« Eléments chimiques incompatibles avec la vie » dans tous les toxins

Titre original : « Chemical Elements Incompatible with Life Identified in All Covid-19 Vaccines »

Le titre de cette vidéo très longue 3 h 30′ est : « Eléments chimiques incompatibles avec la vie » dans tous les toxins. (je raccourcis).

C’est une très longue présentation par une équipe multidisciplinaire très pointue constituée autour de chercheurs hispanophones auxquels s’agrègent des allemands, des roumains, des australiens, des canadiens des américains aussi ou tout au moins un chercheur qui travaille aux US.

C’est un document à sauvegarder et à faire traduire en français car il est diffusé en espagnol et sous-titré en anglais. C’est sur la chaîne Odysee et il n’y a pas de traducteur intégré comme YT.

Comprenant un peu l’espagnol j’ai écouté 53 minutes mais ça parle vite et avec l’accent sud américain pour les principaux animateurs comme Lorena Diblasi ou Marcella Sangorrin et c’est fatigant pour moi.

D’après leurs observations il n’y a ni ARN ni protéine spike mais beaucoup d’éléments chimiques incompatibles avec la vie, beaucoup de métaux et différents selon les sociétés. Il y a même dans l’un des toxins du Tritium qui est un élément radioactif.

On comprend aussi le pourquoi des fameux frigo à moins 80 ° ; c’était pour empêcher le déploiement de certaines structures qui avaient besoin de la chaleur corporelle pour faire ce pour quoi elles sont prévues.

Ces chercheurs semblent s’être mis au travail assez rapidement après le début de l’escroquerie et ce document est une véritable pièce à conviction à charge contre les industriels et les gouvernements complices ou promoteurs. Assez tôt ils ont essayé d’alerter les autorités sans réaction de celles-ci voire des réactions hostiles. J’ai cru comprendre que l’un des médecins a été emprisonné et une chercheuse s’est suicidée car elle était harcelée. (Pour elle j’en avais entendu parler à l’époque.)

JLG


Merci à JLG de nous avoir transmis cette longue vidéo. Merci également à nos amis de « La voix de la Louisiane » pour la traduction de cette vidéo et l’avoir partagée en deux parties :

« Eléments chimiques incompatibles avec la vie » partie 1

1ère Partie :

L’émission présente les résultats des analyses menées par un groupe de chercheurs indépendants sur les différents vaccins contre la COVID-19 utilisés en Argentine. Ces analyses ont permis de détecter la présence de nombreux éléments chimiques non déclarés dans la composition officielle des vaccins.

Tout d’abord, les chercheurs expliquent qu’ils avaient essayé d’alerter les autorités sanitaires dès 2020 sur les dangers potentiels de ces vaccins, sans succès. Ils ont notamment analysé des échantillons de vaccins de différentes marques (AstraZeneca, Pfizer, Sinopharm, Spoutnik, CanSino, Moderna) et découvert la présence de particules de graphène, de métaux lourds et d’autres substances inattendues.

Les analyses en microscopie électronique et par spectrométrie de masse (ICP-MS) ont révélé la présence de 24 éléments chimiques non déclarés, y compris des métaux et des terres rares. Certains de ces éléments sont présents en quantités significatives, bien supérieures à ce qui est généralement toléré.

Les chercheurs expliquent que la structure du contenu des flacons est hétérogène, avec la présence de micro- et nanoparticules qui ont tendance à s’auto-assembler lorsqu’elles sont mises en contact avec de l’eau. Cela suggère que le contenu n’est pas une solution homogène, comme annoncé, mais plutôt un mélange complexe de différents composants.

Ils soulignent également que le maintien des flacons à basse température (en dessous de 40°C) semble nécessaire pour empêcher ces particules de s’agréger. Cela indique que ces composants ont probablement une certaine activité qui doit être contrôlée.

Par ailleurs, les chercheurs remettent en question la validité scientifique des affirmations concernant l’ARN messager et la protéine Spike. Selon eux, il est très improbable que ces vaccins puissent produire efficacement et de manière stable cette protéine, en raison des principes fondamentaux de la biologie moléculaire.

Ils affirment que ce qui est observé ne correspond pas à de véritables protéines Spike, mais plutôt à des structures fibrillaires de « calcium » qui obstruent les vaisseaux sanguins et provoquent de graves pathologies.

Les chercheurs concluent que les effets néfastes observés chez les personnes vaccinées ne sont pas dus à des différences entre les marques, puisque les analyses montrent que leur contenu est globalement le même, mais plutôt à la composition intrinsèque de ces vaccins, notamment la présence de micro- et nanoparticules aux propriétés mal connues.

Ils soulignent également que ces particules semblent avoir une certaine dépendance énergétique pour fonctionner, ce qui soulève la question de la source d’énergie qu’elles pourraient prélever dans l’organisme. Les chercheurs appellent à poursuivre les investigations pour mieux comprendre le mode d’action de ces composants.

En conclusion de cette première partie ce document présente de manière détaillée les résultats des analyses approfondies menées par ce groupe de chercheurs indépendants sur les vaccins contre la COVID-19. Leurs conclusions remettent sérieusement en cause la sécurité et la composition déclarée de ces produits.

Les 9 points clés de la 1ère partie :

1. De nombreux scientifiques ont tenté d’alerter les autorités sur la toxicité potentielle des vaccins COVID-19 dès 2020, sans succès.

2. Des analyses approfondies des différents lots de vaccins (toutes marques confondues) ont été réalisées par le groupe de chercheurs.

3. Les analyses par microscopie optique, électronique et spectroscopie ont révélé la présence de microparticules et nanoparticules étranges dans le contenu des flacons, notamment des particules d’oxyde de graphène.

4. Des études complémentaires réalisées par d’autres équipes dans le monde ont confirmé ces résultats.

5. Au total, 24 éléments chimiques non déclarés, aussi bien métaux que non-métaux, ont été identifiés dans ces vaccins.

6. L’étude par spectrométrie de masse a permis de quantifier avec précision la présence de ces éléments étrangers, parfois à des concentrations très élevées.

7. Ces particules et éléments sont présents de manière similaire dans tous les vaccins analysés, indépendamment de la marque, remettant en cause l’idée que les différentes réactions observées seraient dues à des différences entre les formulations.

8. La structure complexe et hétérogène du contenu des flacons, composé notamment de nanoparticules capables de s’auto-assembler en microparticules, soulève des interrogations sur leur compatibilité biologique avec l’organisme humain.

9. Les auteurs remettent en cause la pertinence scientifique de l’utilisation de l’ARN messager modifié et de la protéine Spike dans ces vaccins.

Ronald Guillaumont

« Eléments chimiques incompatibles avec la vie » partie 2

2ème Partie :

L’orateur commence en posant des questions sur l’origine et l’interface de cette « énergie » présente dans le corps. Il souligne qu’il est très important d’enquêter pour déterminer si cela peut être neutralisé.

Il explique que si ces microparticules soutiennent l’énergie du corps, cela peut avoir des conséquences graves. Le corps est un mécanisme impressionnant d’équilibre et d’auto-réparation, qui se répare constamment. Mais ce processus a un coût énergétique.

Si cette énergie est drainée via une interface, le transfert d’énergie entre les nanoparticules et le biologique devient crucial à comprendre. Sans cette énergie, les mécanismes de réparation cellulaire et les processus biologiques vitaux ne peuvent plus fonctionner normalement. Cela peut mener à différentes maladies, comme le cancer qui serait un mécanisme d’adaptation du corps face à ce manque d’énergie, et non une maladie génétique.

De même, l’orateur donne l’exemple de fibres non protéiques qui s’accumulent dans les vaisseaux sanguins à cause d’un manque d’énergie pour les réparer correctement. Le système nerveux, très gourmand en énergie pour la réparation constante des neurones, devient très sensible à ce manque d’énergie, menant à des maladies neurodégénératives.

L’orateur conclut que le point commun de ces différentes pathologies est ce manque d’énergie, que ces nanostructures introduites sembleraient capter, produisant ainsi tous ces symptômes. Il insiste sur l’importance de comprendre ces mécanismes pour pouvoir éventuellement les neutraliser et aider les personnes touchées.

Un deuxième intervenant, Ricardo, reprend en soulignant trois points principaux. Premièrement, tous les vaccins semblent avoir la même base technologique, le même « cerveau » derrière, malgré les différentes étiquettes. Deuxièmement, il explique les incompatibilités de ces compositions avec la biologie moléculaire et la génétique. Troisièmement, il développe l’aspect des technologies intracorporelles utilisant le graphène et le rayonnement pour capter cette énergie, ce qui expliquerait les différents effets observés selon les niveaux d’exposition.

Martín poursuit en abordant la question de la toxicité de certains composants comme le graphène, et de leur rôle dans les processus de vieillissement prématuré observés chez les jeunes vaccinés. Il évoque également les témoignages de personnes ayant développé divers problèmes de santé suite à la vaccination.

Lorena Di Plassi intervient ensuite sur les aspects réglementaires et de contrôle qualité des vaccins. Elle souligne le rôle des institutions comme l’OMS et l’UNICEF dans l’achat et la promotion des vaccins, malgré l’absence de transparence et de respect des normes en vigueur. Elle dénonce le manque de contrôle et de prise en compte des effets indésirables par les autorités sanitaires.

Enfin, les intervenants concluent en insistant sur l’importance du discernement, du courage et de la perte de peur face à cette situation. Ils appellent à la mobilisation, particulièrement pour protéger les enfants de la vaccination, tout en poursuivant les actions en justice contre les responsables.

Les 6 points clés de la 2ème partie :

1. L’intervenant 1 souligne que nous ne savons pas encore où se trouve l’énergie dans le corps et comment elle s’interface avec celui-ci, mais qu’il serait important d’enquêter sur ce sujet.

2. Il explique que ces particules et microparticules pourraient commencer à soutenir l’énergie du corps, ce qui pourrait entraîner un manque d’énergie pour les mécanismes de réparation cellulaire, la production de protéines, etc. et mener à différentes maladies.

3. Par exemple, si les cellules manquent d’énergie, elles pourraient se tourner vers des processus anaérobiques qui acidifient le milieu et favorisent la prolifération de cellules cancéreuses. Le cancer n’est pas une maladie en soi, mais un mécanisme d’adaptation du corps à une agression.

4. D’autres exemples de pathologies liées à un manque d’énergie sont mentionnés, comme les maladies neurodégénératives, les problèmes cardiovasculaires et les maladies auto-immunes.

5. L’intervenant insiste sur l’importance de comprendre les mécanismes par lesquels ces particules interagissent avec le corps et captent son énergie, afin de pouvoir essayer de les neutraliser et d’aider les personnes touchées.

6. L’intervenant 2 souligne trois points principaux : 1) Tous les vaccins semblent avoir une base technologique similaire, 2) Les incompatibilités de ces vaccins avec la biologie moléculaire et la génétique ont été bien expliquées, 3) La question de l’interférence énergétique que ces particules pourraient causer dans l’organisme a été bien développée.

Ronald Guillaumont

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