Effets indésirables : des parents d’enfants décédés ou malades se battent pour faire émerger la vérité
L’association française VERITY a vu le jour fin octobre. Elle a été fondée par trois familles de jeunes morts brutalement après leur « vaccination » contre le Covid 19. Sur diverses plateformes, elle recueille les témoignages douloureux de victimes ou de leurs proches désemparés.
Le but des parents de Maxime, Mélanie et Sofia* : « obtenir des réponses à leurs questions, faire cesser l’omerta sur les effets indésirables, et éviter à d’autres de vivre cette douloureuse expérience » peut-on lire dans l’article que le magazine Nexus a consacré à leur initiative.
Le 15 octobre dernier, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, n’hésitait pas à affimer : « Il n’y a pas, à ce stade, de cas de décès avéré imputable à la vaccination. »
Lutte contre la censure et le déni
De plus en plus nombreux sont désormais ceux qui, en France et ailleurs, ne sont pas d’accord avec lui et cherchent à le faire savoir. D’autres groupes sont nés, notamment sur Telegram, comme Vaccins Covid 19 Effets secondaires et Chrétiens Anti-Vaccins.
Mais pour y parvenir, ils doivent lutter contre censure et déni. Persévérer pour se faire entendre, créant (parfois pour la sixième fois !) des pages Facebook, des sites web et/ou des fils Telegram. Leur ton est parfois véhément, traduisant un fort sentiment de frustration.
VERITY recueille pour sa part les témoignages de familles désespérées, ou des victimes elles-mêmes. Elle leur offre un espace d’expression libre où évoquer les myocardites, péricardites, thromboses et autres neuropathies dont elles ont été souffert/souffrent.
Mais aussi l’absence de recours, de reconnaissance et de soutien officiels auxquelles elles doivent, en plus, faire face.
En France, c’est le silence dans les médias. Pascal Praud, de Cnews, a été l’un des premiers à interviewer le mari d’une victime, Marc Doyer, qui a depuis rejoint l’association VERITY.
Aux Etats-Unis, c’est notamment à l’initiative du républicain Ron Johnson, sénateur du Wisconsin, que les premiers témoignages sur des effets indésirables graves ont pu commencer à être entendus « officiellement ».
Il avait convoqué fin juin 2021 une conférence de presse pour donner la parole à des victimes ou des familles de victimes. Comme celle de Maddie Garay, 13 ans, qui a pris part à l’essai de Pfizer l’an dernier. La jeune fille est aujourd’hui en fauteuil roulant, victime de graves neuropathies (voir lien ci-dessous).
Les « vaccins » provoquent un « génocide des jeunes » avertit le Professeur Peter McCullough
Plus récemment c’est à son initiative qu’un panel d’experts a été réuni, au nombre desquels figurait Peter Doshi, rédacteur du prestigieux British Medical Journal (voir ci-dessous le sujet publié sur CovidHub).
De son côté, le Prof. Peter McCullough, cardiologue renommé, a récemment lancé un avertissement cinglant concernant la surmortalité mondiale observée en raison des « vaccins », qui provoqueraient selon lui un véritable « génocide » chez les jeunes.
En Suisse, le sujet est encore largement passé sous silence. Les médias se contentent pour le moment de donner sans vrais commentaires le nombre des effets indésirables répertoriés par l’Agence Swissmedic, si n’est qu’ils seraient « pour la majorité des cas inoffensifs. »
Sources & références :
Page Facebook de l’association VERITY FRANCE
Fil Telegram de Vaccins Covid-19 Effets secondaires
Fil Telegram de Chrétiens Anti-Vaccins
Marc Doyer au bord des larmes sur CNews
24 Heures / Un tiers des effets indésirables sont jugés graves
Source : Covidhub.ch
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