Édouard Philippe et Olivier Veran étaient si sûrs d’eux qu’ils ont signé leurs crimes.
Rappel indispensable sur le génocide des peuples qui a commencé dès le printemps 2020 avec nos aînés coincés et euthanasiés dans les EHPADs.
La responsabilité du premier ministre de l’époque, Édouard Philippe et du ministre de la santé, Olivier Véran, est marquée dans le marbre avec la cosignature du Décret sur l’utilisation du rivotril contre nos aînés engeôlés.
Depuis, le génocide s’est généralisé par la vaxxination ARNm sur toute la population, nos jeunes, nos enfants et même nos bébés.
Note de la rédaction de Profession-Gendarme :
Nous avons à l’époque publié de très nombreux articles concernant « l’assassinat » au Rivotril de nos anciens dans les EHPAD, vous pouvez trouver ces articles en tapant le mot « Rivotril » dans la case rechercher de notre page d’accueil ou en suivant les liens ci-dessous.
- https://www.profession-gendarme.com//?s=Rivotril
- https://www.profession-gendarme.com/page/2/?s=Rivotril
- https://www.profession-gendarme.com/page/3/?s=Rivotril
- https://www.profession-gendarme.com/page/4/?s=Rivotril
En mémoire de nos anciens, merci à Sébastien Recchia pour cette vidéo :
« L’enfer de Grand-mère » en mémoire de nos anciens maltraités.
Source : Youtube
Mise en relation entre le nombres d’ampoules de Rivotril (clonazepam) remboursées par la sécurité sociale et la surmortalité pendant l’épidémie de Covid19. https://www.profession-gendarme.com/leuthanasie-au-rivotril-en-chiffres/
Article 53
II. – Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention « Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19 ».
Lorsqu’il prescrit la spécialité pharmaceutique mentionnée au premier alinéa en dehors du cadre de leur autorisation de mise sur le marché, le médecin se conforme aux protocoles exceptionnels et transitoires relatifs, d’une part, à la prise en charge de la dyspnée et, d’autre part, à la prise en charge palliative de la détresse respiratoire, établis par la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs et mis en ligne sur son site.
La spécialité mentionnée au premier alinéa est prise en charge par les organismes d’assurance maladie dans les conditions du droit commun avec suppression de la participation de l’assuré prévue à l’article R. 160-8 du code de la sécurité sociale. Lire la suite : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000042430554
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