moteurs (commanditaires) de ces tensions raciales montées en épingle.
En effet, les infra-nomades qui composent la grande majorité de ces foules manipulées (immigrés pas et peu intégrés, individus acculturés, populations étrangères) sont en réalité, sous la coupe de mouvements financés par des organisations puissantes possédant une logistique importante (la plus célèbre étant l’Open Society du financier George Soros).
Ces collectifs sponsorisés et manipulés semblent désormais s’en prendre à la culture des pays d’accueil. Il s’agit d’une volonté d’attaque concrète couplée à cette stratégie de la tension. C’est comme si ces déracinés apatrides, esclaves du capitalisme nomade, souhaitaient eux aussi, participer, à leur manière, à la destruction des dernières racines de l’Europe (à savoir son histoire et sa culture).
Il n’est pas anodin d’observer qu’en France, le comité « Justice pour Adama » semble jouer (dans une proportion plus importante et agressive) le même rôle qu’à jouer la Marche pour l’égalité et contre le racisme connue médiatiquement comme Marche des beurs. En effet, cette marche antiraciste qui s’était déroulée d’octobre 1983 à décembre 1983, dans une période ou le pouvoir socialiste mitterrandien était en train de rompre avec toutes ces promesses sociales, avait permis de faire diversion sur les vraies questions et trahison et avait contribué à ce que la France de rentre dans le rang de l’ordolibéralisme européen et de la dérégulation financière anglo-américaine.
Il semble donc que le pouvoir Macronien, qui s’est fait élire grâce à son duel avec le Front national de Marine Le Pen, souhaite rejouer cette stratégie à une échelle supérieure. À savoir mettre en avant la question raciale afin d’occulter le phénomène de durcissement du pouvoir sur les questions sociales et économiques.
L’oligarchie souhaite clairement dévier une partie de la colère populaire (zèle des forces policières sur les Gilets jaunes) pour la réorienter et diviser le peuple sur des questions totalement sans fondement, dans leur grande majorité à savoir la « violence systémique blanche en France ».
On le sait, certaines associations juives ont aidé, soutenu, promu les associations ou mouvements contre le racisme depuis les années 80. Et avec ce mouvement qui est dans la même veine que Touche pas à mon pote/SOS Racisme, il est indéniable que les mêmes se trouvent encore à la manœuvre (l’UEJF, les Julien Dray, Bernard Henry-Lévy, Jacques Attali, Marek Halter, etc.).
D’ailleurs, le géopolitologue Youssef Hindi qui avait « prédit » le mouvement des Gilets Jaunes, pointe lui-même dans ses travaux et ses déclarations, la responsabilité de ces organisations et individus issus de la communauté juive : « Et ils continuent à les créer, à les financer et à les manipuler pour subvertir et entraver la vraie révolte qui n’est pas raciale, mais sociale ».
Certains en lisant cet article, y verront comme toujours, une résurgence d’un antisémitisme sorti d’on ne sait où. Mais si l’on regarde les faits et que l’on s’intéresse aux déclarations en haut lieu et aux différents positionnements sur la scène médiatique, on constate vite que ce mouvement de haine de l’homme blanc (de son histoire et de sa culture) n’a pas pour origine une revendication africaine enracinée.
La destruction du patrimoine culturel des nations
Cette tendance iconoclaste du mouvement révèle en réalité la trame profonde de ce phénomène. Ainsi, aux États-Unis, en France, Belgique ou encore en Angleterre on a vu des monuments et statues être dégradés.
Désormais, il y a également des appels médiatiques qui visent à déboulonner certaines statues, débaptiser des places, ou encore des stations de métro…
En France par exemple, la très médiatique Ligue de Défense Noire Africaine par l’intermédiaire de son porte-parole à l’élocution difficile : Sylvain Afoua dit Gucci, a appelé à faire tomber les effigies de Colbert, Napoléon et même de manière plus surprenante celles de De Gaulle…
Cette officine a aussi déclaré vouloir la rétrocession du Palais royal, du Louvre et de Versailles pour réparer les souffrances faites au peuple noir…
Oui, nous sommes très loin du sérieux et on s’approche du grand-guignolesque. Il n’est pas impossible que ces revendications prennent un jour corps dans des sociétés acculturées, mais au bénéfice d’autres communautés.
Car la désacralisation du patrimoine français a bien été enclenchée sous la mandature du petit Sarkozy et elle s’est aggravée depuis que le golem Macron est au pouvoir.
Notre patrimoine (moins symboliques que des statues/monuments) est en train d’être liquidé, et pas vraiment pour réparer une supposée « souffrance noire ». Mais davantage pour satisfaire les puissances d’argent qui souhaitent dépecer la nation France agonisante.
Mais pour revenir à la responsabilité d’une certaine élite communautaire dans ce chaos et cette montée des tensions raciales, l’exemple des tweets du journaliste britannique de confession juive, Eylon Levy collaborateur sur la chaîne I24 de Patrick Drahi et au Times of Israël encourageant ce mouvement, sont significatifs sur l’essence même de ce dernier.
Ainsi, pour ne prendre en exemple que deux de ces tweets dans sa longue succession de messages twitter (thread), le journaliste a osé déclarer en mettant une photo de deux statues :
« À la guillotine ! Le roi Louis IX (en Louisiane et à Paris), qui a brûlé 24 wagons de manuscrits juifs, y compris toutes les copies connues du Talmud dans le royaume. #KingLouisIXMustFall »
Ainsi, ce journaliste britannique iconoclaste, sans aucun lien avec la France et les États-Unis appelle donc à détruire les statues de Saint Louis à Paris et en Louisiane. Pour quels motifs ? Le même qui est brandi par les manifestants actuels du BlackLiveMatter : à savoir la vengeance tribale et la souffrance éternelle de son peuple.
Néanmoins, il est à noter qu’il demande également aux manifestants de ne pas toucher à la statue du bon Cromwell : « Quoi qu’il en soit, beaucoup de statues antisémites dans les capitales occidentales à démolir, mais laisse mon Cromwell. <3 ». Le même Olivier Cromwell qui a pourtant, selon l’histoire officielle, fait tuer et réduit en esclavage des milliers de catholiques notamment en Irlande. Comme quoi, nous ne sommes pas en face d’une lutte pour le bien universel, mais bien devant la promotion d’une logique tribale individuelle.
En réalité, cet activisme concret de l’élite communautaire et de ces obligés (le sous-communautarisme africain) révèle la gravité de l’époque dans laquelle nous sommes en train de pénétrer. Celle de l’abêtissement généralisé, de l’acculturation totale et du règne final de l’émotion.
Mort à l’intelligence ! Le cerveau reptilien doit devenir le maître. Et dans l’organisation de ce phénomène, la responsabilité des médias est énorme.
Tout simplement, car les masses immigrées que l’on rend visibles intentionnellement sont des caricatures haineuses (Sylvain Afoua dit Gucci, Camelia Jordana, Rokhaya Diallo, Assa Traore, Yassine Bellatar, etc.). Toutes ces figures sont promues par le système (ex : Bellatar, Canal+, Macron), car elles sont apatrides comme l’hyperclasse, mais surtout elles sont acculturées et donc manipulables.
Soyez-en sûr, vous ne verrez pas de français d’origine immigrée intelligent s’exprimer sur les grandes chaînes de télévision et radios.
Pourtant des personnalités et des intellectuelles d’origines maghrébine et subsaharienne avec un discours structuré et audible, il en existe évidemment pléthore en France, mais ils sont tous cantonnés au demi-anonymat des réseaux sociaux et de l’internet.
Savez-vous pourquoi ? Tout simplement, car ces individus sont dangereux pour le système, car ils ne prennent pas la posture de l’indigène « sauvage-victime » auquel l’establishment veut les cantonner.
Vous ne verrez jamais un Dany Colin sur Sud Radio ou un Youssef Hindi débattre sur CNews face à un Attali/Zemmour.
D’ailleurs pour en finir avec notre démonstration sur l’escroquerie de ce mouvement du Black Lives Matter, il nous suffit d’observer ceux qui parlent encore d’esclavage et de haine raciale blanche systémique, en France à notre époque.
Toutes ces stars du showbiz, rappeurs, comiques, acteurs ratés sont en service commandé et ne sont que des hypocrites.
Aucun d’eux ne vous parlera de l’asservissement financier moderne de l’Afrique (Franc CFA-Eco/Ports Africains-Bolloré) et des causes des guerres tribales (provoquées par l’extérieur ou héritées de l’histoire intra-africaine).
Tous ces idiots manipulés, vivants au sein de l’occident-esclavagiste devraient surtout se pencher sur le rôle du capitalisme financier et sur leurs propres statuts dans notre société de consommation/spectacle.
Bien sûr, ils ne vous parleront pas non plus, de l’exploitation d’enfants africains perpétuée pour produire leurs téléphones portables et tablettes dont les matériaux sont issus des mines de cobalts.
Ainsi, avant de vouloir venger la traite négrière vieille de plusieurs siècles, tous ces hypocrites racisés feraient bien de se pencher sur la souffrance noire de notre temps et sur les véritables esclavagistes contemporains (Apple, Samsung…).
Car pourtant ce sont bien les « jeunes frères » de ces indigénistes noirs que l’hyperclasse nomade envoi dans les mines de cobalt pour que nos activistes racisés puissent se filmer sur Snapchat/Facebook/Youtube, en train de manifester et taguer des statues en Occident.
En réalité, la plupart de ces gens sont incapables de penser et de constater qu’ils sont manipulés par une caste, elle aussi, tribale, mais infiniment plus intelligente.
Car en vérité l’objectif de l’hyper classe cosmopolite est de nous imposer dans un bref avenir, à la fois une dette exponentielle et une repentance éternelle. Néanmoins, seul un culte mémoriel peut prétendre à une réparation pécuniaire tangible…
La repentance éternelle pour légitimer la dette perpétuelle
Mais alors, en quoi la logique de la dette et la repentance perpétuelle sont-elles des notions liées dans ce processus de domination mondiale ?
Cette question mérite d’être clairement posée.
Évidemment, les notions de culpabilisations des nations colonisatrices, promotion du statut d’indigénisme victimaire chez les minorités, et les tensions raciales, font d’abord efficacement oublier à la masse composant le peuple que la véritable colonisation ne connaît ni races, ni langues, ni pays.
En agitant le peuple, sur ces questions illusoires et secondaires, l’oligarchie dévie l’attention populaire à un moment où elle s’apprête à provoquer la plus grande période de destruction de richesses de l’histoire et un chaos économique encore jamais vu.
Ces faux débats qui favorisent les luttes horizontales (guerres raciales, confessionnelles, etc.) permettent à nos maîtres de nous imposer en douce leur plan politique, tout en faisant oublier que le colonialisme financier (le seul, le véritable) existe, lui, toujours et qu’il s’est même renforcé lors des dernières décennies à travers l’ensemble des nations.
Cette question de la dette qui n’est jamais remise en question est en réalité le point crucial et même la seule question politique importante qui mérite d’être posée en ce moment.
Une partie des Gilets Jaunes l’a bien compris. C’est pourquoi ce mouvement de colère racialiste vise à empêcher une résurgence de cette colère populaire authentique.
On peut le constater, il est vrai, qu’au-delà des intérêts financiers des créanciers, voulant toujours plus d’argent sur le dos des nations européennes, certains ont un objectif plus large à travers l’asservissement et la culpabilisation des nations européennes.
Car la fameuse réplique qui consiste à répéter que : « la dette devra être remboursée ».
Qu’elle soit lancée par Mme Christine Lagarde ou par François Villeroy de Galhau, n’est pas l’intention propre de ces dirigeants-valets, mais plutôt une sorte d’ordre intangible, un commandement émanant de leurs maîtres.
Et il en va de même pour la repentance éternelle imposée à la population majoritaire des pays européens par l’intermédiaire de leurs dirigeants.
À notre époque, l’ennemi de l’Humanité est en train de devenir le « blanc », mais derrière cette attaque de l’homme blanc, il y a en réalité une volonté d’anéantir la part chrétienne et la culture gréco-romaine qui reste à l’Europe. Il s’agit désormais de terminer la destruction de l’édifice moral, spirituel, sur lequel reposent encore un peu les restes de notre Europe moribonde.
Et cette repentance qui vise à organiser le chaos politique et intellectuel dans nos sociétés a une origine. Et cette source est étrangement commune au problème de la dette.
L’offensive lourde que subit le monde occidental pourrait être identifiée par une attaque coordonnée de plusieurs minorités, mais il n’en est rien. Cette offensive massive et récurrente provient d’une même élite communautaire.
À suivre…
Entre dette perpétuelle et repentance éternelle : détruisons la Banque centrale européenne ! (2/2)
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